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        LE SEPTIEME PAS pour recevoir la guérison par Christ, c'est DE LE BENIR POUR LA REPONSE  A VOTRE PRIERE ET D'AGIR SELON SA PROMESSE.
       Si vous croyez que Dieu a répondu à votre prière, et que vous AVEZ RECU  la guérison que vous avez demandée, il vous sera naturel de vouloir : 1) Le  remercier pour celà, et : 2) de vous servir de votre santé en la mettant en  action.
       Abraham "donna gloire à Dieu" ( Romains 4 : 20 ) bien avant  l'accomplissement des promesses que Dieu lui avait faites. Il loua Dieu parce  qu'il était "fort dans la foi" ( verset 20) et parce qu'il  "croyait" qu'il en serait "selon ce qui lui avait été dit"  ( verset 18); que "ce qu'Il ( Dieu) promet, Il peut aussi  l'accomplir" ( verset 21). C'est pour celà qu'il pouvait BENIR LE SEIGNEUR  pour l'exaucement, même avant d'en avoir la réponse. Il croyait la Parole de  Dieu.
       Jonas s'engagea "à sacrifier avec une voix de louange" ( Jonas  2 : 10 ), pour sa délivrance ( de l'intérieur du grand poisson ) avant mêm que  celui-ci ne l'eût rejeté sur le rivage.
			  Josué et son peuple crièrent leurs louanges au Seigneur qui avait livré  la ville de Jéricho entre leurs mains alors même que les murs étaient encore  debout devant eux. Ils croyaient aux promesses de Dieu et ils Le bénissaient  pour celà; ils agissaient selon leur foi et marchaient autour de la ville.  Tandis qu'ils louaient et marchaient, les murailles s'écroulèrent sur  elles-mêmes et la victoire fut à eux ( Voir Josué 6 ).
			  Si vous ne voulez pas bénir le Seigneur pour la guérison qu'Il vous a  Lui-même promise, et pour laquelle vous Lui avez adressée votre demande, celà  prouvera simplement que vous ne croyez pas "l'avoir reçue", ou alors,  que vous ne Lui en êtes pas reconnaissant.
			  David a dit : "Que tout ce qui respire, loue l'Eternel" (  Psaumes 150 : 6 ).
			  La foi saine ne se contente pas seulement de bénir Dieu pour la réponse,  mais elle s'accompagne toujours d'actions correspondantes. Jacques nous dit :  "Par mes actes, je te montrerai ma foi". Avoir une foi saine pure,  c'est être tellement convaincu que les promesses de Dieu sont 
certaines, que vous Le remerciez pour  leur accomplissement et que vous agissez en conséquence, avant même que vous en  ayez vu la réalisation. C'est celà ( la foi ) qui fait que Dieu agit pour  accomplir Ses promesses.
			  Vous pouvez franchir les six premiers pas de la foi, pour recevoir la  guérison de Christ, mais si, alors que vous priez pour la guérison, vous ne  croyez pas qu'Il vous écoute et que vous avez reçu l'exaucement – au point de  ne pouvoir Le bénir pour la réponse et agir selon la parole de Sa Promesse –  votre foi ne vous sert à rien.
			  Presque tout le second chapitre de Jacques, se rapporte à ce  "secret" capital de la foi : AGIR SELON SA PAROLE.
			  Verset 14 : "Mes frères, quel profit y a-t-il si quelqu'un dit  qu'il a la foi, et qu'il n'ait pas les oeuvres ( les actions qui correspondent  )?"
			  Verset 15-17 : "Et si un frère ou une soeur sont nus et manquent de  leur nourriture de tous les jours, et que quelqu'un d'entre vous leur dise :  Allez en paix, chauffez-vous et rassasiez-vous, - et que vous ne leur donniez  pasles choses nécessaires pour leur corps, à quoi celà sert-il ? DE MÊME AUSSI  LA FOI, si elle n'a pas d'oeuvres, elle est morte par elle-même. "DE MÊME  LA FOI" en paroles, n'est d'aucune valeursi les actes correspondants ne  suivent pas cette déclaration de foi.
	  
       Une femme de New-York avait été renvoyée de l'hôpital à son domicile  pour y mourir de tuberculose. Ellke lisait les Ecritures un certain après-midi.  C'était une bonne chrétienne mais qui n'avait pas été enseignée sur les vérités  de la guérison divine.
			  Comme elle était couchée et lisait la première épitre de Pierre, elle  arriva au verset 24 du second chapitre : "Qui lui-même a porté nos péchés  en son corps sur le bois".
			  Elle pleurait de reconnaissance envers Christ qui avait déjà porté tous  ses péchés à sa place. Elle savait qu'elle était prête pour le moment de sa  dernière heure; elle reposait là sans crainte, parce que la Bible dit que  Christ avait déjà porté ses péchés.
			  Tandis qu'elle se réjouissait dans cette pensée et qu'elle continuait sa  lecture, elle lut plus loin : "... Par les meurtrissures duquel vous AVEZ  ETE guéris".
			  Elle relut la première partie du verset. Il y est déclaré que Christ  avait déjà porté ses péchés. C'était fait dans le passé, aussi était-elle  sauvée. Elle le savait. Personne ne pouvait l'en faire douter. Mais qu'en  était-il des derniers mots de ce même verset : "Par les meurtrissures  duquel VOUS AVEZ ETE guéris" ? Celà pouvait-il être aussi littéralement  vrai que la partie 
qui parlait de ses péchés ?  "Bien sûr, pensa-t-elle, celà DOIT être vrai. Ce sont les Paroles de Dieu  !"
			  "Maman, dit-elle, savais-tu que Dieu a affirmé dans Sa Parole que  j'étais guérie ?"
			  "Qu'y a-t-il, ma chérie, que veux-tu dire ?" répondit la  maman.
			  "Regarde ici", répondit sa fille. Les larmes coulaient déjà  sur ses joues. "Ecoute ceci. La Bible dit : "Par les meurtrissures duquel  VOUS AVEZ ETE GUERIS". C'est bien aussi pour moi. Regarde, maman, regarde,  "par Ses meurtrissures, VOUS AVEZ ETE GUERIS". Maman, c'est quelque  chose qui a déjà été fait. Je suis guérie. Donne-moi mes affaires. Je dois  sortir de ce lit."
			  La maman essaya de calmer son enfant, mais en vain. Elle répondait :  "Ne nous as-tu pas enseigné à croire toute la Parole de Dieu ? Si celà est  la Parole de Dieu, alors c'est la vérité, et je suis guérie, parce que Dieu ne  peut pas mentir !"
			  Elle se leva, s'habilla elle-même; elle chantait et bénissait le  Seigneur en faisant ses premiers pas dans la maison; et elle fut complètement  guérie. En moins de trois semaines, elle avait retrouvé son poids normal et la  radiographie montrait des poumons parfaitement sains.
	  
       Que s'était-il passé ? Elle croyait suffisamment en la Parole de Dieu  pour agir en conséquence. Ce sont ses actions qui ont prouvé qu'elle avait la  foi. Elle aurait pu rester dans son lit et mourir de sa tuberculose, si elle  n'avait pas agi selon la Parole, et ne s'était pas levée par la foi, proclamant  ce que Dieu avait dit qu'elle était.
			  Des milliers de gens meurent prématurément, déclarant croire la Parole  de Dieu, mais leur foi ne s'accompagne jamais des actes qui y correspondent.  Jacques dit : "La foi, qui n'a pas d'actions correspondantes, est morte,  demeurant seule" ( version Moffatt ).
			  Ils disent croire que la Parole de Dieu est vraie; et au même moment,  ils agissent dans le sens contraire. Ils sont couchés sur leur lit parlant de  leur foi, mais au même moment ils tremblent de peur à la pensée de sortir de  leur lit par la foi, d'agir selon la Parole de Dieu et de proclamer leur  guérison. Leur foi est peut-être grande, mais elle est morte, et par conséquent  ne sert à rien. Il n'y a pas d'oeuvres.
			  Jacques dit en substance : "Essayez de me convaincre que vous avez  la foi, alors que vous n'agissez jamais comme tel; moi, je vous demande  d'observer mes actes et vous verrez ma foi" ( Jacques 2 : 8 ).
			  Le Révérend Byrum relate cet incident dans sa vie : "Peu après que  le 
Seigneur m'eût appelé à travailler  pour Lui, j'appris une précieuse leçon sur la foi. Il y avait une épidémie dans  notre voisinage. Trois ou quatre familles de notre communautéétaient frappées  de cette fièvres. Je dus bientôt constater que la maladie agissait en moi et  très vite j'en fus terrassé. Dans mon lit avec une fièvre brûlante et de  grandes douleurs, je me rapprochais du Seigneur dans une étroite communion. Je  Lui rappelai qu'Il m'avait appelé à un ministère que j'étais présentement  incapable d'accomplir.
			  "Comme il n'y avait aucun ancien qui croyait à la guérison divine,  j'exposai seul mon cas au Seigneur, Lui mentionnant Ses plus magnifiques  promesses parmi lesquelles Jean 15 : 7 : "Si vous demeurez en moi et que  mes Paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez et celà vous  sera accordé".
			  "J'examinai ma consécration, Lui demandant ( à Dieu ) de me sonder  Lui-même. J'étais prêt à tout faire pour Lui, et je dis : "Seigneur, je  demeure en Toi  et Tes Paroles demeurent  en moi, alors cette promesse est pour moi. Je remets mon cas entièrement entre  Tes mains, et je Te prie de tout mon coeur, GUERIS-MOI."
			  "Puis, j'attendis que l'oeuvre se fit, mais nul changement ne se  produisit. Finalement je dis : "Seigneur, pourquoi ne suis-je pas guéri  ?"
	  
        "La réponse vint d'un seul coup : "PRENDS MA PAROLE AU MOT ET  LEVE-TOI."
			  "Je dis : "AMEN, Seigneur, je le fais." Et sans une  seconde d'hésitation, je me dégageai du lit. Il semblait que ma tête allait  éclater de douleur, mais malgré ma faiblesse, je commençai à m'habiller seul.  J'étais à moitié habillé quand une très légère amélioration se produisit et,  tombant à genoux, j'en remerciai le Seigneur. Une fois habillé et continuant de  rendre grâces à Dieu, je me sentis beaucoup mieux et j'allai dans la pièce  voisine déclarer que le Seigneur m'avait guéri. Dans l'espace de vingt minutes,  la fièvre m'avait entièrement quitté. Immédiatement je me suis mis au travail  et fus entièrement dispos dès cette même heure.
			  "Je suis absolument convaincu que  si j'étais resté couché, refusant d'agir hardiment dans la foi selon la Parole  de Dieu, il m'aurait fallu subir le long siège de cette maladie. A Dieu soit  toute la gloire. J'ai appris là une précieuse leçon : croire en Lui et en Sa  Parole. J'ai découvert que lorsque la foi AGIT, en dépit des  symptômes contraires, Dieu accomplira toujours Sa Parole."
			  Jacques nous dit encore : "Comme  le corps sans âme est mort, ainsi la foi sans les oeuvres est morte aussi"  ( Jacques 2 : 26 ).
       Dans toute la Bible, les hommes de foi ont été des hommes d'action. Les  hommes qui croyaient la Parole de Dieu, furent les hommes qui agissaient selon  Sa Parole.
			  Jésus dit au paralytique : "Lève-toi, prends ton lit et va dans ta  maison". L'homme n'a pas raisonné : "Mais, Seigneur, je suis  paralysé". Il a suffisamment cru en la parole prononcée par Jésus, pour  agir. Son action prouvait sa foi.
			  "Aussitôt, il se leva, prit son lit et s'en alla en présence  de tous" ( Marc 2 : 11-12 ).
			  Dans Marc 3, Jésus commande à l'homme à la main sèche : "Etends ta  main". Ce dernier n'a pas expliqué que sa main était paralysée, et que par  conséquent, il ne pouvait pas la lever. Il a suffisamment cru à la Parole de  Christ pour agir selon Son ordre, et "il étendit sa main et fut  entièrement guéri".
			  Dans Jean 5, Jésus rencontre un homme infirme et lui dit :  "Lève-toi, prends ton lit et marche". L'homme crut à Sa Parole, et  immédiatement mit sa foi en action, et il fut rétabli" ( verset 8-9 ).
			  A la maison de Pierre, sa belle-mère  était au lit, malade de fièvre. Luc nousdit que Jésus "chassa la  fièvre" et Marc dit : " Il la prit par la main et la fit se lever, aussitôt  la fièvre la quitta ( Marc 1 : 31 ). Nous avons là un 
parfait exemple de la foi en action :  1) Il chassa la fièvre. 2) Il la fit se lever et agir selon sa foi et 3) la  fièvre la quitta.
			  Dans les Actes, Pierre commande à un infirme : "Au Nom de  Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche" ( Actes 3 : 6 ). Celui-ci  agit selon la parole de Pierre, prononcée au Nom de Jésus, et fut  instantanément guéri.
			  Pierre s'adresse à un homme paralysé depuis huit ans : "Enée,  Jésus-Christ te guérit; lève-toi et arrange ton lit" ( Actes 9 : 34 ).  "Et aussitôt, il se leva".
			  NOUS AGISSONS, selon la parole de notre facteur. Il nous dit  qu'un paquet recommandé nous attend à la Poste. Nous croyons en lui et nous  allons réclamer ce paquet, alors que nous ne l'avons jamais vu.
			  NOUS AGISSONS, selon la parole du médecin. Il dit de prendre  trois comprimés par jour. Nous le croyons et nous continuons à prendre ces  comprimés, alors que nous n'en avons ressenti encore aucun bienfait.
			  NOUS AGISSONS selon la parole de notre banquier. Il nous est dit  qu'un de nos amis a déposé une somme d'argent sur notre compte. Nous le croyons  et nous commençons à tirer des chèques, alors même que nous n'avons jamais vu  l'argent.
	  
       NOUS AGISSONS, selon La Parole de notre Père Céleste. Il nous dit  : "Je suis l'Eternel qui te guérit"; "Par Ses meurtrissures,  vous êtes guéris", etc. Nous Le croyons et nous allons à Lui dans la  prière, réclamer Sa guérison; nous croyons qu'Il écoute notre prière; nous  sortons de notre lit de maladie, et nous Le remercions pour la délivrance,  avant même d'en avoir senti les résultats. Nous agissons selon Sa Parole, et  Dieu l'accomplit.
                       Jérémie 1 : 12 : "Je veille sur ma Parole pour l'accomplir".
                       1 Rois 8 : 56 : "De toutes les bonnes paroles qu'Il avait prononcées... aucune n'est  restée sans effet".
                       2 Cor. 1 : 20 : "Car autant il y a de promesses de Dieu, en Lui est le oui et en Lui  l'amen".
                       Matthieu 24 : 35 : "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront  pas".
			  Au temps de la Bible, les hommes de foi agissaient selon la Parole  "parlée" de Dieu; aujourd'hui, nous agissons selon la Parole  "écrite" de Dieu.
			  Dieu a dit : " Moi l'Eternel, je parlerai; ce que je dirai s'accomplira...  je 
prononcerai une parole et je  l'accomplirai, dit le Seigneur, l'Eternel" ( Ezechiel 12 : 25 ).
			  Daniel dit : "il (Dieu) a accompli les paroles qu'Il avaient  prononcées" ( Daniel 9 : 12).
			  Pierre dit : " La Parole du Seigneur dure éternellement" ( 1  Pierre 1 : 25 ).
			  Paul dit : " La promesse est ASSUREE à toute la postérité" et  "Ce qu'Il ( Dieu ) promet, Il peut aussi l'accomplir" ( Romains 4 :  16 et 21 ).
			  L'ange dit : "Rien ne sera impossible à Dieu" ( Luc 1 : 37 ).
			  Croyez à la Parole de Dieu aujourd'hui. Agissez selon la Parole à  cette heure.
			  Ce petit livre vous a apporté une nouvelle lumière; agissez selon cette  lumière. Votre foi a été édifiée; maintenant faites agir cette foi. Vous êtes  entrés en contact avec les promesses de Dieu; maintenant agissez selon ces  promesses.
			  Imaginez un homme pieds et poings liés, jeté au fond d'une prison. Cet 
homme a demandé son recours en grâce.  Le directeur de la prison vient et lui montre le papier signé de son recous en  grâce, accepté pour une libération totale. La réaction normale de cet homme  n'est-elle pas d'en être immédiatement reconnaissant et de sortir de la prison  le plus vite possible, parce que, légalement, il est un homme libre ?
			  Mais supposons que le directeur lise le recours en grâce total, qu'il  lui enlève ses liens, qu'il ouvre la porte de sa prison et déclare : "Vous  êtes libre, allez en paix". Mais que l'homme réponde : "Je sais que  le recours mentionne que je suis grâcié; j'en crois chacun des mots, mais je  suis toujours en prison".
			  "Les portes sont ouvertes, sortez !" insiste le geôlier.
			  "Je sais, je sais, que les portes sont ouvertes, et je sais que je  peux sortir; mais je ne suis pas dehors."
			  "Eh bien ! Sortez", lui criera le geôlier, " ne  croyez-vous pas que la grâce soit réelle ?"
			  "Oui, je crois chacune des déclarations mentionnées, mais il me  semble que je n'en sortirai jamais."
	  
        Un tel pardon, une telle grâce n'est d'aucune valeur pour un tel homme,  parce qu'il ne veut pas agir selon ses déclarations.
			  Il est parfaitement inutile que vous fassiez beaucoup de prières, que  vous mendiiez, que vous pleuriez et même que vous jeûniez; si vous N'AGISSEZ  PAS SELON SA PAROLE, votre foi est morte et ne vous sert à rien.
			  Le nombre de ceux qui prient pour vous la prière de la foi est aussi  sans importance; votre propre incrédulité rend ces prières inefficaces... si  vous manquez D'AGIR SELON LA PAROLE DE DIEU.
			  Votre refus d'agir selon Sa Parole, c'est en fait votre refus d'en  accepter l'exaucement. Quand vous n'agissez pas selon Ses promesses, celà  prouve que vous ne croyez pas "AVOIR RECU". Et Dieu n'a promis de  commencer votre guérison qu'après que vous aurez cru "avoir  reçu" l'exaucement.
			  Mais si vous avez été guéris, la maladie semblera plutôt devoir revenir,  si vous refusez d'apprendre le secret, d'agir selon la Parole de Dieu.
			  C'est en agissant selon les promesses  de Dieu, qu'effectivement vous prouvez votre foi.
			  Beaucoup de ceux qui affirment être affermis dans la foi, prouvent  justement le contraire par leurs actions. Ils diront par exemple : "Oui,  j'ai toute la foi du monde ! J'ai toujours cru dans la Bible ! Mais je n'arrive  pas, 
je ne sais pas pourquoi, à obtenir ma  guérison. Je m'exerce et je m'exerce à croire, mais il ne me semble pas que  j'avance". Ils demeurent au lit, ou se servent de leurs "moyens de  secours".
			  Une telle personne ignore le FAIT que Dieu a dit : "Par Ses  meurtrissures, NOUS SOMMES GUERIS". Elle refuse de croire qu'elle a été  délivrée quand Christ a subi les meurtrissures, par lesquelles nous avons été  guéris. Elle admet, dans sa tête, que la Parole de Dieu est vraie, mais elle  n'y a jamais cru dans son coeur; elle n'a jamais AGI SELON LES PAROLES DE DIEU.  La foi s'exprime toujours beaucoup plus par des actes que par des paroles.  Quand ces quatre hommes de Marc 2, vinrent portant un homme paralysé, qu'ils le  descendirent par une ouverture pratiquée dans le toit, Jésus "VOYANT LEUR  FOI" – non pas les entendant se vanter de la grande foi qu'ils  possédaient, mais VOYANT leur foi – guérit cet homme. Il vit leur foi, dans  leur ACTION.
			  Ne parlez jamais et ne vous vantez jamais de votre foi. Si vous  avez la foi, parfait ! "Sans la foi, il est impossible de plaire à  Dieu" (Héb. 11 : 6 ). Mais n'en parlez pas à tous moments. FAITES AGIR  VOTRE FOI. CROIRE, C'EST CELA et rien d'autre. Si le Seigneur dit :  "Je suis l'Eternel qui TE guérit" et aussi "Qui guérit  toutes TES maladies", alors agissez d'après celà, permettant ainsi  à Dieu de l'accomplir. Ne restez pas au lit, parlant de votre 
foi et vous lamentant de vos  douleurs; levez-vous et prenez Dieu au mot faisant AGIR VOTRE FOI, Dieu  accomplira Sa bonne Parole en votre faveur.
			  C'est en agissant selon Sa  Parole que votre foi se fortifie, et que la Parole de Dieu habite en vous comme  elle habitait en Jésus. Vous devenez un "EXECUTEUR" de la Parole, un  vrai "PRATICIEN" de la Parole – non pas un discoureur de la Parole.  Dieu n'est pas plus près des autresqu'Il ne L'est de vous-même. Il ne répond  pas aux autres plus rapidement qu'Il ne vous répond. Il est VOTRE Dieu. La  PAROLE est à VOUS. Christ, le divin médecin, est à vous !
			  Si Dieu a dit : "Je suis le Seigneur QUI TE GUERIT" (Exode 15  : 26 ) et que vous croyez ces Paroles, vous AGIREZ D'APRES ELLES. Alors celui  qui est alité se lèvera par la foi et il sera guéri; le boîteux sautera comme  un cerf; le muet se mettra à chanter; les sourds écouteront; les douleurs  s'envoleront; l'obscurité sera chassée et vous commencerez à FAIRE ces mêmes  choses que vous ne POUVIEZ PAS FAIRE avant d'avoir pris Dieu AU MOT. D'AVOIR  AGI SELON SA PAROLE et d'être guéri.
	  Dieu fera pour vous, dans votre corps, exactement ce qui est nécessaire pour  que vous soyez sain et fort. La faiblesse se changera en force, la mort en vie,  la maladie en santé et l'impossible sera rendu possible.
Pendant l'une de nos missions de  guérison à Kingston, en Jamaïque, la foule se massait tout alentour des murs du  vaste auditorium depuis trois heures de l'après-midi, attendant l'ouverture des  portes pour six heures trente. Une pauvre femme apporta sur son dos, d'une  campagne voisine, son mari qui était paralysé à la suite d'une violente attaque  cardiaque.Arrivant près du Stade dont les portes étaient encore fermées et  voyant les autres qui escaladaient le mur pour y pénétrer, elle fit passer son  mari par-dessus le mur, y passa elle-même, le rechargea sur son dos et ensuite  l'amena ainsi pour la prière. C'était là faire agir sa foi. Inutile de dire  qu'il fut guéri par la puissance de Dieu et qu'il sortit, marchant. La  foi en action triomphe toujours.
			  N'ayez jamais peur de CROIRE DIEU et  D'AGIR sur SA PAROLE. Souvenez-vous que Jésus a dit au père de la fillette, qui  d'après les rapports des sceptiques, était morte : "Ne crains pas, CROIS  seulement" ( Marc 5 : 36 ).