T.L. OSBORN
Avec l'aimable autorisation de "OSBORN FONDATION"
A DAISY, ma tendre et fidèle épouse, Co-fondatrice et Administratrice de la Fondation Osborn et de tous ses ministères gagneurs d’âmes, Première Dame de l'Evangélisation, Ambassadrice pour Christ auprès du monde, Compagne de Travail qui m'a aidé à proclamer Jésus, Sa vie et Sa puissance à des millions de personnes, face à face, en plus de soixante pays.
Durant 30 ans d’évangélisation de masse en plus de 60 pays, nous avons prié pour des centaines de milliers de gens qui sont venus à nos Croisades. Ils cherchaient le pardons de leurs péchés, le soulagement de leurs fardeaux, la solution de leurs problèmes, la guérison de leurs maladies. Nous avons vu tous les miracles imaginables, y compris des lépreux dont la chair est redevenue saine et des morts qui sont revenus à la vie.
Depuis des années, je ressentais le besoin d’écrire un livre pratique qui apporterait les vérités essentielles des enseignements de la Bible sur la guérison. Ainsi, ceux qui ont besoin de l’aide de Dieu pourraient saisir clairement et rapidement les faits bibliques générateurs de la foi qui permet de recevoir les miracles de Dieu, Ses solutions, Sa guérison.
Dans les sept parties de ce livre, nous vous présentons sept pas pour recevoir de Christ le miracle dont vous avez besoin. Ce sont les vérités de base que nous avons enseignées à des MILLIONS de gens – face à face lors de nos grandes Croisades autour du monde. Ce sont les pas qui ont apporté la foi et les miracles à des centaines de milliers de gens.
Ceux qui prient, sans toutefois recevoir de Christ le miracle qu’ils recherchent, ne connaissent généralement pas ce que dit la Bible au sujet des bénédictions de Dieu. S’il ne connait pas ces vérités, celui qui a besoin d’un miracle n’a aucune base sur laquelle il peut fonder sa foi.
Des centaines de personnes nous ont dit que l’on avait prié pour eux sans résultat. Cependant, leur foi leur a permis de recevoir un miracle de Dieu, quand ils ont lu ce livre et appris ce que la Bible enseigne si clairement au sujet de la prière et de la foi.
Un homme complètement sourd pleurait alors que je priais pour sa guérison. Comme il n’entendait pas immédiatement, il a quitté l’estrade profondément déçu. Je lui ai offert un exemplaire de ce livre. Il a déclaré qu’en lisant ce livre, il avait reçu Christ et une nouvelle foi vivante, et avait été instantanément guéri.
Jésus a dit : « Vous connaitrez la Vérité, et la Vérité vous affranchira ».
Paul a dit : « La foi vient de ce qu’on entend … la Parole de Dieu ».
Nous avons préparé ce livre à l’intention de ceux qui désirent et nécessitent les bénédictions miraculeuses de Dieu, et qui veulent Le glorifier dans leur vie.
EN LISANT CE LIVRE, ATTENDEZ-VOUS A CE QUE DIEU ACCOMPLISSE LE MIRACLE DONT VOUS AVEZ BESOIN. Jésus a dit : « JE SUIS … LA VERITE ». Il se révèlera et vous manifestera Sa puissance et Sa présence, A VOUS PERSONNELLEMENT, en s’approchant de vous au travers de ce livre.
Lisez donc, dans le recueillement.
ATTENDEZ-VOUS A LA PRESENCE DU CHRIST VIVANT. Il a promis à celui qui L’aime et Le cherche : « Je viendrai à lui … et je me manifesterai à lui ».
Que Dieu vous bénisse, à cette lecture.
CHAPITRE UN
LE CHRIST-MIRACLE
VOILA UNE des déclarations les plus profondes de la Bible. « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
C’est le même Jésus qui passait le long de la mer de Galilée, qui guérissait les malades, purifiait les lépreux et ressuscitait les morts.
C’est le même Jésus qui pardonnait aux pécheurs et délivrait les opprimés. C’est Lui, le Fils de Dieu, qui « est venu dans le monde pour sauver les pécheurs ».
Ce Jésus est le même aujourd’hui qu’au temps de la Bible.
Sa puissance est la même aujourd’hui que par le passé.
Son ministère n’a jamais changé.
Quand vous lisez les Evangiles du Seigneur Jésus-Christ, souvenez-vous de ce fait : Dieu veut que vous croyiez que, ce que Christ faisait alors pour les gens, Il le fera pour vous aujourd’hui. Christ qui parcourait les bords de la mer de Galilée est là à votre côté à l’instant même – alors que vous tenez ce livre dans les mains.
Il est là pour :
Vous guérir, si vous êtes malades ;
Vous sauver, si vous êtes un pécheur ;
Vous délivrer de ce qui vous opprime ;
Vous aider, si vous êtes dans le besoin.
Jésus, qui guérissait les malades et rendait la vue aux aveugles, a toujours de la compassion pour ceux qui souffrent aujourd’hui. Lui qui bénissait les pauvres et pardonnait aux pécheurs en ce temps-là est toujours le Sauveur maintenant.
Si, aux jours de la Bible, les gens pouvaient venir à Lui et recevoir Sa miséricorde, vous et moi pouvons le faire aujourd’hui !
Si les promesses de Dieu étaient valables à cette époque-là, elles le sont également de nos jours !
Si un lépreux pouvait se jeter à genoux devant Lui et être guéri à ce moment-là, un lépreux peut recevoir la même guérison aujourd’hui.
Si les paralytiques pouvaient se lever et marcher à Son commandement d’alors, ils peuvent être instantanément guéris aujourd’hui par la puissance de Sa Parole.
Si, auparavant, les pécheurs pouvaient être sauvés et pardonnés, et renaître à une vie nouvelle, les pécheurs de notre époque peuvent être également régénérés par Sa puissance glorieuse. Quelle joie inexprimable de savoir que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, n’a pas changé !
Je L’ai vu accomplir des miracles et des prodiges. J’ai été présent quand Il a relevé des paralytiques et qu’ils ont marché, couru et sauté. Tant de fois – j’ai vu s’ouvrir des yeux aveugles. Quelle merveille de voir des oreilles sourdes débouchées et des langues muettes déliées !
Jésus a dit : « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. »
Sa Parole dit : « Si nous demandons quelque chose en Son Nom, Il le fera. »
La Bible déclare : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. »
« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. »
De mes propres yeux j’ai vu le Seigneur accomplir ces miracles – des centaines, même des milliers de fois, durant 30 ans de grandes Croisades chrétiennes en plus de 60 pays. Aussi, personne ne peut me dire que Jésus-Christ est mort, ou qu’Il a changé.
Les gens changent. Traditions, religions, nations, gouvernements – tout change. Les églises et les systèmes ecclésiastiques changent. Mais « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ! »
Il est dit dans la Bible : « Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la Bonne Nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. »
La Bible annonce : « Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable. »
Gloire à Dieu, il continue à faire ces mêmes miracles de miséricorde et de compassion aujourd’hui !
La Bible nous fait le récit d’une des réunions où Jésus prêchait et exerçait Son ministère : « Les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres ! »
Si Jésus a fait ces choses en ce temps-là, Il veut les faire aujourd’hui !
MAINTENANT, NOUS AVONS VU ce que faisait le Seigneur aux jours de la bible.
Que faisaient les gens quand Jésus était visiblement parmi eux ?
Si nous voulons que Christ fasse pour nous ce qu’Il faisait pour eux, nous devons faire comme eux. Nous devons venir à Lui comme ils le faisaient, écouter Sa Parole comme ils l’écoutaient, croire en Lui comme ils croyaient ; L’invoquer et Le suivre comme eux.
La Bible dit que les gens « parcoururent tous les environs, et l’on se mit à apporter les malades sur des lits, partout où l’on apprenait qu’Il était … on mettait les malades sur les places publiques, et on Le priait de leur permettre seulement de toucher le bord de Son vêtement. Et tous ceux qui Le touchait étaient guéris ! »
Mon ami, cela peut arriver aujourd’hui comme à cette époque-là ! Tous ceux qui Le toucheront AUJOURD’HUI seront guéris – tout comme étaient guéris ceux qui Le touchaient JADIS.
Pendant trois ans, Jésus a marché parmi les hommes ici-bas. Toujours Il guérissait, bénissait et pardonnait l’humanité. Des multitudes Le suivaient et Il les bénissait. Cependant, malgré Sa miséricorde, Son amour et Ses miracles de compassion, Il a été méprisé par certains membres d’églises, rejeté et enfin crucifié.
Mais, trois jours après qu’on L’ait mis au sépulcre, Dieu a ressuscité Jésus d’entre les morts conformément aux Ecritures.
Après Sa résurrection, Jésus a convoqué Ses disciples et leur est apparu. Il leur a commandé : « Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. » Puis Il a promis : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. » Mais Il a averti : « Celui qui ne croira pas sera condamné. »
Ensuite, Il a fait cette merveilleuse promesse : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En mon Nom, ils chasseront les démons … ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Enfin, cette dernière promesse : « Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. »
N’est-ce pas une promesse merveilleuse ?
Cela veut dire que le Seigneur est avec moi alors que j’écris, et Il est avec vous pendant que vous lisez, là où vous êtes en ce moment.
La Bible dit : « Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et Il s’assit à la droite de Dieu. Et (Ses disciples) s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la Parole par les miracles qui l’accompagnaient. »
Ce même Seigneur Jésus-Christ est avec vous maintenant même, pour vous confirmer Son Evangile, tout comme Il était avec Ses disciples après Sa résurrection, « confirmant la Parole par les miracles qui l’accompagnaient. »
Il a dit : « crois seulement … Tout est possible à celui qui croit. » Il est là, avec vous en Esprit, à l’instant même, pour vous confirmer Ses promesses, si vous pouvez seulement croire.
Tout ce qu’Il vous a promis dans Sa Parole, si vous Lui demandez de le faire, et croyez dans votre cœur qu’Il a entendu et a répondu à votre prière, alors Il le confirmera selon Sa promesse et par Sa puissance. Vous recevrez l’exaucement de votre prière. C’est pour cette raison que j’écris ce livre. C’est si merveilleux de savoir que « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. »
Un aveugle est venu à l’une de nos croisades. Quand il est arrivé là où nous proclamions l’Evangile, soudain, il a eu une vision. Il a vu une lumière brillante, plus éclatante que le soleil de midi, et dans cette lumière le Seigneur Jésus lui est apparu.
L’aveugle est tombé à terre et beaucoup l’ont cru mort.
Mais, après quelques instants, il a ouvert les yeux. Il pleurait en leur décrivant comment le Seigneur s’était révélé à lui. Son infirmité avait disparu ; il avait recouvré la vue.
Ce même Jésus qui lui est apparu est là avec vous, à cet instant, pour confirmer Ses promesses pour vous, si vous « croyez seulement. »
Nous prêchions l’Evangile en Inde quand un homme plein d’incrédulité est venu à la croisade. Il a écouté l’Evangile, mais ne l’a pas cru.
Après avoir prêché le message, nous avons prié pour la grande multitude. Soudain, cet homme a vu Jésus-Christ debout devant lui. Le Seigneur lui a tendu Ses mains en disant : « Regarde mes mains ; Je suis Jésus ! »
En voyant le Seigneur Jésus et Ses mains percées par les clous, l’incrédule est tombé à Ses pieds, implorant Sa pitié. Il a été glorieusement sauvé en acceptant Jésus-Christ dans son cœur comme son Sauveur personnel.
Nous avons été témoins de tels miracles autour du monde, et le Seigneur est prêt à accomplir le miracle dont VOUS AVEZ BESOIN, là où vous êtes, si vous « croyez seulement. »
Tout ce dont vous avez besoin de la part du Seigneur, si vous Lui demandez de le faire, et croyez qu’Il vous entend et qu’Il exauce votre prière, Il le fera pour vous.
Jésus-Christ est vivant ! Il n’a jamais changé ! Il est là à l’instant, avec vous, pour confirmer Sa Parole et vous bénir. Vous ne Le voyez peut-être pas, mais Il est là quand même. Pouvez-vous croire ? Il a dit : « Si tu peux (croire) … Tout est possible à celui qui croit. »
Je vous demande de vous approcher du Seigneur maintenant, dans votre cœur, avant même de déposer ce livre. Invoquons Son Nom en prière et faisons bon accueil à Sa présence. Ainsi, en continuant de lire ce livre, vous saurez qu’Il est là pour VOUS REVELER SA VERITE et démontrer Sa puissance par un MIRACLE dans VOTRE vie. C’est ce qu’IL VEUT FAIRE POUR VOUS.
Jésus a dit : « Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. » Que voulez-vous que Jésus-Christ fasse pour vous à l’instant ?
Si vous honorez Son Nom et si vous croyez en Lui de tout cœur, je prierai pour vous maintenant. Dans votre cœur « croyez au Seigneur Jésus, et vous serez sauvé. »
OH, SEIGNEUR BIEN-AIME, qui es dans les cieux :
Je prie maintenant pour celui qui lit ce livre et cette prière. Je demande que Jésus-Christ, Ton Fils, vienne à celui qui se joint à moi dans la prière. Révèle-Toi, à l’instant, Seigneur Jésus.
Chaque fois que ce lecteur prend ce livre, manifeste-lui Ta sainte présence d’une façon merveilleuse. D’une page à l’autre, révèle Ta Personne et Ta puissance. Que chaque chapitre soit une nouvelle expérience avec Toi.
Si ce lecteur n’est jamais vraiment né de nouveau (n’est pas vraiment SAUVE), je prie que la merveilleuse vérité du SALUT lui soit révélée par les chapitres importants qui traitent de ce sujet ; que chaque péché soit pardonné et ôté pendant la lecture de ce livre.
Et Seigneur, si le lecteur (ou la lectrice) est malade, ou si ce livre est lu à un malade, un alité ou un paralytique, que les vérités de Ta guérison lui apparaissent clairement et simolement. Que Jésus-Christ se manifeste comme LE GRAND MEDECIN TOUJOURS PRESENT pour qui RIEN N’EST IMPOSSIBLE. Par ces vérités simples, mais dynamiques, révèle TA puissance pour guérir.
Quelle que soit la maladie ou l’infirmité qui opprime, soit le lecteur, soit celui qui écoute la lecture de ce livre, cher Seigneur, démontre Ta puissance de guérison par les vérités de ces pages. A mesure qu’il ou elle comprend ces vérités merveilleuses, que la vertu-miracle de Jésus-Christ pénètre son corps, au moment même de lire ou d’écouter, fais disparaître tout symptôme de maladie. Je sais que Tu le feras parce que « Tu envoies Ta Parole et les guéris. » Tu as dit que « nous connaîtrons LA VERITE, et LA VERITE NOUS AFFRANCHIRA ».
Merci Seigneur, pour le MIRACLE-DE-TA-PRESENCE et pour Ta puissance.
Que le voyage au travers de ces chapitres soit jalonné d’une SUCCESSION DE MIRACLES qui confirmeront chaque vérité présentée. Que l’on sache que « Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
J’invoque cette bénédiction sur quiconque lit ou écoute ce livre en cet instant même, au Nom de Jésus-Christ. Amen !
Chapitre deux
POURQUOI DES MIRACLES ?
QUAND JESUS A COMMENCE Son ministère en public, c’était un ministère de miracles.
Sa conception, Sa naissance, Sa vie, Sa sagesse et ses enseignements, Son ministère, Sa mort, Sa résurrection. Ses apparitions et Son ascension étaient tous des miracles étonnants et incontestables.
Quand l’Eglise a commencé son ministère, c’était un ministère de miracles.
Un flot de miracles coulaient des mains des Apôtres, troublant les systèmes religieux de cette époque à tel point que même le gouvernement romain, qui rejetait Christ, en était affecté.
Ces premiers Chrétiens avaient découvert un fait bouleversant : Le Christ ressuscité par Dieu avait la même puissance qu’avant Sa crucifixion. En réponse à leur prière, faite en Son Nom, Il accomplissait les mêmes miracles. Il était encore vivant ; Il vivait en eux ; Il n’avait pas changé.
Les malades guérissaient. Les morts ressuscitaient. Les démons étaient chassés par Son Nom.
Ces premières années de l’histoire de l’Eglise primitive, décrites dans « les Actes des Apôtres », doivent servir de modèles aux « actes de l’Eglise » jusqu’au retour de son Seigneur et Maître. Voilà le Christianisme AUTHENTIQUE !
Si nous n’avons pas le surnaturel dans le Christianisme, nous n’avons rien qu’une autre religion, et le vrai Christianisme n’est pas une religion. C’EST UNE VIE !
La religion, c’est une forme de piété, l’observation de cérémonies religieuses. Mais le Christianisme authentique est une VIE.
Le Christianisme doit être le cœur et la nature de Jésus-Christ manifesté dans les êtres humains.
Le christianisme authentique engendre le miracle dans le quotidien. Il a commencé par des miracles ; il est fondé sur des miracles ; il est propagé par des miracles. C’est la seule vie qui rassasiera le cœur de l’humanité – dans le monde entier.
La Bible est un puits de miracles – un récit d’événements divins.
En commençant par Abraham, un grand nombre de personnages importants qui ont marqué l’Ancien Testament étaient des faiseurs de miracles – ou, plutôt, Dieu a accompli des miracles en réponse à leur foi audacieuse et active.
Le but de ces miracles qui existait entre les dieux morts des païens et le Dieu vivant et vrai, Créateur du ciel et de la terre – et, par ce fait, de convertir les Incrédules au Dieu vivant.
Les miracles terminés, les gens retombaient dans l’adoration des dieux morts, ne retournant au Dieu vivant qu’après une autre série de miracles spectaculaires.
L’humanité aspire au Dieu vivant. Elle a soif de miracles.
Chaque fois que se présente un homme ou une femme dont les prières sont entendues et exaucées, il se rassemble de grandes foules pour les écouter parler – des foules plus grandes que n’en attirerait le philosophe ou l’homme d’état le plus connu.
Cet amour du miraculeux n’est pas une marque d’ignorance, mais plutôt une indication du désir intense de l’humanité de connaitre le Dieu invisible.
En fait, le but, le dessein de Dieu pour l’humanité, dès le commencement, était que les gens possèdent une faculté et une autorité surnaturelles. Les êtres humains ont été créés, dotés de ces aspirations.
Adam et Eve ont été créés et mis dans le Jardin d’Eden. Modelés à l’image de Dieu, ils étaient destinés à vivre, à faire des projets et à travailler avec Dieu, accomplissant Son Plan Divin sur la terre.
Etant créés à l’image de Dieu, ayant la nature de Dieu, sans Lui ils ne peuvent jamais trouver l’épanouissement total. Instinctivement, les êtres humains cherchent Dieu, qu’ils l’admettent ou non. Les gens cherchent une raison d’être. La vie humaine a un but divin et, à moins de le découvrir, on se débat dans l’incertitude. Etant issus d’un Dieu de miracles, les gens ont une soif innée de faire l’expérience des miracles.
L’instruction n’élimine pas ce désir du miraculeux.
Certains prétendent que l’enseignement remplace maintenant les miracles et que nous n’avons plus besoin de la puissance surnaturelle de Dieu.
De tels arguments sont l’objet de la risée de l’Ennemi.
Un seul grand miracle, accompli aujourd’hui au Nom de Jésus-Christ, vaut mieux qu’une vie entière de théorie religieuse.
Les gens veulent voir Dieu à l’œuvre.
Les peuples n’ont jamais été délivrés de leurs péchés par les prédicateurs de théories religieuses, mais par des hommes et des femmes qui avaient une vision nouvelle de Jésus-Christ, « le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
Tout réveil spirituel qui a honoré Christ et Sa Parole a été ponctué par des miracles.
Il est impossible de vraiment honorer la Parole de Dieu sans être témoin de miracles.
Normalement, tout être humain aspire au surnaturel. Il désire ardemment voir une manifestation de la puissance de Dieu.
Même un professeur athée, qui nie toute existence de Dieu, se glisserait dans une foule pour observer un miracle.
Des gens cultivés écouteront un prédicateur sans éducation, s’il a foi en Dieu vivant – s’il prie et reçoit l’exhaussement.
Une orthodoxie morte n’a en elle ni de puissance de résurrection – ni de force capable d’accomplir des miracles.
Ceux qui nous disent que nous n’avons plus besoin de miracles aujourd’hui – que l’éducation les a remplacés, se laissent duper et tromper par l’Adversaire. Ils révèlent ainsi leur ignorance de la soif spirituelle à la nature de l’homme.
Cette envie du miraculeux est profondément enracinée dans chaque être humain, quelles que soient sa nationalité ou ses origines, parce qu’il est descendant du Dieu MIRACLE, le Dieu des miracles.
Aujourd’hui, les hommes et les femmes ont autant besoin qu’auparavant des miracles de Jésus-Christ.
Le Christ fait aujourd’hui les mêmes miracles que toujours. La Bible dit qu’Il « est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Nous devons permettre à la puissance et à la vie de Christ de demeurer en nous. C’est là le vrai Christianisme. Toul le reste n’est qu’une routine ecclésiastique qui n’offre guère que rites et cérémonies symboliques.
Notre slogan doit être : « Christ vivant, des miracles comme avant ! »
Partout où, avec une foi courageuse, un Chrétien proclame la Parole de Dieu, la foule se précipitera pour voir les preuves de la puissance miraculeuse du Christ.
Jésus attirait des multitudes par Ses miracles, et Il le fera de même aujourd’hui, partout où des miracles sont accomplis en en Son Nom.
Quand on exerce une foi biblique, on obtient des résultats bibliques.
En enseignant comme le faisait l’Eglise primitive, on obtiendra les mêmes résultats, quel que soit le pays dans lequel on enseigne.
Pourquoi cette absence de miracles, aujourd’hui, dans tant de milieux différents ?
La Bible dit : « La foi vient de ce qu’on entend la Parole de Dieu ».
Mais souvent, « la foi meurt lorsqu’on entend la parole des théologiens « , et l’Incrédulité vient en les écoutant « annuler la Parole de Dieu par leur tradition ».
Un serviteur de Dieu peut proclamer un jeûne d’une semaine, mais cette démarche n’entrainera aucun résultat miraculeux, s’il n’enseigne pas les promesses de Dieu dans leur simplicité absolue.
Il peut organiser des nuits entières de prières ; si son enseignement n’encourage pas à une foi simple en Christ, cela ne servira à rien.
Un vrai réveil spirituel doit commencer d’abord chez le responsable, le pasteur, le prêtre, le missionnaire. Le message doit être juste, sinon tout le reste est vain.
Les laïcs et le clergé doivent être disposés à réviser leur manière de penser, leur enseignement et leurs actes. Autrement, un réveil spirituel n’aura pas lieu.
« La foi vient de ce qu’on entend … LA PAROLE DE DIEU » - non pas ce que l’on enseigne des traditions des hommes.
Jésus a dit : « Vous annulez ainsi la Parole de Dieu au profit de votre tradition ». « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition ».
Nous ne pouvons pas compter sur les complexités de la théologie moderne et obtenir des résultats bibliques. Nous ne pouvons pas employer les méthodes d’un « ecclésiastisme » désuet et gagner les Inconvertis à Christ. Si nous voulons moissonner les fruits de la foi, nous devons semer la semence de la foi, qui est la Parole de Dieu.
Les malades seront guéris, les pécheurs se convertiront et les NON-croyants se tourneront vers Christ en tous lieux, quand les actions correspondront à l’enseignement. Alors, Christ, dans Sa puissance, confirmera Sa Parole.
On ne peut exclure le miraculeux, quand on proclame la Vérité.
« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité nous affranchira ».
Jésus dit : « Je suis --- la VERITE ».
Dieu « envoya Sa Parole et (Elle) les guérit ». Une autre traduction met cette phrase au temps présent. Dieu CONTINUE TOUJOURS à envoyer Sa Parole et à guérir les gens.
Les promesses de Dieu sont « la VIE pour ceux qui les trouvent … la SANTE pour tout leur corps ».
En plus de 30 ans de grandes croisades, en 60 pays, parmi des dizaines de milliers miraculeusement guéris par Christ, il n’en est que bien peu pour qui nous ayons prié individuellement. Ils ont été guéris par leur propre foi, née dans leurs propres cœurs, en méditant les vérités bibliques que nous prêchions de notre estrade ou en lisant un de nos livres au sujet de la foi biblique.
J’ai découvert que beaucoup de membres d’églises autour du monde ont été convaincus par leurs pasteurs que la maladie peut être une bénédiction divine déguisée. On leur apprend que la maladie peut enseigner l’humilité et la patience, ou qu’elle fait peut-être partie d’un dessein divin quelconque, et ainsi qu’il ne faut pas lui résister, mais qu’il faut l’accepter avec grâce et la supporter humblement avec patience pour la gloire de Dieu, etc. tous ces enseignements constituent la « vaine tradition » qui annule les promesses de Dieu. J’ai aussi découvert que très peu de gens peuvent citer un seul verset biblique qui leur promette catégoriquement la guérison physique.
Si l’on n’enseigne pas ces promesses, les gens ne peuvent pas les connaitre.
Si les gens ne connaissent pas ces vérités, il ne peut y avoir aucune foi pour des miracles.
Sans la foi pour les miracles, ceux-ci ne peuvent s’accomplir.
Sans miracles, il n’y a presque rien pour attirer les NON-croyants à écouter l’Evangile, et encore moins pour les persuader de l’accepter.
Mais la solution est positive et merveilleusement accessible. Par Son exemple Jésus proclamait et accomplissait des miracles. Ses disciples s’inspiraient de Lui pour établir une Eglise primitive vivante et dynamique.
Aujourd’hui, le besoin de miracles qui prouvent la présence vivante de Christ est, sans aucun doute, encore plus grand. Sachant à l’avance que nous affronterions des obstacles, l’apostasie et l’incrédulité, Jésus nous a promis : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père.
La clé des miracles, c’est simplement la foi que CHRIST A DIT CE QU’IL A VOULU DIRE. C’est croire, comme un enfant, que Dieu EST ce qu’Il dit qu’Il est. Vous ÊTES CE qu’Il (Sa Parole) dit que vous êtes. Dieu FERA ce qu’Il dit qu’Il fera. Vous pouvez FAIRE ce qu’Il vous déclare capable de faire. Dieu A ce qu’Il dit qu’Il possède. Et vous AVEZ ce qu’Il dit que vous avez.
Relisez les paroles de Jésus et du Nouveau Testament et mettez-les en pratique. Découvrez qui vous êtes et ce que vous possédez. Vous verrez ce que Dieu fera DANS VOTRE VIE.
Toujours et partout, quand les gens acceptent les promesses de Dieu et les enseignements de Christ, en se basant sur les faits ci-dessus, inévitablement, tôt ou tard, de grands réveils spirituels ont lieu, accompagnés de « signes, de prodiges et de miracles.
Les miracles dans ce siècle sont aussi précieux et indispensables à un Christianisme authentique, que jamais auparavant.
« Je suis l’Eternel, je NE change PAS ».
« Le ciel et la terre disparaîtront, mais MES PAROLES ne disparaîtront JAMAIS ».
Dans maints pays, nous avons mis à l’épreuve les promesses de Dieu. Il a prouvé qu’Il est « L’ETERNEL qui NE CHANGE JAMAIS » !
Le monde s’est émerveillé devant les immenses foules et les miracles quasi incroyables qui ont eu lieu en Hollande lors de notre Croisade.
Plus de 100 000 personnes s’assemblèrent, jour après jour, sur le grand terrain de Malieveld à La Haye, pour écouter le simple Evangile que nous présentions à cette véritable mer humaine.
Notre thème fondamental : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
Ce verset de la Bible a servi de thème à chacune de nos Croisades, pendant 30 ans, en plus de 60 pays.
Les gens ont besoin, je le crois, de savoir que Jésus est tout aussi réel aujourd’hui qu’Il l’était avant d’être crucifié.
Il a promis : « Voici, je suis avec vous tous les jours ».
Il est ici pour accomplir, aujourd’hui – pour VOUS, les mêmes miracles qu’aux jours de la Bible. Ses promesses n’ont jamais changé ; Sa puissance et son ministère non plus. Il est tout aussi miséricordieux et compatissant que jamais. Il vous aime, alors même que vous lisez ces pages, et j’ai foi qu’un nouveau miracle commence en VOUS dès maintenant.
Ma femme et moi avons beaucoup de chance.
Nous avons accepté Jésus comme notre Sauveur quand nous étions jeunes.
Nous avons consacré nos vies à partager la P arole de Dieu avec les autres et avons été témoins de miracles puissants dans le monde entier, accomplis par une foi simple dans les promesses de Dieu. Jésus m’est apparu, un jour, dans ma chambre. De mes propres yeux, j’ai vu que Jésus, le Fils de Dieu, est vivant. De ce jour, nous nous sommes consacrés à lui obéir et à « aller par tout le monde, et prêcher la Bonne Nouvelle à toute la création ». Je connaissais Sa promesse : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En mon Nom, ils chasseront les démons … ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris », et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ».
Donc … dans tous les pays où nous sommes allés, de grandes foules se sont assemblées. Des milliers se sont repentis de leurs péchés et ont trouvé une foi nouvelle pour suivre le Seigneur. Et des miracles de toutes sortes ont été réalisés par Dieu lorsque nous avons prié, au Nom de Jésus. La Bible dit que les disciples « s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la Parole par les miracles qui l’accompagnaient ». Voilà notre témoignage depuis 30 ans. Dieu n’est pas un mythe. Il est réel. La Bible n’est pas un recueil de fables. Elle est la Parole de Dieu. Chaque parole est vraie et digne de foi.
Dieu veut que nous mettions Sa Parole à l’épreuve, aujourd’hui, pour des miracles, car la génération actuelle a besoin d’une PREUVE-MIRACLE que Jésus-Christ est aussi réel qu’Il l’était ls générations précédentes. Alors, agissez sur Sa Parole de promesse et revendiquez aujourd’hui Ses miracles, pour vous et votre foyer. Sa Parole est sûre !
PARTIE I
CELUI QUI GUERIT
LE PREMIER PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE SAVOIR QUE LE TEMPS DES MIRACLES N’EST PAS PASSE ET QUE LA GUERISON DU CORPS FAIT ENCORE AUJOURD’HUI PARTIE DU MINISTERE DE CHRIST.
CHAPITRE TROIS
LA GUERISON POUR AUJOURD’HUI
LE PREMIER PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE SAVOIR QUE LE TEMPS DES MIRACLES N’EST PAS PASSE ET QUE LA GUERISON DU CORPS FAIT ENCORE AUJOURD’HUI PARTIE DU MINISTERE DE CHRIST.
A L’EPOQUE DE LA BIBLE, les malades étaient guéris, les aveugles recouvraient la vue, les sourds entendaient, les paralytiques se mettaient à marcher, les lépreux étaient purifiés, et toures sortes de maladies étaient guéries par la puissance de Dieu. Ces miracles sont d’actualité, aujourd’hui comme toujours.
Cinq raisons fondamentales nous permettent de le savoir :
1. DIEU est « l’Eternel qui te guérit », et Il n’a jamais changé : « Je suis l’Eternel, je ne change pas ».
2. JESUS-CHRIST guérissait les malades, et Il n’a jamais changé. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
3. Jésus a ordonné à Ses DISCIPLES de guérir les malades, et un véritable disciple de Christ ressemble aujourd’hui à ceux d’autrefois : « Si vous demeurez dans ma Parole, vous êtes vraiment mes disciples ».
4. Des miracles de guérison se produisaient partout où s’exerçait le ministère de l’EGLISE PRIMITIVE, et la véritable Eglise n’a jamais changé. Les Actes des Apôtres demeurent l’exemple et le modèle de la véritable Eglise jusqu’à la fin du monde ».
5. Jésus a chargé TOUS LES CROYANTS, dans tous les pays, jusqu’aux extrémités de la terre, d’imposer les mains aux malades, et Il a promis : « Les malades seront guéris ». Or, il est certain que les véritables croyants n’ont jamais changé. Jésus a dit : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais ».
La guérison miracles a été dispensée d’abord par l’Eternel-Dieu ; puis, par le ministère du Seigneur Jésus-Christ ; ensuite, par Ses disciples qui agissaient selon Sa Parole et suivaient Son exemple ; plus tard, par la puissance de Christ ressuscité et de l’Esprit Saint manifesté par l’intermédiaire de l’Eglise Primitive ; et finalement, par ce même Christ ressuscité et la puissance du même Esprit Saint agissant au travers des vies de tous les croyants dans le monde entier.
Par conséquent, le temps des miracles n’est pas passé et la guérison du corps fait encore partie du ministère de Christ, aujourd’hui comme toujours. Et ce qu’Il a fait pour des dizaines de milliers d’autres, IL VEUT LE FAIRE POUR VOUS !
CHAPITRE QUATRE
CENT POINTS D’APPUI
BEAUCOUP DE GENS CROIENT que Dieu guérit parfois les malades, mais ils ne savent pas personnellement que Jésus est CELUI QUI VEUT LES GUERIR et HABITER ETERNELLEMENT EN EUX. Ils ne connaissent rien des nombreuses preuves qui démontrent que la santé du corps fait partie intégrante du salut en Jésus-Christ.
Ils constatent que d’autres sont guéris, mais ils se demandent si leur guérison est dans la Volonté de Dieu. Ils attendent une révélation spéciale de la Volonté de Dieu pour leur cas et, pendant ce temps, ils utilisent toutes les ressources thérapeutiques de la science humaine, qu’ils pensent ou non que la Volonté de Dieu soit de les guérir.
Si ce n’est pas la Volonté de Dieu qu’ils guérissent, ils auraient tort de chercher la guérison par des moyens scientifiques.
Si la guérison est dans la Volonté de Dieu, alors toute guérison vient de Dieu, que l’on guérisse à l’aide de la médecine, ou par la prière et la foi dans les promesses de Dieu.
La Bible révèle la Volonté de Dieu en ce qui concerne la guérison du corps, tout aussi clairement qu’elle révèle Sa Volonté concernant le salut de l’âme. Dieu n’a pas à dispenser de révélation particulière de Sa Volonté, puisqu’Il a révélé cette Volonté, clairement et par écrit, dans Sa Parole (par exemple, quand il a catégoriquement promis de faire quelque chose de précis). Ses promesses de guérison sont une révélation de Sa VOLONTE DE GUERIR le corps, tout autant que Ses promesses de salut révèlent Sa VOLONTE DE SAUVER l’âme.
En étudiant soigneusement les Ecritures, on voit clairement que Dieu est à la fois le Sauveur de Son peuple, et Celui qui le guérit ; que c’est toujours Sa Volonté de sauver et de guérir tous ceux qui veulent bien Le servir. Pour mettre ceci en évidence, nous appelons à votre attention les 100 points d’appui suivants :
1. La maladie n’est pas plus naturelle que le péché. Tout ce que Dieu a créé était « très bon ». Nous ne devrions donc pas recourir au « naturel » comme seul remède au péché ou à la maladie ; mais au contraire conclure que le Dieu qui nous a créés heureux, robustes, bien portants et en communion avec Lui, est Celui qui guérit nos maladies, tout autant que Celui qui nous sauve de nos péchés.
2. Et le péché, et la maladie se sont introduite dans le monde par la chute de l’homme. C’est donc en la personne du Sauveur que nous devons chercher leur guérison.
3. Quand Dieu a appelé Ses enfants hors d’Egypte, Il a conclu avec eux une Alliance de guérison. Tout au long de leur histoire, nous les trouvons en proie à la maladie et aux épidémies, se tournant vers Dieu dans le repentir et la confession – et toujours, quand leurs péchés étaient pardonnés, ils étaient guéris de leurs maladies.
4. Dieu guérissait ceux qui étaient mordus par des serpents brûlants, en les faisant regarder un serpent d’airain élevé sur une perche qui préfigurait le Calvaire. Si TOUS CEUX qui regardaient le serpent d’airain étaient guéris alors, logiquement TOUS CEUX qui regardent Jésus peuvent être guéris aujourd’hui.
5. Jésus à dit : « Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut DE MÊME que le Fils de l’homme soit élevé ».
6. L’humanité d’alors avait péché contre Dieu ; et l’humanité d’aujourd’hui a aussi péché contre Lui.
7. La morsure du serpent venimeux entraînait la mort en ce temps-là ; aujourd’hui « le salaire du péché, c’est la mort ».
8. Les gens d’alors ont invoqué Dieu : Il a entendu leurs supplications et leur a fourni un remède – le serpent élevé sur une perche ; ceux qui, aujourd’hui, font appel à Dieu découvrent qu’Il a entendu leur prière et qu’Il a pourvu au remède – Christ élevé sur la Croix.
9. Autrefois, ce remède était pour « quiconque avait été mordu » ; aujourd’hui, le remède est pour « quiconque croit ».
10. Leur remède leur octroyait à la fois le pardon de leurs péchés, et la guérison de leurs corps ; en Christ, nous recevons à la fois le pardon de nos péchés, et la guérison de nos corps malades.
11. Il n’y avait pas d’exception – le remède était pour « quiconque avait été mordu » ; il n’y a pas non plus d’exception aujourd’hui – le remède est pour « quiconque croit ».
12. Il fallait que chacun regarde (personnellement) le remède ; aujourd’hui, il faut que chacun croie en Christ personnellement.
13. Ils n’avaient besoin ni de mendier, ni d’offrir quelque chose à Dieu. Il n’y avait qu’une condition : « quiconque regardera … » Aujourd’hui non plus, nous n’avons ni à mendier ni à offrir quoi que ce soit à Christ. La seule condition qui nous est imposée se résume à « quiconque croit ».
14. On ne leur disait pas de regarder Moïse, mais bien le remède ; aujourd’hui, on ne nous dit pas de regarder le serviteur de Dieu, mais bien de regarder Christ.
15. Ce n’étaient pas les symptômes de leurs morsures qu’ils devaient regarder, mais le remède ; de même, nous ne devons pas regarder les symptômes de nos péchés et de nos maladies, mais le remède, qui est Christ.
16. « QUICONQUE avait été mordu, et regardeait, conservait la vie », cette promesse était faite à TOUS, sans exception ; « QUICONQUE croit en Lui ne périra pas, mais il aura la vie éternelle » est aujourd’hui une promesse pour TOUS sans exception.
17. Puisque leur malédiction était ôtée quand ce serpent d’airain était élevé sur une perche pour préfigurer le Calvaire, il est certain que notre malédiction a été ôtée par le Calvaire proprement dit.
18. Ce symbole annonciateur du Calvaire ne pouvait pas avoir de sens plus profond pour les Israélites d’alors, que le Calvaire lui-même n’en a pour nous. Ils ne pouvaient sûrement pas tirer de cette simple préfiguration du Calvaire plus de bénédictions que nous ne pouvons en recevoir par le Calvaire proprement dit.
19. Dieu promet la protection de nos corps autant que de nos âmes, si nous demeurons en Lui. Dans le Nouveau Testament, Jean souhaite « que tu prospères à tous égards et sois en bon e santé, comme prospère l’état de ton âme ». Ces deux versets montrent que la Volonté de Dieu est que nous soyons aussi sains de corps que d’esprit. Ce n’est jamais la Volonté de Dieu que nos âmes soient malades ; ce n’est pas non plus Sa Volonté que nos corps le soient.
20. Asa est mort dans sa maladie, car « il ne chercha PAS l’Eternel, mais il consulta les médecins » ; Ezéchias, au contraire, a vécu, parce qu’il ne s’est PAS tourné vers les médecins, mais vers l’Eternel. Cela ne veut pas dire que les médecins ont tort, mais qu’il nous faut reconnaitre que Dieu est la SOURCE de notre santé.
21. L’abolition de nos maladies est comprise dans l’expiation de Jésus, autant que celle de nos péchés. Il s’est est « chargé », ce qui implique une substitution – Il a souffert POUR nous – à notre place – Il ne s’est pas contenté de souffrir AVEC nous. Il s’est chargé de NOS maladies, pourquoi les porterions-nous encore ?
22. Christ a accompli les paroles d’Esaïe, car « Il guérit TOUS LES MALADES ».
23. Il nous est révélé que la maladie vient tout droit de Satan : « Satan … frappa Job d’un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête ». Job a conservé une foi inébranlable en criant à Dieu de le délivrer, et il a été guéri.
24. En parlant de la femme infirme, Jésus a dit qu’lle était liée par Satan et qu’il fallait la délivrer. Il ca chassé « l’esprit qui la rendait infirme » et elle a été guérie.
25. Un démon rendait un homme aveugle et muet. Une fois le démon chassé, cet homme parlait et voyait.
26. Un petit garçon était sourd-muet et avait des convulsions, à cause d’un démon. Le démon chassé, l’enfant a été guéri.
27. La Bible dit que « Jésus de Nazareth … allait de lieu en lieu … guérissant TOUS ceux qui étaient sous l’empire du diable ». Ce verset nous montre bien que la maladie est une oppression venue de Satan.
28. Il nous est dit que : « le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable ». La maladie est une des œuvres de Satan. Pendant Son ministère terrestre, Jésus-Christ a toujours traité le péché, la maladie et les démons de la même manière ; ils lui étaient tous détestables ; Il les chassait tous ; il a paru pour détruire tout cela.
29. Il ne veut pas que persistent aujourd’hui dans nos corps les œuvres du diable qu’Il est venu détruire. Il ne veut pas qu’un cancer, une plaie, une malédiction, « les œuvres du diable », existent dans Ses propres membres. « Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres de Christ ? »
30. Jésus a dit : « Le Fils de l’homme n’est pas venu pour détruire … mais pour sauver les hommes. La maladie détruit, donc elle n’est pas de Dieu. Christ est venu nous « sauver ». En grec, Sozo veut dire délivrer, sauver préserver, guérir, donner la vie , rendre la santé ; mais jamais « détruire ».
31. Jésus a dit que « le voleur (il s’agit de Satan) ne vient que pour dérober, égorger et détruire : Moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance ».
32. Satan est un meurtrier ; ses maladies détruisent la vie. Ses infirmités dérobent bonheur, santé, argent, temps et efforts. Christ est venu donner la vie en abondance à nos âmes, et à nos corps.
33. La « vie de Jésus » nous est promise « dans notre corps ».
34. On nous apprend que l’œuvre de l’Esprit est de donner la vie à nos corps mortels, dans cette vie.
35. L’œuvre de Satan est de tuer ; l’œuvre de Christ est de donner la vie.
36. Satan est mauvais. Dieu est bon. Les mauvaises choses viennent de Satan. Les bonnes choses viennent de Dieu.
37. La maladie vient donc de Satan. La santé vient donc de Dieu.
38. Toute autorité et tout pouvoir sur tous les démons et toutes les maladies, les pleins pouvoirs ont été donnés à chaque disciples de Christ. Puisque Jésus a dit : « Si vous demeurez dans ma Parole, vous êtes vraiment mes Disciples ; ceci s’applique donc à vous aujourd’hui, si vous demeurez dans Sa Parole et agissez en conséquence.
39. Le droit de prier et d’être exaucé est donné à chaque croyant : « Si vous demandez quelque chose en mon Nom, je le ferai ». logiquement, cela comprend aussi la guérison, si l’on est malade.
40. « QUICONQUE demande reçoit ». Cette promesse est pour VOUS. Elle concerne QUICONQUE est malade.
41. Le ministère de guérison a été confié aux soixante-dix, qui représentaient les futurs ouvriers de l’Eglise.
42. Il est confié à « ceux qui auront cru » l’Evangile ; c’est-à-dire, à ceux qui le « mettent en pratique », qui « l’accomplissent » ou qui le « traduisent en actes ».
43. Il est confié aux « anciens » de l’Eglise.
44. Il est remis à l’Eglise entière ; c’est un de ses ministère et de ses dons, jusqu’au retour de Jésus.
45. Jésus n’a jamais envoyé quelqu’un annoncer l’Evangile, sans lui commander de guérir les malades. Il a dit : « Dans quelque ville que vous entriez … guérissez les malades qui s’y trouveront ». Ce commandement s’applique toujours aujourd’hui à un ministère authentique.
46. Jésus a dit qu’Il continuerait ces mêmes œuvres au travers des croyants pendant qu’Il est avec le Père : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes parce que je m’en vais au Père ». Ceci inclut très certainement la guérison des malades.
47. Dans la Sainte Cène, on prend la coupe « en mémoire » de Son sang répandu pour la rémission de nos péchés. On mange le pain « en mémoire » de Son corps sur lequel sont retombées nos maladies, et c’est par ses meurtrissures que « nous sommes guéris ».
48. Jésus a dit que certains leaders religieux « annulaient la Parole de Dieu par (leur) tradition ». Cela fait des siècles que les idées et les théories de l’homme ont fait obstacle à la proclamation de ce qui, dans l’Evangile, a trait à la guérison, et à sa mise en pratique à l’exemple de l’Eglise Primitive.
49. UNE TRADITION dit que Dieu veut que certains de Ses enfants subissent la maladie, et que, par conséquent, beaucoup de personnes pour qui l’on prie ne sont pas guéries, parce que ce n’est pas Sa Volonté de les guérir. Quand Jésus a guéri l’enfant démoniaque dans Marc, chapitre 9 – celui que les disciples « n’avaient pas pu » guérir – il a prouvé que C’EST la Volonté de Dieu de guérir même ceux qui n’ont pas reçu la guérison. De plus, Il attribuait l’échec des disciples pour guérir cet enfant, non à la Volonté de Dieu, mais à « l’incrédulité » des disciples.
50. Si beaucoup ne sont pas guérit aujourd’hui quand quelqu’un prie pour eux, ce n’est jamais parce que la Volonté de Dieu n’est pas de les guérir.
51. Si la maladie est la Volonté de Dieu, alors chaque médecin est un hors-la-loi, chaque infirmière défie le Tout-Puissant, et tout hôpital est un repaire de la rébellion, plutôt qu’un asile de miséricorde.
52. Puisque Christ est venu faire la Volonté du Père, le fait qu’il « GUERISSAIT TOUL LES MALADES » est la preuve que Dieu veut que TOUS soient guéris.
53. Si ce n’est pas la Volonté de Dieu que TOUS soient guéris, comment est-ce que « TOUS » dans cette « multitude » ont obtenu de Christ ce que Dieu ne voulait pas que certains reçoivent ? l’Evangile dit : « Il guérit TOUS les malades ».
54. Si ce n’est pas la Volonté de Dieu que TOUS soient guéris, pourquoi l’Ecriture affirme-t-elle « par Ses meurtrissures … NOUS sommes guéris » « par les meurtrissures duquel VOUS avez été guéris » ? Comment peut-elle déclarer que « nous » et « vous » sommes guéris, si c’est la Volonté de Dieu que certains d’entre nous soient malades ?
55. Christ n’a jamais refusé la guérison à ceux qui Lui ont demandé de les guérir. Les Evangiles affirment fréquemment : « Il les guérissait TOUS ». Christ, Celui qui guérit, n’a jamais changé.
56. Dans toute la Bible, il n’y a qu’un homme qui ait demandé la guérison en ajoutant : « Si Tu le veux ». c’était le pauvre lépreux et Jésus lui a immédiatement répondu : « JE LE VEUX, sois pur ».
57. UNE AUTRE TRADITION est que nous pouvons glorifier Dieu davantage par notre patience dans la maladie que par notre guérison. Si la maladie, plutôt que la guérison, glorifie Dieu, alors tout effort de guérir par des moyens naturels ou divins équivaut à dérober à Dieu la gloire qui Lui est due.
58. Si la maladie glorifie Dieu, alors nous devrions être malades plutôt que bien portants.
59. Si la maladie glorifie Dieu, Jésus a volé à Son Père toute la gloire possible en guérissant TOUS les malades, et le Saint-Esprit a continué à le faire tout au long des Actes des Apôtres.
60. Paul dit : « Vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu ».
61. Ce sont notre corps et notre esprit qui ont été rachetés à grand prix ; et c’est avec les deux que nous devons glorifier Dieu.
62. Nous ne glorifions pas Dieu en « esprit » en demeurant dans le péché ; nous ne Le glorifions pas non plus dans notre « corps en restant malades.
63. Certains utilisent la maladie et la mort de Lazare pour prouver que la maladie glorifie Dieu. Mais Dieu n’a pas été glorifié dans ce cas avant la résurrection de Lazare à la suite de quoi « beaucoup … crurent en Lui ».
64. UNE AUTRE TRADITION dit que, bien que Dieu en guérisse certains, ce n’est pas Sa Volonté de les guérir TOUS. Mais Jésus, qui est venu faire la Volonté du Père, « guérissait tous les malades ».
65. Si la guérison n’est pas pour tous, pourquoi Jésus s’est-il chargé de « nos » maladies, « nos » douleurs et « nos » infirmités ? Si Dieu voulait que certains de Ses enfants souffrent, alors Jésus nous a évité une charge que Dieu voulait nous faire porter. Mais, puisque Jésus est venu faire « la Volonté » du Père, et puisqu’Il « s’est chargé de NOS maladies », ce doit être la Volonté de Dieu que TOUS soient en bonne santé.
66. Si ce n’est pas la Volonté de Dieu que TOUS soient guéris, alors les promesses de Dieu de nous guérir ne sont pas pour tous ; cela signifierait que « La Foi (ne vient PAS) de ce qu’on entend … (seulement) la Parole de Christ », mais par contre, elle exige une révélation particulière que Dieu nous a favorisés et veut nous guérir.
67. Si les promesses de Dieu de guérir ne sont pas pour TOUS, cela veut dire que nous ne pouvons pas connaître la Volonté de Dieu en lisant Sa seule Parole ; que nous devons prier jusqu’à ce qu’Il nous parle directement de chaque cas particulier. Cela veut dire que nous devons fermer nos Bibles et prier Dieu pour qu’une révélation personnelle nous dise si c’est Sa Volonté de guérir chaque cas. Autrement dit, nous ne pourrions plus affirmer que la Parole de Dieu s’adresse à nous personnellement. Ce serait absurde ! La parole de Dieu est pour nous TOUS.
68. La Parole de Dieu est Sa Volonté ! Les promesses de Dieu REVELENT SA VOLONTE ! Quand nous lisons ce qu’Il promet de faire, nous savons alors ce qu’Il veut faire.
69. Puisqu’il est écrit : « La foi vient de ce qu’on entend … la Parole de Christ », le meilleur moyen de bâtir la foi en la guérison divine, c’est de laisser parler la Bible à ce sujet.
70. La foi pour la guérison spirituelle « vient de ce qu’on entend » l’Evangile – Il a porté nos péchés ». La foi pour la guérison physique « vient de ce qu’on entend » l’Evangile – Il s’est chargé de nos maladies.
71. Donc, nous devons « prêcher l’Evangile (qu’Il a porté nos péchés) à toute créature ». Nous devons « prêcher l’Evangile (qu’Il s’est chargé de nos maladies) à toute créature ».
72. Christ a insisté sur Sa promesse en la répétant deux fois : « Si vous demandez quelque chose en mon Nom, je le ferai ». Ainsi, Il n’a pas exclu la guérison. « Quelque chose » est aussi la guérison. Cette promesse est pour TOUS.
73. Si la guérison n’est pas pour TOUS, Christ aurait dû préciser : « Tout ce que vous demanderez en priant (SAUF LA GUERISON), croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir ». Mais Il ne l’a pas fait. Par conséquent, la guérison fait partie de ce « tout ». C’est à VOUS qu’Il le promet.
74. Si ce n’était pas la Volonté de Dieu de guérir CHAQUE malade, on ne pourrait se fier à la promesse de Christ : « Si vous demeurez en moi, et que mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé ».
75. La Bible dit : « QUELQU’UN parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Eglise, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au Nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ». Cette promesse est pour tous, pour VOUS, si vous êtes malade.
76. Si, aujourd’hui, comme disent certains théologiens, Dieu a cessé de guérir en réponse à la prière, pour ne guérir qu’au moyen de la science médicale, ceci voudrait dire qu’Il nous oblige à employer une méthode qui réussit moins bien, pendant une dispensation « meilleure ». L’Epitre aux Hébreux dit que nous avons maintenant une « MEILLEURE espérance », un « Alliance PLUS EXCELLENTE », qui est « établie sur de MEILLEURES promesses ». Il a guéri TOUS les malades » en ce temps-là, mais aujourd’hui beaucoup de malades sont incurables par la médecine.
77. Paul dit que chacun de nous devrait « être accompli et propre à tout bonne œuvre, » « capable de toute bonne œuvre », et abonder « pour toute bonne œuvre ». un malade n’en est pas pour capable. C’est donc impossible, si la guérison n’est pas pour TOUS. Soit la guérison n’est pas pour TOUS, soit ces versets ne s’appliquent pas à TOUS.
78. La guérison du corps, dans le nouveau Testament, exprimait la miséricorde de Jésus, et c’est cette miséricorde, cette compassion, cet amour qui Le poussaient toujours à guérir TOUS les malades. Sa promesse dit qu’Il est « plein d’amour pour TOUS ceux qui L’invoquent ». Ceci VOUS concerne aujourd’hui.
79. La traduction littérale d’Esaïe, chapitre 53, verset 4 est : « Assurément (ou certainement) Il a porté nos maladies et s’est chargé de nos douleurs ». pour prouver qu’Il s’est bien chargé de ces maladies (et que nous en sommes donc débarrassés), c’est le même verbe hébreu qui s’applique à nos maladies et à nos douleurs. (Voir les versets 11 et 12).
80. Il est dit de Christ que Dieu « L’a fait devenir péché pour nous », quand « Il a porté nos péchés ». Il est « devenu malédiction pour nous » quand ‘Il s’est chargé de nos maladies ».
81. Puisque Christ « a porté NOS péchés », à qui Dieu veut-il pardonner ? Réponse : à « quiconque croit ». Puisque Christ « s’est chargé de NOS maladies », qui Dieu veut-il guérir ? Réponse : « Quiconque croit ».
82. UNE AUTRE TRADITION, c’est que, si l’on est juste, on doit s’attendre à ce qu la maladie fasse partie de notre vie. On cite l’Ecriture : « Le malheur atteint souvent le juste », mais il ne s’agit nullement de la « maladie » comme certains voudraient nous le faire croire. Il s’agit d’épreuves, de persécutions, de tentations, etc., mais jamais de maladies ou d’infirmités.
83. Il serait contradictoire de dire que Christ s’est chargé de nos maladies et que, par Ses meurtrissures, NOUS sommes guéris, puis d’ajouter que « La maladie atteint souvent le juste », et que c’est Dieu qui veut nous en charger.
84. A l’appui de cette tradition, on cite parfois ce verset de l’Ecriture : « Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus-Christ à Sa gloire éternelle, après que vous aurez SOUFFERT un peu de temps, vous perfectionnera Lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables ». cette « souffrance » ne veut pas dire la maladie, mais les diverses façons dont le peuple de Dieu a si souvent souffert à cause de son témoignage.
85. UN AUTRE TRADITION nous enseigne que nous ne devons pas nous attendre à la guérison de certaines « souffrances » ; on cite le verset suivant : « Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu’il prie ». Ceci non plus ne parle pas de maladie, mais plutôt de ce qui est mentionné dans le paragraphe 82 et 84.
86. UNE AUTRE TRADITION soutient que Dieu châtie Ses enfants par la maladie. On cite Hébreux, chapitre 12, versets 6-8, qui dit en partie : « Le Seigneur châtie celui qu’Il aime ».C’est vrai ; Dieu châtie en effet celui qu’Il aime, mais ce passage ne dit pas qu’Il le rend malade. Le mot « châtier » veut dire ici « instruire, former, discipliner, enseigner, éduquer ; comme un maître « instruit » son élève, ou comme une père « forme et éduque » son enfant.
87. Quand un maîre « instruit » son élève, il peut user de différentes formes de disciplines ; quand un père « éduque » son enfant, il le châtie de diverses manières ; mais il est évident que ce « châtiment » ne comporte jamais la maladie. De même, pour nous « châtier », notre Père Céleste n’a pas non plus à nous infliger de maladie. Il a déjà fait retomber toutes nos maladies sur Christ. Dieu n’exigerait jamais que nous portions, en guise de châtiment, ce que Jésus a déjà porté – A NOTRE PLACE. Le sacrifice de Christ nous a délivrés à jamais de la malédiction du péché et de la maladie, qu’Il a portés pour nous en mourant sur la Croix.
88. LA TRADITION LA PLUS REPANDUE est que « le temps des miracles est passé ». Pour que cela soit vrai, il faudrait que les miracles soient totalement absents. Un seul miracle prouverait que « le temps des miracles n’est pas terminé » !
89. Si le temps des miracles était passé, personne ne pourrait naître de nouveau, parce que la NOUVELLE NAISSANCE est le plus grand miracle au monde. (Demandez mon livre : « Comment naître de Nouveau ».)
90. Si le temps des miracles était passé, comme certains le disent, cela voudrait dire que toute preuve technique examinée dans des centaines de laboratoires sur la terre entière, au sujet d’innombrables cas de guérison miraculeuse, est fausse et que les promesses de Dieu d’accomplir de telles choses ne sont plus pour aujourd’hui.
91. Quiconque prétend que le temps des miracles est passé nie les besoins, les privilèges et les bienfaits de la prière. Lorsque Dieu entend et exauce une prière, que ce soit pour nous donner un timbre-poste ou la guérison d’un cancer, C’EST UN MIRACLE. Si la prière entraîne l’exaucement, cet exaucement est un miracle. S’il n’y a pas de miracles, la foi n’a aucune raison d’être. Dans ce cas, la prière est une plaisanterie, et il faudrait être bien sot pour prier ou s’attendre à un exaucement. Dieu ne peut exaucer une prière sans accomplir un miracle. Si nous faisons la moindre prière, nous devrions nous attendre à un exaucement. Si cet exaucement se manifeste, cela vient de Dieu, et si Dieu a exaucé la prière, Il a fait une chose surnaturelle. C’est un miracle. Nier les miracles aujourd’hui équivaut à désavouer la prière.
92. Le temps des miracles n’est pas terminé, parce que le « Faiseur-de-Miracles » n’a jamais changé. « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
93. Quand Jésus a envoyé Ses disciples prêcher la Bonne Nouvelle, Il leur a dit : « voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ». Cette grande commission s’appliquait à « toute la création », à « tous les pays », « jusqu’à la fin du monde ». la fin du monde n’est pas encore arrivée, donc le temps des miracles n’est pas passé. L’ordre de mission de Christ n’a jamais été ni modifié ni abrogé.
94. Dans cette Grande Commission de Christ, la promesse pour l’âme : « sera sauvé », s’applique à TOUS. Sa promesse pour le corps ; « seront guéris », fait partie de la même Grande commission, et s’applique également à TOUS. Nier qu’une partie de ce commandement soit applicable aujourd’hui équivaut à nier que l’autre partie soit pour aujourd’hui. Tant que cette Grande Commission reste en vigueur, les pécheurs peuvent être guéris spirituellement, et les malades peuvent guéris physiquement, en croyant la Bonne Nouvelle. Dans le monde entier, d’innombrables milliers de personnes sincères reçoivent la guérison, tant physique que spirituelle, en ayant simplement foi dans les promesses de Dieu.
95. Christ a porté VOS péchés pour que VOUS puissiez être pardonné ; la Vie Eternelle est à VOUS. Revendiquez cette bénédiction et confessez-la par la foi, et Dieu en fera une réalité dans votre vie.
96. Christ s’est chargé de VOS maladies, afin que VOUS puissiez être guéri. La Santé Divine est pour VOUS. Revendiquez cette bénédiction, et confessez-la par la foi, et Dieu la manifestera dans votre corps.
97. Comme tous les dons rédempteurs de Christ, la guérison Divine doit être reçue uniquement par la foi et, une fois reçue, cette santé doit être consacrée uniquement au service de Christ et à Sa seule gloire.
98. Dieu est tout aussi disposé à guérir Ses adorateurs qu’à pardonner Ses ennemis. C’est-à-dire que si, lorsque vous étiez pécheur, Dieu était disposé à vous pardonner, maintenant que vous êtes Son enfant, Il est disposé à vous guérir. S’Il a eu la miséricorde de vous pardonner quand vous étiez Son ennemi, Il est assez miséricordieux pour vous guérir, maintenant que vous êtes Son adorateur.
99. Le pécheur doit accepter comme vraie la promesse de Dieu et se croire pardonné, avant de pouvoir goûter la joie d’une guérison spirituelle. Le malade doit accepter comme vraie la promesse de Dieu et se croire guéri, avant de pouvoir expérimenter la joie d’une guérison physique.
100. « Tous ceux (tous les pécheurs) qui L’ont reçu … sont nés … de Dieu ». Et « tous ceux (tous les malades) qui Le touchaient étaient guéris ».
Quand nous disons que c’est toujours la Volonté de Dieu de guérir les gens, on nous demande immédiatement : « Dans ce cas-là, pourquoi est-ce qu’on peut mourir ? «
La Parole de Dieu dit : « Tu leur retires le souffle : ils expirent, et retournent dans leur poussière ». « Tu entreras au sépulcre dans la vieillesse, comme on emporte une gerbe en son temps ».
Dans notre vieillesse veut dire vers 70 ou 80 ans ; et Dieu peut nous retirer le souffle, sans l’aide d’un cancer ou de toute autre maladie. La Volonté de Dieu, quant à la destinée de Son enfant (ou ce que l’homme appelle la mort), est qu’il mène une vie fructueuse, puis, arrivé dans la plénitude de l’âge, qu’il arrête simplement de respirer et s’endorme en Christ, pour se réveiller au paradis et vivre avec Lui éternellement. « Ainsi nous serons toujours avec le Seigneur ». Ceci, en vérité, est la bienheureuse espérance du juste.
« Puisqu’Il m’aime (dit Dieu), je le délivrerai ; je le protégerai, puisqu’il connait mon Nom. Il m’invoquera, et je lui répondrai ; je serai avec lui dans la détresse, je le délivrerai et je le glorifierai. Je le rassasierai de longs jours, et je lui ferai voir mon Salut ».
PARTIE II
LA PAROLE
LE DEUXIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE … EST DE CONNAITRE LES PROMESSES DE GUERISON QUE DIEU VOUS FAIT DANS LA BIBLE, ET D’ÊTRE FERMEMENT CONVAINCU QUE CES PROMESSES S’ADRESSENT A VOUS PERSONNELLEMENT.
CHAPITRE CINQ
COMMENT DIEU VOUS PARLE
LE DEUXIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE … EST DE CONNAITRE LES PROMESSES DE GUERISON QUE DIEU VOUS FAIT DANS LA BIBLE, ET D’ÊTRE FERMEMENT CONVAINCU QUE CES PROMESSES S’ADRESSENT A VOUS PERSONNELLEMENT.
BIEN SOUVENT, l’enseignement religieux fait plus de tort que de bien, car certains font de la Vérité une philosophie ou une doctrine, alors que l’intention du Seigneur est de nous parler personnellement, comme s’Il était présent. La Parole est Sa propre voix. Elle possède Son autorité.
En lisant la Bible, rappelez-vous que vous vous entretenez personnellement avec le Seigneur.
L’intégrité absolue de la Parole écrite de Dieu est le seul fondement d’une foi saine.
Une des plus graves erreurs que l’on commette aujourd’hui est de traiter la Parole de Dieu comme un livre ordinaire. Vous devez avoir, à l’égard de la Parole, l’attitude que vous auriez à l’égard de Christ, s’Il était physiquement présent auprès de vous. Sa Parole vous parle ; elle vous dit les choses mêmes qu’Il vous dirait s’Il vous parlait de vive voix.
On ne peut séparer Dieu de Sa Parole. Il n’est pas seulement présent en elle comme en faisant partie – mais Il la soutient et veille continuellement sur elle pour la confirmer, afin qu’aucune Parole ne reste sans effet. L’ange a dit : « Aucune Parole de Dieu n’est dépourvue de puissance ». Une autre traduction dit : « Aucune promesse de Dieu n’est impossible à réaliser ».
Un vieil homme se mourait dans sa hutte au milieu de la jungle. Une chrétienne lui a lu un passage de la Bible : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ».
Le vieillard ouvrit les yeux, la regarda et demanda : « C’est dans la Bible, cela ? »
« Oui », dit-elle.
« Est-ce que c’est pour moi ? »
« Certainement », assura-t-elle, « c’est pour vous ».
Il demeura un instant pensif, puis il demanda : « Est-ce que Dieu me dit quelque chose d’autre dans ce livre ? »
Elle lui lut alors : « A tous ceux qui L’ont reçu, Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu ». Puis elle ajouta avec douceur : « C’est à vous qu’Il s’adresse ».
Le vieil homme ouvrit yeux en murmurant : « Je le reçois. Cela me suffit ». Puis il mourut.
Il s’était comporté à l’égard de la Parole écrite de Dieu exactement comme si Jésus-Christ était venu en personne dans son humble logis pour lui apporter le message de la Vie Eternelle. C’est ainsi qu’il fut merveilleusement sauvé et partit tranquillement de cette vie dans la paix du Seigneur.
Les promesses que vous lisez dans la Bible vous concernent personnellement. Elles vous appartiennent tout autant qu’un chèque à la banque parce qu’il est à vous, et vous pouvez de même revendiquer ces promesses en priant, car elles vous appartiennent tout autant.
Une fois que vous savez que la guérison fait aujourd’hui partie intégrante du ministère de Christ, il faut que vous sachiez que les promesses de guérison contenues dans la Bible s’adressent à vous personnellement.
Un homme était sourd d’une oreille depuis 20 ans. Il vint me demander de prier. Je lui demandai s’il croyait que Dieu allait guérir son oreille, et il me répondit qu’il ne savait pas.
« Savez-vous que Dieu a promis de vous guérir ? » demandai-je.
« Non », répondit-il, « je ne le sais pas ».
« Croyez-vous que Dieu est’ assez bon pour accomplir une de Ses promesses ? »
« Oui, bien sûr ! «
« Si je peux vous montrer, dans la Bible, que Dieu a promis de vous guérir personnellement, croyez-vous qu’Il le fera ? »
« Certainement ! » affirma-t-il.
Je pointai le doigt vers lu et lui citai ces promesses :
« Je suis l’Eternel qui TE guérit ». Que signifie « TE » ?
« par les meurtrissures duquel VOUS avez été guéri ». Que veut dire « VOUS » ?
« C’est lui … qui guérit toutes TES maladies ». Que signifie « TES » ?
L’homme se mit à pleurer en s’écriant :
« Maintenant, je crois ! Je vois que Dieu a promis de me guérir. Il va le faire, je le crois ! »
La foi naquit en cet homme en entendant les promesses de Dieu. Paul dit : « La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ ».
Je touchai l’oreille de cet homme au Nom de Jésus, demandant à Dieu d’ouvrir cette oreille conformément à sa promesse. La guérison fut instantanée.
Les promesses de Dieu sont pour vous , tout autant que pour cet homme.
« Si vous demandez quelque chose en mon Nom, je le ferai ». « QUELQUE CHOSE » comprend la guérison, et « vous » s’applique à vous.
« Quelqu’un est-il malade ? … le seigneur le relèvera ». « QUELQU’UN » s’applique aussi à vous. La promesse : « Le Seigneur le relèvera », ne comporte aucune exception.
« Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru … ils imposeront les mais aux malades, et les malades seront guéris ». Cela s’applique à vous, si vous « avez cru ». « Les malades seront guéris » - Christ le promet à chaque malade, sans exception.
Croyez-vous que les promesses de Dieu sont pour VOUS ? Si vous le croyez, empare-vous de ces promesses dans une prière sincère, et Dieu les accomplira. Ne doutez pas. Croyez en Sa Parole. C’est comme s’Il VOUS parlait personnellement.
CHAPITRE SIX
POURQUOI VOUS POUVEZ ÊTRE GUERI
DIEU ANNONCE : « Je suis l’Eternel, qui te guérit ».
Dieu est le plus grand des médecins, et Il veut VOUS guérir.
Il peut vous paraître difficile de concilier cela avec l’existence de tant de maladies dans ce monde et avec le fait qu’il y a tant d’êtres innocents qui souffrent. Il peut vous sembler également difficile de concilier cette vérité avec l’instruction religieuse traditionnelle au sujet de la maladie.
Mais si vous comprenez le PACTE D’ABONDANCE de Dieu pour vous, vous découvrirez qu’Il veut vous OCTROYER PLEINEMENT aussi bien LA SANTE PHYSIQUE que LE SALUT SPIRITUEL et L’ABONDANCE MATERIELLE.
La Volonté de Dieu ne pourrait jamais être plus clairement exprimée que par ce verset :
« Je souhaite que tu prospères à tous égards et SOIS EN BONNE SANTE comme prospère l’état de ton âme ».
La Bible l’enseigne : Quand Jésus-Christ est mort sur la Croix et « a pris » nos péchés et nos iniquités, Il « s’est (également) chargé » de toutes nos infirmités physiques, de toutes nos maladies et nos douleurs.
La question n’est pas : S’est-Il chargé de nos maladies physiques ?
Il faut plutôt demander : POURQUOI l’a-t-Il fait ?
Le même verbe (hébreu ou grec) sert à déclarer qu’Il « a porté » nos iniquités spirituelles et qu’Il « s’est chargé » de nos maladies physiques.
Mais, POURQUOI s’est-Il chargé de NOS maladies physiques ?
La réponse constitue l’essence même de la Bonne Nouvelle.
Il l’a fait pour que vous n’ayez pas besoin de le faire.
Il s’est substitué à vous personnellement !
C’est en somme la raison d’être du Plan Rédempteur de Dieu.
C’est POURQUOI VOUSZ POUVEZ ÊTRE GUERI.
CHAPITRE sept
LA GUERISON POUR TOUS
LA VIE DE CHRIST comporte la SANTE DU CORPS, pour VOUS.
C’est la Volonté de Dieu que VOUS soyez guéri dans votre corps aussi bien que sauvé spirituellement.
« C’est Lui qui pardonne toutes TES iniquités, qui guérit toutes TES maladies ».
La guérison et le pardon sont des dons de Dieu qu’il faut recevoir par la FOI.
La foi, c’est s’attendre à ce que Dieu fasse ce qu’Il a promis. C’est pourquoi « la foi vient de ce qu’on entend … la Parole de Dieu ».
Dieu nous a donné ses grandes et précieuses promesses afin de nous révéler Sa Volonté. Son Testament, Sa Volonté, Ses promesses, Sa Parole sont identiques.
Pour recevoir de Dieu une de Ses bénédictions, nous devons exercer notre foi. Pour avoir cette foi, nous devons être convaincus que cette bénédiction est’ bien dans la Volonté de Dieu pour nous. Tant que nous ne sommes pas absolument surs que Dieu veut nous la donner, nous ne pouvons pas avoir la foi.
Il nous est prescrit de demander en croyant fermement que nous recevrons. « Qu’il demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et pousse de part et d’autre. Qu’un tel homme ne s’imagine pas qu’il recevra quelque chose du Seigneur ».
Un pêcheur ne peut pas être sauvé avant de croire que Dieu l’aime et que Christ est mort pour ses Péchés, ou avant d’être sûr que c’est donc le désir et la Volonté de Dieu de lui pardonner. Alors, par la foi, il accepte ce don de Vie nouvelle et il nait de nouveau. Il sait que le salut est pour « celui qui veut ». Le salut est pour TOUS. Il est pour VOUS.
De la même manière, un malade doit être convaincu par les promesses de Dieu, que c’est Sa Volonté de le guérir physiquement. Autrement, il n e pourra pas demander avec foi.
La tradition religieuse nous enseigne à demander la guérison en priant au conditionnel : « Si c’est la Volonté de Dieu ». Par conséquent très peu de gens font l’expérience de miracles de guérison.
Mais Dieu a abondamment promis la guérison du corps de Ses enfants.
Le but de ce chapitre est de vous montrer pourquoi la Volonté de Dieu est de guérir TOUS CEUX qui auront foi en Ses promesses – et VOUS êtes inclus dans cette Volonté !
Il est clair, d’après la Bible, que le Salut de Dieu comprend la santé du corps pour la gloire de Dieu.
Remarquez ce qui s’est passé peu après la résurrection de Christ. Cela illustre la Volonté de Dieu, partout où Son Evangile est annoncé.
« Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres ».
« Le nombre de ceux qui croyaient en Seigneur, hommes et femmes, s’augmentait de plus en plus ; en sorte qu’on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrit quelqu’un d’eux ».
« La multitude accourait aussi des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs ; et TOUS étaient guéris ».
Ces mots : « TOUS ETAIENT GUERIS » révèlent la Volonté de Dieu, aujourd’hui, pour TOUS ceux qui sont malades.
C’est le rapport de ce qui s’est accompli pendant le ministère de Pierre à Jérusalem, après que Jésus était retourné au Père. « Tous étaient guéris ».
Cela démontrait clairement que le ministère de christ n’avait pas changé avec Son ascension.
« Tous étaient guéris ». C’était l’accomplissement de l’Alliance de Guérison de Dieu : « Je suis l’Eternel qui te guérit ». « Te » dans cette Alliance englobait « tous » ceux qui étaient à Jérusalem quand Pierre y exerçait son ministère.
« Tous étaient guéris ». Toute la nation d’Israël en avait fait l’expérience. « Il n’y eu aucun infirme dans ses tribus ».
C’est ce qui arrivait à « tous » les Israélites mordus par les serpents brûlants ; Parmi les multitudes qui suivaient Jésus, chacun en avait aussi fait l’expérience : « Une grande foule Le suivit. Il guérit tous les malades ».
« Quiconque regardait le serpent d’Airain » élevé sur une perche, (qui préfigurait le Calvaire), « CONSERVAIT LA VIE ».
C’est ce qui se passa quand « Il envoya Sa Parole et les guérit ». Et c’est dans ce but que Sa Parole concernant la guérison vous est envoyée ce jour afin que « tous » soient guéris.
« Tous étaient guéris », c’est une promesse pour aujourd’hui. Elle vous concerne personnellement. Cette promesse vous sauvera d’une mort prématurée : « J’éloignerai la maladie du milieu de toi … Je remplirai le nombre de tes jours ».
» puissent être guéris, « Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi ». Cette malédiction comportait « toutes les maladies et toutes les plaies ». « Nous » s’applique à nous « tous ».
Cette bénédiction a été prévue pour « tous » au Calvaire, quand « Il a porté nos douleurs et s’est chargé de nos maladies », - celles de nous « tous ».
C’est devenu possible puisque « c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris ». « Nous » veut dire « nous tous », chacun de nous.
C’est devenu possible quand Jésus a pris nos infirmités et s’est chargé de nos maladies ». Il s’agit des maladies de nous « tous ».
Jésus est « descendu du ciel pour faire, non Sa Volonté, mais celle de Celui qui L’a envoyé ». Au cours de Son ministère terrestre, Il n’a cessé de guérir « tous les malades ». Il a ainsi prouvé Sa Volonté de guérir « tous » les malades.
« Tous étaient guéris » ; c’était la norme dans Son ministère. C’est ce qu’Il a promis à tous les croyants : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais ».
« Tous étaient guéris ». Voilà « ce que Jésus a commencé de faire et d’enseigner, jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel », et ce qu’Il a continué de faire après Son ascension, assis à la droite du Père.
Donc, « tous étaient guéris » ; c’est la Volonté de Dieu maintenant, alors que Christ est assis dans les cieux : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ».
« Tous étaient guéris ». C’est la Volonté de Dieu, tout autant que de pardonner à tout pêcheur qui se repent. « C’est Lui qui pardonne (tout) … qui guérit (tout).
« Tous étaient guéris ». Cette bénédiction est pour chaque ville : « Dans quelque ville que vous entriez … guérissez les malades qui s’y trouveront ». C’est pour « tous » les malades sans exception.
« Tous étaient guéris ». C’est pour cela que des villes entières se mettent à parler de Jésus, et qu’Il devient ainsi un pôle d’attraction pour le public, comme c’était déjà le cas à Jérusalem.
« Tous étaient guéris ». Cela amènera des « multitudes » à entendre l’Evangile. Ils accourront aussi des villes et villages avoisinants.
« Tous étaient guéris ». C’est ainsi que « le nombre de ceux qui croient au Seigneur, hommes et femmes » s’augmentera « de plus en plus ». Les Actes nous disent que ce premier miracle de guérison fit que « beaucoup crurent … environ cinq mille » hommes.
« Tous étaient guéris ». C’est une des façons dont Dieu a porté témoignage de ce grand Salut « par des signes, des prodiges, et divers miracles et par les dons du Saint-Esprit ».
C’est le ministère qui, lors de nos propres Croisades dans plus de 60 pays, a conduit des milliers et des milliers de non-chrétiens à obéir à l’Evangile.
« Tous étaient guéris ». Avant même d’apporter les malades des environs pour les déposer dans les rues de Jérusalem, l’Eglise primitive priait Dieu de les guérir … « en étendant Ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le Nom de Ton Saint Serviteur Jésus ».
« Tous étaient guéris ». Même ceux qui étaient robustes et en bonne santé s’unissaient pour obtenir ce résultat. C’est eux qui apportaient « les malades dans les rues et » les plaçaient « sur des lits et des couchettes ».
« Tous étaient guéris ». C’est toute l’église qui doit prier pour cela, « tous ensemble », comme l’Eglise Primitive : « Ils élevèrent à Dieu la voix tous ensemble ».
« Tous étaient guéris ». Cela s’accomplissait pour tous ; et pourtant les malades n’avaient pas de contact direct avec Pierre, alors que la foule se serrait contre Jésus. « On mettait les malades sur les places publiques, et on Le priait (Jésus) de leur permettre seulement de toucher le bord de Son vêtement. Et tous ceux qui Le touchaient étaient guéris ». Les malades ne touchaient pas Pierre – mais seulement « son ombre » ; pourtant, « tous étaient guéris » et il y en avait une « multitude ».
« Tous étaient guéris ». Le Saint-Esprit désire ardemment que ces résultats s’accomplissent partout : a) Il a intercédé pour cela, b) IL L’A REALISE et c) Il l’a consigné par écrit, afin que chacun puisse l’entendre et le lire, obtenant ainsi assez de foi pour que cela se renouvelle aujourd’hui.
« Tous étaient guéris ». Si vous étiez trouvé parmi les malades ce jour-là vous auriez été guéri. Par conséquent, la guérison est pour vous aujourd’hui, parce que la volonté de Dieu, à l’œuvre à Jérusalem, n’a jamais changé.
« Tous étaient guéris », y compris ceux qui étaient « tourmentés par des esprit impurs ». Dieu veut aussi guérir aujourd’hui ceux qui sont possédés par des démons.
« Tous étaient guéris ». Ces mots n’avaient pu décrire le ministère de Jésus à Nazareth : « Il ne put faire là aucun miracle, si ce n’est qu’Il imposa les mains à quelques malades et les guérit. Et Il s’étonna de leur incrédulité ». Seuls « quelques malades » avaient été guéris à Nazareth. Lorsque l’attitude du malade était mauvaise, le ministère de Jésus n’était pas plus efficace que celui de Pierre quand le malade avait une bonne attitude.
« Tous étaient guéris ». Ce résultat s’obtiendra aussi aujourd’hui, si « tous » croient la vérité concernant la guérison. Jésus a dit : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira ».
« Tous étaient guéris ». Cela fait partie de la promesse de Christ : « je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi ». Chaque malade à Jérusalem et dans les villes voisines, et dans les villages et les campagnes, a prouvé que cette bénédiction était pour chacun d’eux.
« Tous étaient guéris ». Afin de pouvoir vous donner aussi cette bénédiction, Christ vous prescrit : « Ayez foi en Dieu ». Il vous dit : « Qu’il vous soit fait selon votre foi ». Il promet : « Ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir ». Il dit : « Demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé ».
« Tous étaient guéris ». C’est la Volonté de Dieu aujourd’hui. C’est la Volonté pour vous – maintenant, et Il promet : « QUICONQUE DEMANDE RECOIT ».
CHAPITRE HUIT
SANTE POUR L’ÊTRE TOUT ENTIER
CE MESSAGE DE la Bonne Nouvelle est la « PUISSANCE de Dieu pour le salut de QUICONQUE croit ». Quiconque, c’est VOUS.
Je ne peux pas expliquer comment Jésus a souffert VOS maladies et VOS douleurs sur Sa Croix il y a tant d’années. Ce n’est ni logique ni rationnel. C’est pour cela, peut-être, que « la parole de la Croix est FOLIE pour ceux qui périssent ; mais, à nous qui obtenons le salut, elle est la PUISSANCE DE DIEU ».
Mais quand vous croyez de tout votre cœur et confessez avec votre bouche ce que la Bible dit de Jésus et ce qu’il a fait pour vous sur la Croix, alors Dieu le confirmera par Sa puissance miraculeuse. « Crois seulement », a dit Jésus.
En mourant sur la Croix, Christ a payé le prix de votre guérison parfaite et absolue. C’est Lui, le Seigneur, « Qui guérit TOUTES TES maladies ». Il a payé pour votre guérison quand Il « s’est chargé de Vos maladies et a souffert Vos douleurs, en portant les meurtrissures par lesquelles VOUS AVEZ ETE GUERI ».
Maintenant, « c’est accompli ». Votre santé est acquise. Vos maladies sont retombées sur Lui. Il les a ôtées à jamais. La guérison VOUS appartient maintenant. C’est un cadeau de Dieu. C’est un cadeau pour VOUS.
Satan n’a aucun droit de VOUS charger de ce que Dieu a fait porter à Jésus sur la Croix.
« L’Eternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous ».
« A cause de la transgression de mon peuple, Lui, a été frappé ».
« Il a plus à L’Eternel de Le briser par la souffrance, (et livrer) Sa vie en sacrifice pour le péché ».
« Et Il se chargera de Leurs iniquités ».
« Il a porté les péchés de BEAUCOUP D’HOMMES ».
« Il était blessé pour NOS péchés, brisé pour NOS iniquités ; le châtiment qui NOUS donne la paix est tombé sur Lui ».
« Cependant, ce sont NOS maladies qu’Il portait ; c’est de NOS douleurs qu’Il s’est chargé ». « C’est par Ses meurtrissures que NOUS SOMMES GUERIS ».
« Il a pris NOS infirmités, et Il s’est chargé de NOS maladies ». Pourquoi ? Pour nous en décharger – afin que nous puissions être guéris et bénéficier de la santé et du bonheur – EN ABONDANCE.
C’est « Lui qui a porté Lui-même NOS péchés en Son corps sur le bois ». Pourquoi ? « Afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ».
Nous sommes donc libérés du péché et du mal. Qu’en résulte-t-il ? « Par Ses meurtrissures VOUS AVEZ ETE GUERIS » spirituellement, mentalement, physiquement.
Quand le péché est entré dans la famille humaine, la maladie en a été la conséquence logique. Toute la science médicale s’accorde à reconnaître l’influence profonde que l’esprit humain et l’attitude mentale exercent sur l’organisme et le système nerveux.
La dévastation occasionnée par la tromperie et le mal, la déchéance engendrée par la convoitise et l’envie, l’escalade nocive de la haine et de la vengeance, la corruption malsaine par le péché et la rébellion, tous ces germes destructeurs prolifèrent et dégradent le corps humain. Ce dernier est constamment pollué par la fontaine empoisonnée qui jaillit de l’esprit négatif et dépravé de l’homme.
Le salut et la guérison sont des dons gratuits de Dieu pour vous délivrer et vous guérir, non seulement du mal et du péché de votre cœur et votre esprit, mais aussi de leurs conséquences atroces pour vos nerfs et votre corps.
C’est « Lui qui a porté Lui-même NOS PECHES », afin que VOUS puissiez être SAUVE.
« Il a pris NOS INFIRMITES, et … s’est chargé de NOS MALADIES », afin que VOUS puissiez être GUERI.
Le pardon des péchés et la guérison du corps font tous deux, partie de votre GRAND SALUT. LES DEUX vont de pair et , selon la Parole de Dieu, il convient de les recevoir ensemble. L’un comme l’autre sont inclus dans le salut. La guérison appartient à l’âme et au corps. Jésus a toujours guéri les deux.
« C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies ».
« Car, lequel est le plus aisé, de dire : Tes péchés te sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi et marche ? »
« Car le cœur de ce peuple est devenu insensible ; ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, de peur qu’ils ne voient de leurs yeux, qu’ils n’entendent de leurs oreilles, qu’ils ne comprennent de leur cœur, qu’ils ne SE CONVERTISSENT, ET QUE JE NE LES GUERISSE ».
« Quelqu’un parmi vous est-il malade … La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, IL LUI SERA PARDONNE ».
Evidemment la guérison que Dieu nous offre par la Croix de Christ engendre LA SANTE TOTALE pour L’ÊTRE TOUT ENTIER – santé spirituelle, mentale et physique, et cette santé est pour VOUS !
PARTIE III
LE MEURTRIER
LE TROISIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE COMPRENDRE QUE DIEU VEUT QUE VOUS SOYEZ EN BONNE SANTE : QUE SEUL SATAN VEUT VOUS VOIR SOUFFRIR.
CHAPITRE NEUF
SOURCE DE LA MALADIE
LE TROISIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE COMPRENDRE QUE DIEU VEUT QUE VOUS SOYEZ EN BONNE SANTE : QUE SEUL SATAN VEUT VOUS VOIR SOUFFRIR.
LA FOI DE BEAUCOUP de ceux qui cherchent la guérison par Christ est entravée par l’idée que leur souffrance sert peut-être à l’accomplissement d’un dessein de Dieu ; que c’est peut-être Dieu qui les a frappés de cette maladie, et qu’ils doivent la supporter avec patience, sans trop insister pour être guéris. Des milliers de braves gens souffrent ainsi inutilement pendant des années, et ils meurent prématurément à cause de telles idées.
Afin de débarrasser notre pensée de tels enseignements, il faut que nous comprenions clairement que la maladie vient de Satan, et non de Dieu ; que c’est Satan qui la met sur nous, et non pas Dieu.
Cela faisait sept ans que je prêchais l’Evangile quand, pour la première fois, j’ai entendu dire que la maladie venait du diable. Cette affirmation m’a donné à réfléchir et je me suis mis à sonder les Ecritures à ce sujet. J’y ai découvert des faits que je ne connaissais pas.
Voici le premier verset qui a retenu mon attention : « Satan … frappa Job d’un ulcère malin ». On voit ici que c’est Satan lui-même qui a frappé Job de sa maladie.
J’ai remarqué également que Jésus disait de la femme infirme, qui ne pouvait se redresser, que : « Satan la tenait liée », et qu’elle était « possédée d’un esprit qui la rendait infirme ».
Il m’est revenu à l’esprit que la cécité était causée par un démon et que, lorsque Jésus a chassé le démon, l’aveugle a pu voir.
Je me suis rappelé qu’un jeune sourd-muet, atteint de convulsions avait été parfaitement guéri après que Jésus eut chassé le démon.
C’est alors que j’ai découvert ce verset capital qui trop souvent passe inaperçu : « Jésus allait de lieu en lieu … guérissant tous ceux qui étaient sous l’emprise du diable. Autrement dit, en ce temps-là, on identifiait la maladie comme l’oppression de Satan.
Puis, un pasteur a expliqué, au sujet de la maladie, une chose que je n’avais encore jamais entendue. C’était si logique et m’a si clairement aidé à comprendre le ministère de la guérison que toute ma vie et mon ministère furent transformés en quelques heures, alors que la guérison divine m’était toujours apparue bien mystérieuse. Voici comment il a expliqué le rôle de Satan dans la maladie :
« Toute maladie a un germe, une vie qui lui est propre. Ce germe vient de Satan, puisqu’il détruit. C’est ce que Jésus appelait un « esprit d’infirmité ». A partir de ce germe, la maladie se développe, tout comme lors de notre conception une semence de vie nous a formés et fait croître un corps humain.
Quand ce germe de vie quitte votre corps, celui-ci meurt. Il se décompose et retourne à la poussière. De même, quand l’esprit d’une maladie s’en va, cette maladie meurt ; elle se décompose et disparaîtra. »
Il a ajouté : « Ceux qui, par la foi, ont reçu Christ et sont devenus membres de la famille de Dieu, ont une autorité sur l’esprit du démon qui apporte la maladie. Jésus a dit : « En mon Nom vous chasserez les démons ». En Son Nom, nous avons toute autorité pour ordonner à la vie d’une maladie de quitter le corps d’un croyant. Elle doit nous obéir. Quand elle s’en va, la maladie meurt et ses symptômes disparaissent. »
Puis le conférencier nous donna cette illustration :
« Un cancer, par exemple, possède une vie qui lui est propre. Cette vie vient du diable, parce qu’elle détruit et fait mourir. Aussi longtemps que cette vie est présente, le cancer poursuivra son œuvre de destruction ; mais quand, au Nom de Jésus, on ordonne à la vie de ce cancer de s’en aller, elle doit partir. Le cancer meurt, puis il se décompose, disparaît et le malade est rétabli ».
Quand j’ai entendu ce pasteur expliquer cela, mon attitude envers le ministère de guérison a changé radicalement. Désormais, je savais que je pouvais prier pour les malades, que je pouvais, au Nom de Jésus, condamner l’esprit de maladie et lui ordonner de partir. Je savais que la maladie mourrait et que les malades guériraient, comme Jésus l’a dit : « en mon Nom, ils chasseront les démons …ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris ».
Dès lors, nous avons commencé à inviter les malades à nos réunions. Nous avons prié pour eux. Nous avons condamné les esprits de maladies, en leur ordonnant au Nom de Jésus, de sortir des malades. Les maladies sont mortes, et les malades ont été guéris. Christ a confirmé Sa Parole et Dieu a été glorifié, non seulement par la guérison des malades, mais par le salut de nombreuses âmes.
En incluant dans notre message la guérison selon l’Evangile, nous avons, souvent, conduit plus d’âmes à Christ en un seul jour, que sur l’ensemble des sept années précédentes, quand nous ne proclamions pas encore la guérison par Christ.
Nous avons condamné l’esprit de cécité qui avait produit une cataracte à l’œil d’un homme. L’esprit de cécité est parti, la cataracte est morte et, en quelques jours, l’opacité blanche a disparu et l’homme s’est remis à voir normalement.
Un autre était sourd. Nous avons condamné l’esprit de surdité, lui ordonnant de s’en aller, au Nom de Jésus. Cet homme a entendu immédiatement.
Nous avons ordonné à la vie d’un cancer de sortir d’une femme ; le cancer est mort et la malade a guéri.
Les malades ont guéri, exactement comme Jésus l’avait promis. Bientôt les témoignages ont commencé à nous parvenir : « Vous avez prié pour moi, et maintenant je suis guéri ! » « J’avais une tumeur et elle est partie ! » « Mon cancer a disparu ! » une foi nouvelle s’est manifestée dans notre église, et son influence s’est étendue sur des centaines de kilomètres à la ronde. Nous avions pris au sérieux les promesses de la Bible et exercions un ministère auprès des malades. « Christ travaillait avec nous, confirmait Sa Parole par les miracles qui l’accompagnaient ». Nos vies ont été transformées à jamais.
Cela dure depuis plus de 30 ans. Nous continuons à agir suivant les instructions de Christ. Avec l’autorité et la puissance qu’Il nous a données, pour chasser les démons et les maladies, nous condamnons les « esprits d’infirmités » qui causent les maladies, leur ordonnant de sortir des corps des malades. Les malades guérissent, et c’est par milliers que les âmes acceptent l’Evangile et reçoivent Christ comme Sauveur dans presque toutes nos campagnes d’évangélisation de masse.
Nous ne disons pas cela pour nous vanter, mais pour montrer que la puissance miraculeuse de Christ, manifestée aujourd’hui dans la guérison des malades, amène des milliers d’âmes à croire en Christ, leur Sauveur, tout comme au temps de l’Eglise primitive. « La FOULE de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s’augmentait de plus en plus ». Cela se produisait quand « on apportait les malades dans les rues et on les plaçait sur des lits et des couchettes … et tous étaient guéris ».
Tant que vous penserez que votre maladie vient peut-être de Dieu, vous ne la refuserez pas.
Tant que vous penserez que votre maladie sert peut-être à l’accomplissement d’un dessein de Dieu, vous ne la chasserez pas.
Mais, dès que vous comprendrez ce que les Ecritures enseignent si clairement, à savoir que la maladie vient de Satan, vous lui résisterez, vous la condamnerez, vous refuserez de la supporter, et elle fuira loin de vous, quand vous ferez confiance à Christ.
Les docteurs peuvent qualifier d’arthrose ou de rhumatismes la maladie qui raidit vos articulations ; mais, du point de vue scripturaire, il s’agit plutôt d’un esprit démoniaque qui vous opprime. « Mort du nerf auditif » peut être le diagnostic ; mais, à la lumière de la Bible, c’est en fait un esprit de surdité.
Dans le cas d’un enfant qui ne peut parler, la médecine peut en conclure : « Cordes vocales atrophiées » ; mais, dans la Bible, il s’agit d’un esprit muet.
L’ophtalmologiste peut déclarer qu’un « glaucome » ou une « cataracte » sont à l’origine de la cécité d’un homme, mais Jésus nous révèle que c’est une démon qui le rend aveugle.
On nous amena une fois une femme totalement aveugle en nous demandant de prier pour elle. Les médecins avaient dit que ses nerfs optiques étaient morts et, d’un point de vue médical, ils avaient raison. Cela faisait quinze ans qu’elle vivait dans la nuit de son infirmité, aidée par un beau chien d’aveugle pour se déplacer.
Au Nom de Jésus, nous avons chassé le démon de Cécité qui l’avait privée de la vue. Le démon s’est enfui et la femme a crié de joie : « Oh, maintenant je vois ! Je suis guérie ! » Elle avait retrouvé la vue instantanément.
A La Jamaïque, trois femmes en avaient apporté une quatrième à notre réunion dans une vieille brouette. Elle souffrait, disaient les médecins, d’une paralysie totale à la suite d’un gros caillot de sang logé dans le cerveau.
Elle gisait presque sans vie depuis quatre jours et quatre nuits sans pouvoir n’absorber ni eau ni nourriture. Ses yeux étaient révulsés et, à part un faible battement de son cœur, elle paraissait morte.
Nous avons condamné le démon qui la paralysait, lui ordonnant de sortir d’elle. Ensuite, j’ai appelé d’une voix forte : « Véda, ouvre les yeux et sois guérie au Nom de Jésus ! » elle a été instantanément guérie. Au bout de quelques minutes, elle était sur pied, et elle est retournée à pied chez elle, tout à fait rétablie.
La cause de sa maladie était un « esprit d’infirmité » envoyé par Satan pour détruire sa vie, pour la tuer, mais Dieu l’a guérie. Gloire à Son Nom !
Je pourrai relater des centaines de cas similaires au cours de notre ministère, mais je crois avoir donné suffisamment d’exemples qui, joints aux preuves bibliques fournies, prouvent à ceux qui n’ont pas de parti-pris que la maladie vient de Satan, qu’elle est causée par des « esprits d’infirmité » envoyés par Lui et que, lorsque ces esprits sont chassés au Nom de Jésus, les malades guérissent aujourd’hui, comme Jésus l’a promis.
A la ferme, quand nous voulions faire mourir un arbre, nous faisions une profonde entaille tout autour du tronc. Les feuilles ne se desséchaient pas sur-le-champ, mais nous savions que c’était un coup mortel et que l’arbre allait mourir, ce qui n’a jamais manqué. Il en est de même de la maladie. Jésus nous a donné pouvoir et autorité sur toutes les maladies. En Son Nom, les croyants ont le droit de les condamner et elles mourront. Les symptômes visibles, comme les feuilles de l’arbre, ne disparaîtront peut-être pas immédiatement ; mais, ayant prié avec foi et condamné la vie de la maladie, nous savons que cette maladie est détruite à la racine et que ses symptômes doivent disparaître.
Le lendemain Jésus a maudit le figuier qui ne portait pas de figues. Il a dit à l’arbre : « Que jamais personne ne mange de ton fruit ». Il savait que la vie de l’arbre s’éteindrait dès cet instant, et que l’arbre sècherait.
En passant près de l’arbre, « ils virent le figuier séché jusqu’aux racines ». Pierre s’est souvenu de ce que le Seigneur avait dit à l’arbre, et il s’est écrié : « Maître, regarde, le figuier que Ta as maudit a séché ». Il était stupéfait.
Jésus a répondu : « Ayez foi en Dieu ». Il savait que l’arbre se dessècherait.
Si nous savons que c’est Satan qui produit la maladie, qu’un « esprit d’infirmité » est la vie de cette maladie, alors nous pouvons calmement la condamner, au Nom de Jésus, en ordonnant à « l’esprit de maladie » de s’en aller, et nous pouvons être sûrs qu’elle est morte, dès cet instant. Nous ne doutons jamais, même si les feuilles vertes (les symptômes) ne sèchent pas tout de suite. Nous savons que la vie de la maladie s’achève, qu’elle est morte à la racine. Donc, nous nous réjouissons dans la foi, pendant que les symptômes disparaissent.
Sachant cela, vous comprenez donc que Dieu veut que vous soyez en bonne santé, et que seul Satan veut vous voir souffrir.
CHAPITRE DIX
SATAN A SABOTE LE PLAN
S’Il voulait que cette belle création, modelée à Sa ressemblance, soit malade ou infirme, lui aurait-Il donné une DIEU A CREE l’homme et la femme parfaits – physiquement, mentalement, spirituellement, - et Il les a placés dans le Jardin d’Eden, lieu d’abondance matérielle.
C’était le plan de Dieu, pour vous.
S’Il voulait que cette belle création, modelée à Sa ressemblance, soit malade ou infirme, lui aurait-Il donné une telle perfection ?
Mais le péché est venu. Satan, le tentateur, a persuadé Adam et Eve de mettre en doute la Parole de Dieu par cette question : « Dieu a-t-Il réellement dit ? »
Ils en ont conclu que Dieu n’avait PAS dit ce qu’Il voulait dire quand Il les a avertis que la désobéissance les entraînerait dans la mort. Aussi ont-ils désobéi à Sa loi, et ont dû être chassés du paradis que Dieu avait créé pour leur bonheur.
La bonté s’est transformée en tristesse, l’amour s’est changé en haine. La maladie, antichambre de la mort, venait de fermer ses portes sur l’humanité. La beauté s’est ternie. La foi a cédé à la méfiance, et la confiance à la fraude.
Ces corps pleins de santé sont devenus sujets aux tortures diaboliques infligés par Satan qui est venu « pour dérober, égorger et détruire ».
La douleur et la souffrance, la maladie et l’infirmité, la dégénérescence et la mauvaise santé sont devenues une plaie ouverte, à tel point que la seule issue à cette chambre de tortures était la mort elle-même – le coup de grâce asséné à l’humanité créée par Dieu.
Le péché et la maladie, comme des frères jumeaux, ont marché main dans la main à travers chaque génération depuis Adam. La beauté physique et la santé ont été balafrées par la maladie sous toutes ses formes. L’esprit et le cœur humains ont été rongés par le péché et la corruption.
Malgré les triomphes éclatants de la science médicale et en dépit des exploits presque prodigieux de la chirurgie moderne, les êtres humains sont encore menacés par le déferlement pernicieux d’une myriade de maladies complexes, contre lesquelles l’homme n’a pas encore pu découvrir ou perfectionner de traitement permanent – qu’il s’agisse d’un rhume ordinaire ou d’un cancer sans pitié.
CHAPITRE ONZE
MOISSON DE SOUFFRANCE
LE PLAN de Dieu pour l’homme et la femme qu’Il avait créés parfaits n’a jamais prévu la maladie, la faiblesse ou la souffrance.
Le problème de la maladie et de la faiblesse physique s’est posé quand la tentation est entrée en scène et qu’Adam et Eve y ont succombé. Le péché a été conçu. Ils ont été chassés de la présence de Dieu. La semence du péché a produit le mal dans leurs cœurs.
« L’Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal … et Il fut affligé en Son cœur ».
La discorde et la tromperie, la jalousie et la haine, l’envie et la convoitise, la violence et le meurtre ont disloqué la structure entière de l’âme et de l’esprit humains.
Cette discorde a produit une moisson, menaçante et toujours croissante, de douleurs physiques, de souffrances, de maladies et de détérioration.
Le Chapitre 28 du Deutéronome décrit le terrible châtiment et la malédiction de la désobéissance à Dieu. Il énumère une liste impressionnante des maladies spécifiques à l’homme. Puis à ce catalogue répugnant viennent s’ajouter « toutes les maladies et toutes les plaies qui ne sont pas écrites dans le livre de cette loi… »
Mais Dieu, qui est Amour et Vie – Dieu qui a créé l’homme et la femme « à Son image » n’a pas pu renoncer à Son dessein. Au moment où ils se révoltaient contre Lui, chassés de Sa présence et s’enfonçant dans la dépravation et le désespoir, Dieu a été poussé par Son immense amour à trouver le moyen de racheter Sa création devenue la proie de Satan, l’escroc de la première heure.
La loi de Dieu, Sa loi propre, a clairement déclaré que celui qui pèche doit être puni. « L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra ». Le salaire du péché, c’est la mort ».
Mais tous avaient péché, alors tous devaient souffrir et mourir.
Seul un être parfaitement innocent de tout péché, pouvait se substituer au coupable. Donc, Dieu vous a tant aimé qu’Il a donné Son propre Fils en rançon pour vous. Jésus-Christ qui, innocent, a subi le châtiment que les coupables méritaient.
CHAPITRE DOUZE
LA BONNE NOUVELLE
L’EVANGILE est la Bonne Nouvelle. Mais, quelle Bonne Nouvelle ?
C’est la Bonne Nouvelle de ce que Jésus a fait pour vous sur la Croix. Il a subi le châtiment de VOS péchés. Pourquoi ? Afin que vous n’ayez pas besoin d’être puni. Le grand chapitre de la rédemption, Esaïe, chapitre 53, déclare : « Ce sont NOS souffrances qu’Il a portées, c’est de NOS douleurs qu’Il s’est chargé ». Quand Christ a subi notre châtiment sur la Croix, Esaïe dit qu’on a estimé que Dieu Le punissait.
Mais, le fait rédempteur est qu’Il a été « blessé pour NOS transgressions, Il a été meurtri pour NOS iniquités ; le châtiment de NOTRE paix a été sur Lui et par Ses meurtrissures NOUS SOMMES GUERIS ».
S’Il a souffert NOS maladies et porté NOS douleurs, alors logiquement NOUS SOMMES GUERIS. Quelle liberté merveilleuse ! Cela équivaut à dire : « Votre ami a acquitté toutes VOS dettes, et par cette régularisation, VOUS A LIBERE. Votre dette n’existe plus. C’est fini. Vous n’avez plus d’obligation. Vous ne pouvez pas payer deux fois la même dette. Une fois payée, elle disparaît ».
Le MESSAGE de l’EVANGILE est vraiment UNE BONNE NOUVELLE !
« Car l’Eternel m’a oint pour porter la Bonne Nouvelle aux humbles. Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour annoncer aux captifs LA LIBERTE, et aux prisonniers l’OUVERTURE DE LEURS CACHOTS ».
PARTIE IV
LA SEULE CONDITION
LE QUATRIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE COMPRENDRE QUE LA GUERISON DU CORPS FAIT PARTIE DU SALUT.
CHAPITRE TREIZE
RECEVEZ CELUI QUI GUERIT
LE QUATRIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE COMPRENDRE QUE LA GUERISON DU CORPS FAIT PARTIE DU SALUT.
NOUS NE POUVONS SEPARER Celui qui Guérit de Celui qui Sauve ; donc nous ne pouvons séparer la guérison divine du salut.
Le meilleur moyen sûr de recevoir la guérison de votre corps, c’est de recevoir la guérison de votre âme.
Le moyen sûr de recevoir la guérison de votre corps, c’est de recevoir dans votre vie Celui qui guérit.
Si vous appeliez un médecin au chevet d’un de vos bien-aimés qui se meurt, vous n’interdiriez pas à ce médecin d’entrer chez vous.
De même, si vous cherchez à être guéri par Christ, vous devez permettre à Celui qui guérit d’entrer dans votre vie.
Nous avons eu la joie de voir des milliers de personnes miraculeusement guéries de toutes sorte de maladies et handicaps physiques. Avant de prier pour la guérison des corps souffrants, nous donnons toujours aux malades l’occasion de recevoir Jésus-Christ, qui guérira leur âme. Ayant accepté dans leur vie Celui qui guérit, ils peuvent alors recevoir Sa guérison pour leur corps.
Trois semaines durant, un pécheur endurci est venu à l’une de nos croisades. A chaque réunion, il faisait la sourde oreille à notre exhortation de servir le Seigneur, et refusait de faire la prière du pécheur repentant. Cependant, il répétait toujours la prière pour la guérison, mais ne recevait aucun exaucement. Il voulait être guéri, mais refusait d’accueillir dans sa vie de Divin Médecin.
Finalement, la Parole de Dieu l’a convaincu de sont état de péché et du besoin qu’il avait de Christ. Plus tard, il a donné ce témoignage : « Je me suis décidé à recevoir Jésus-Christ comme mon Seigneur et Sauveur. Quand je L’ai invité à venir dans ma vie, Il m’a purifié de tous mes péchés. Après la prière pour le salut, Monsieur Osborn nous a dit que ce même Christ, qui nous avait guéris de nos péchés, nous guérirait maintenant de nos maladies ; j’ai soudain constaté qu’Il m’avait déjà guéri ».
Voilà un homme qui avait prié trois semaines pour sa guérison sans rien recevoir, parce qu’Il rejetait Celui qui guérit. Quand il s’est finalement décidé à recevoir Jésus comme son Seigneur et Sauveur, Christ l’a guéri de toutes ses maladies, avant même qu’il le Lui demande. J’ai vu cela arriver à des milliers de personnes.
Un autre homme s’est approché pour accepter Christ. Il avait deux hernies et était sourd d’une oreille. Pendant qu’il remerciait Dieu d’avoir guéri son âme et pardonné ses péchés, Christ, le Divin Médecin, étant entré dans sa vie, a guéri son corps entièrement, avant même qu’il demande sa guérison.
Un vieil homme en Amérique Centrale s’est repenti de ses péchés et a reçu Christ dans son cœur et dans sa vie. Il a été instantanément guéri de cécité totale, à l’instant où le Divin Médecin est entré dans sa vie. En témoignant de ce que Jésus avait fait pour lui, il s’est écrié : « Christ est entré ; Il est ici dans mon cœur ! » Puis, en se frappant la poitrine, il a ajouté : « Posez votre main ici ; sentez ! Il est ici ! je vois tout ! il a ouvert mes yeux aveugles ! Je suis sauvé ! Je suis guéri ! »
Voici dans quel ordre Dieu veut vous bénir : « C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités ; qui guérit toutes tes maladies ». d’abord le pardon de nos péchés ; ensuite la guérison de nos maladies. Premièrement, Jésus a dit au paralytique : « Mon enfant, tes péchés te sont pardonnés ». puis Il a ajouté : « Lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison ». Le pardon d’abord ; puis la guérison.
Dieu met une condition à Son alliance de guérison : « Vous servirez l’Eternel, votre Dieu … (et Il ajoute) … et j’éloignerai la maladie du milieu de toi ».
La guérison vient du Divin Médecin. Elle commence au plus profond de nous-mêmes. Recevez Christ, et vous recevrez Sa guérison qui fait partie de Sa Vie Abondante.
Vous ne recevrez jamais la guérison, tant que vous rejetterez Celui qui guérit.
Un homme me demanda : « Voulez-vous prier pour ma guérison ? »
Je répondis : « Certainement », et ajoutai : « Avez-vous reçu Jésus-Christ comme votre Sauveur et Seigneur personnel ? »
« Non ! » fit-il.
« Alors, pourquoi demander à Dieu de vous guérir, puisque vous ne L’aimez pas assez pour Le servir ? Pourquoi Lui demander des forces pour servir le diable ? Si vous voulez servir Dieu, Il guérira votre corps ; mais si vous refusez de Le servir et d’accepter Christ dans votre vie, il ne faut pas vous attendre à ce qu’Il vous guérisse !
Réflexion faite, l’homme prit une décision : il accepta Christ comme son Seigneur et Sauveur personnel, se convertit joyeusement et fut instantanément guéri.
Vous êtes peut-être de ceux qui désirent la guérison du corps, sans avoir précisément fait l’expérience de recevoir Jésus-Christ dans votre vie – sans être NE DE NOUVEAU ou SAUVE. Dans ce cas, c’est maintenant le moment d’être sauvé. « Voici maintenant le temps favorable ; voici maintenant le jour du salut ».
SI VOUS N’AVEZ JAMAIS, par un acte de foi personnel, accepté Jésus-Christ dans votre vie, à un moment donné, souvenez-vous que la Bible dit : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu », et « si vous ne vous repentez, vous périrez tous ».
« Ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent Sa face et L’empêchent de vous écouter ». Mais, Son sang a été « répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés ». « Tu Lui donneras le Nom de Jésus ; c’est Lui qui sauvera Son peuple de ses péchés ». « Si nous (Lui) confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquités ».
D’après ces versets, si nous n’avons pas accepté le pardon de Christ pour nos péchés, nous sommes séparés de Dieu, et Il ne nous écoutera pas. Toutefois, grâce à Son sang répandu, nous avons la rémission et la purification de nos péchés, à condition de nous humilier, de les Lui confesser, et de recevoir Christ maintenant même.
Jésus a dit : « Il faut que vous naissiez de nouveau » ; et Paul : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles ». C’est le miracle de la nouvelle naissance. Christ entre effectivement dans notre vie, et nous sommes transformés parce qu’Il commence à vivre en nous. Il ne s’agit pas d’accepter une religion ; mais d’accepter CHRIST. Jésus est une PERSONNE, non pas une philosophie. C’est une réalité, non pas une doctrine.
En me mariant, c’est ma femme que j’ai accueillie dans ma vie, et non la « RELIGION du mariage » ; j’ai reçu une personne : ma femme. Eh bien, en étant SAUVE (NE DE NOUVEAU) en recevant Christ dans ma vie, je n’ai pas non plus reçu la « RELIGION chrétienne » ; j’ai reçu une personne : le Seigneur Jésus ! Ma conversion est une expérience aussi précise que mon mariage. Les deux fois, j’ai accepté une autre PERSONNE dans ma vie.
Quand on comprend ce qu’est le SALUT, il est tout aussi illogique de dire : « Je ne suis pas sûr d’être sauvé », que « Je ne suis pas sûr d’être marié ».
Si l’on demande à ceux qui ne comprennent pas absolument le salut, tel que le définit la Bible, « Êtes-vous sauvé ? », ils répondront peut-être : « Je crois que oui ; j’essaie de l’être, mais je n’en suis pas absolument sûr ». Ce qui équivaudrait à dire : « Je crois que je suis marié ; j’essaie de l’être, mais je n’en suis pas absolument sûr ».
Jean a dit : « Nous SAVONS que nous sommes passés de la mort à la vie ». Il y a bien des choses en ce monde que vous ne saurez peut-être jamais, mais vous pouvez SAVOIR que vous avez en vous la vie de Christ. Vous pouvez SAVOIR que vous êtes sauvé – que vous êtes né de nouveau. (Ne manquez pas de lire mon livre, « Comment Naître de Nouveau ».)
Certains demanderont : « Comment SAVOIR que je suis sauvé ? Comment avoir la certitude que mes péchés sont pardonnés ? »
Le geôlier de Philippe a demandé : « que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Et Paul et Silas lui ont répondu : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et TU SERAS SAUVE ».
Jésus a dit : « Celui qui croira (l’Evangile) et qui sera baptisé SERA SAUVE ».
Paul a dit : « Si tu confesses de ta bouche … (que Jésus est SEIGNEUR) et si tu crois dans ton cœur que Dieu L’a ressuscité des morts, TU SERAS SAUVE ».
Pierre a dit : « Quiconque invoquera le Nom du Seigneur SERA SAUVE ».
Chacun de ces versets promet : « TU SERAS SAUVE ». Faites ce que ces textes indiquent, et vous SAUREZ que vous avez reçu Christ – que vous êtes passé de la mort à la vie – que vous êtes né de nouveau – que vous êtes sauvé. Ce n’est pas accepter une religion ; c’est devenir Chrétien.
Un vrai Chrétien, c’est quelqu’un qui : a) est venu à Dieu comme un pécheur perdu, b) a accepté le Seigneur Jésus-Christ comme son Sauveur personnel, c) s’est volontairement soumis à lui comme à Son Seigneur et maître, d) témoigne de Lui devant le monde, et e) s’efforce de Lui plaire en toutes choses, tous les jours de sa vie.
SI VOUS N’ÊTES PAS SÜR d’avoir personnellement accepté Jésus-Christ dans votre cœur comme Seigneur et Maître, alors c’est avec joie que je vous indique le chemin de la paix avec Dieu, du pardon des péchés, et de la grande joie de vivre la vie-de-Christ.
1. Prenez conscience d’être un pécheur : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». « Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes ».
2. Regrettez sincèrement vos péchés et repentez-vous. « Le publicain, se tenant à distance, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur ». « Car la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut ».
3. Confessez vos péchés à Dieu. « Celui qui cache ses transgressions ne prospère pas, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde ». Si nous confessons nos péchés (à Dieu), Il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité ».
4. Abandonnez vos péchés, rejetez-les. « Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme d’iniquité ses pensées. Qu’il retourne à l’Eternel, qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner ». « Celui qui avoue et délaisse ses péchés obtient miséricorde ».
5. Demandez pardon pour vos péchés. « c’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités ». « Venez et plaidons ! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine ».
6. Consacrez toute votre vie à Christ. « C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ». « Vous êtes (le) peuple (que Dieu s’est) acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à Son admirable lumière ».
7. Croyez que Dieu vous sauve par Sa grâce. « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie ».
CHAPITRE QUATORZE
REVEVOIR CHRIST PAR LA FOI
PUISQUE CE QUATRIEME PAS est si important pour votre salut, je veux vous aider à comprendre ce que veut dire recevoir Jésus-Christ par la FOI.
Selon la Bible, cette chose que nous appelons la FOI, est la plus importante des toutes. Dans votre conversion, cela signifie « CROIS SEULEMENT » comme l’a dit Jésus.
Tout le reste est vide de sens, si vous n’avez pas la FOI.
On peut reconnaître ses péchés, les haïr et s’en repentir ; on peut demander pardon et se reconsacrer sans cesse à vivre en Chrétien, et même affirmer avec les lèvres que l’on a accepté Christ. Mais, A MOINS D’AVOIR FOI en Dieu, en Sa Parole, en Jésus-Christ, Sa mort expiatoire sur la Croix et Sa résurrection, on n’est pas vraiment NE DE NOUVEAU.
« L’Evangile est une puissance de Dieu pour le salut de QUICONQUE CROIT ».
« C’est par la grâce (faveur imméritée) que vous êtes sauvé, PAR LE MOYEN DE LA FOI ; et ceci ne vient pas de vous : c’est le don de Dieu ; ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie ».
« IL FAUT sue celui qui s’approche de Dieu CROIE que Dieu existe, et qu’Il est le rémunérateur de ceux que Le cherchent ».
« Sans la FOI, il est impossible d’être agréable à Dieu ».
La Bible promet : « Quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé » ; mais encore faut-il accepter ce salut par la FOI.
La FOI consiste à croire que ce que Dieu a dit est vrai.
La FOI veut dire qu’on s’attend à ce que Dieu fasse ce qu’Il a promis de faire. C’est pourquoi « LA FOI VIENT de ce qu’on entend … la Parole de Christ ». Il faut savoir ce que Dieu a promis de faire, pour s’attendre à ce qu’Il le fasse. Une fois que nous CONNAISSONS la promesse de Dieu et que NOUS NOUS ATTENDONS A CE QU’IL L’ACCOMPLISSE, VOILA LA FOI !
La FOI, c’est accepter les promesses de Dieu et être si convaincu de leur véracité, que l’on agit en conséquence, en dépit de toute évidence contraire.
Que devons-nous croire ? La réponse est : L’EVANGILE – la Bonne Nouvelle de ce que Jésus a accompli pour nous par Sa mort sur la Croix et par Sa résurrection.
La Bible fait plusieurs déclarations qui semblent incroyables, et même illogiques ; mais Dieu nous commande de les CROIRE. Jésus a dit : « AYEZ FOI EN DIEU ». Donc, acceptez ces affirmations quant à Christ et à Son sacrifice sur la Croix comme littéralement vraies, qu’elles paraissent rationnelles ou non. Ceci, c’est la FOI.
La Bible dit qu’Il a « été blessé pour NOS péchés, brisé pour NOS iniquités ». « Qui a porté Lui-même NOS péchés en Son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ».
« Celui (Jésus) qui n’a pas connu le péché, Dieu L’a fait devenir péché pour NOUS, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu ».
Le mystère de l’Evangile, c’est que Christ est mort pour NOUS et a subi tout le châtiment de NOS péchés qui NOUS étaient imputés, si bien que NOTRE dette est payée et n’existe plus.
Pourquoi l’a-t-Il fait ? Parce que nous avions péché contre Dieu et enfreint Sa loi qui déclare : « L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra » ; le salaire du péché, c’est la mort ».
L’homme et la femme avaient été créés parfaits, sans péché, robustes, purs, heureux, et ils vivaient dans un jardin d’abondance. Ils marchaient et parlaient avec Dieu, sans AUCUN COMPLEXE D’INFERIORITE, de CONDAMNATION, de CULPABILITE ou de PEUR.
Puis Satan est venu les tenter. Adam et Eve ont désobéi à Dieu et mangé du fruit défendu. C’était un péché et ce péché devait être puni.
« C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes, parce que tous ont péché ».
L’homme et la femme furent chassés de la présence de Dieu pour vivre à jamais séparés de Lui, pour être esclaves de Satan, et récolter la terrible moisson de leur péché : le mal, la haine, l’envie, la convoitise, le meurtre, la maladie, le chagrin, l’échec, la douleur, la pauvreté, la défaite et toutes les œuvres du diable, qui sont les fruits de la racine-du-mal qu’est le PECHE.
La loi de Dieu, qui exigeait la mort de tout pécheur, ne pouvait être changée ; toutefois, « Dieu ne voulait pas qu’aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance ». « Il ne désire pas la mort de celui qui meurt ».
Donc … « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils uniqu, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle ».
Jésus est descendu jusqu’à nous. Il a vécu sur terre, en tant qu’homme, mais sans péché – donc Il était parfait. Etant sans péché, Il s’est substitué à nous pour subir le châtiment de NOS péchés.
Nous ne pouvions payer le prix de nos propres péchés et vivre, car le salaire du péché, c’est la mort. Tous avaient péché, donc tous devaient mourir. C’est pourquoi Jésus est venu, Lui qui n’avait pas péché. Il avait été conçu par un miracle de Saint-Esprit, par une semence divine créée dans le sein de la Vierge Marie.
Ainsi, Jésus était né, non d’une semence humaine, mais de celle de Dieu. Puisque le SANG vient de la semence du Père (et non de la mère). Jésus était d’essence divine ! Le sang divin coulait dans ses veines ! Puisque « la VIE de la chair est dans le sang », Sa vie était divine – Il était Dieu venu en chair ! (« On Lui donnera le Nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous »).
C’est pourquoi jean s’était écrié en le voyant : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde ».
Quand Jésus est allé sur la Croix, qu’Il a été condamné et crucifié, c’était un substitut parfait et sans péché qui prenait notre place. Le Fils de Dieu, venu en chair, avec un sang divin, est mort pour nous.
Dieu a dit : « Je vous ai donné le sang sur l’autel, pour faire propitiation pour vos âmes ; car c’est le sang qui fait propitiation pour l’âme ».
Jésus a dit : « Ceci est mon sang, le sang de la Nouvelle Alliance, qui est versé pour plusieurs en rémission des péchés ».
Esaïe a dit : « L’Eternel a fait retomber su Lui (Jésus) l’iniquité de nous tous », Il a été « frappé pour les péchés de mon peuple ». « Il a livré Son âme en sacrifice pour le péché » et « s’est chargé de leurs iniquités ». « Il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et Il a intercédé pour les coupables », VOUS et MOI inclus !
Bien que certains trouvent impossible de l’accepter, c’est par cette Bonne Nouvelle que nous sommes sauvés. Vous ne comprenez probablement pas le Pôle Nord ou le Pôle Sud, vous ne les avez jamais vu, mais vous les accepter ; et si vous avez voyagé en avion ou traversé les mers, vous avez démontré votre foi en ces Pôles qui influencent la boussole qui sert à vous guider.
Vous ne comprenez probablement pas votre radio, votre téléphone, l’électricité ou la télévision, mais vous vous en servez. Ils sont à votre service. Vous comptez sur eux.
Parallèlement, vous devez croire la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, croire qu’Il a réellement pris VOTRE place, souffert VOS péchés et subi tout le châtiment de VOTRE culpabilité. En mourant sur cette Croix, Il a dit : « TOUT EST ACCOMPLI ». Votre dette ne peut être payée deux fois, ni votre châtiment. Jésus l’a fait pour VOUS et MAINTENANT, VOTRE SALUT EST TOTAL.
Donc, croire d’Evangile veut dire que vous avez foi en ce que Jésus a fait pour vous, en se substituant à vous dans la mort.
Maintenant, passons à la question primordiale. Croyez-vous le message de l’Evangile ? Avez-vous FOI EN CE QUE Jésus a fait pour vous ? Comment pourrez-vous prouver votre foi en Lui ? La réponse se trouve dans un simple mot : CONFIANCE. Faites-Lui confiance ; c’est-à-dire : COMPTER SUR JESUS !
Je vous dis ce que je dis aux milliers de gens qui acceptent Christ dans nos Croisades d’évangélisation de masse. FAITES CONFIANCE à l’œuvre accomplie par Christ pour votre âme. COMPTEZ SUR CE QU’IL A FAIT POUR VOUS. COMPTEZ SUR LUI.
Ayez confiance. Il a assez souffert pour vous et tous les péchés commis ou hérités par vous. Jésus en a payé le prix entier et suprême.
COMPTEZ SUR LUI. Il était parfait ; Son sang était pur de tout péché. Ayez confiance. Il était parfaitement innocent, et Il pouvait donc prendre votre place, se substituer à vous.
COMPTEZ SUR JESUS. Son sang suffisait à laver tous vos péchés.
Ayez confiance. Il ne reste plus rien à faire, aucun prix à payer. Nul châtiment à subir. Aucune bonne œuvre à accomplir. Aucune offrande expiatoire. Ni sacrifices ni pénitences ne doivent venir s’ajouter à l’œuvre accomplie par Christ pour vous racheter !
Ayez confiance. Il a fait tout le nécessaire. La Bible dit ce que Jésus a fait pour VOUS : Confiez-vous à toujours dans cette réalité.
Après avoir entendu et cru la Bonne Nouvelle, avoir reconnu vos péchés et vous en être repenti, vous avez confessé et délaissé vos péchés ; vous êtes venu à Dieu, comme un pécheur repentant et brisé, Lui demandant Son pardon ; vous avez exprimé votre foi en ce que Jésus a fait pour vous ; par la foi, vous avez accepté Jésus-Christ dans votre cœur, et décidé de vivre pour Lui, résolu à vous efforcer de Lui plaire en tout ce que vous pensez, dites et faites. Alors désormais, ne faites plus jamais la moindre démarche pour être sauvé – sacrifice ni effort – ne payez aucun prix supplémentaire – aucune autre démarche pour être sauvé !
Faites CONFIANCE à Jésus-Christ.
Ayez CONFIANCE qu’Il en a assez fait sur la Croix.
COMPTEZ sur Son sacrifice. Le Vôtre ne servirait à rien.
Ayez CONFIANCE. Il a payé votre dette. CROYEZ qu’Il a assez souffert.
Faites-Lui CONFIANCE. Il a payé pour vos péchés. Ni vos offrandes, ni vos bonnes œuvres n’ajouteraient rien à votre salut.
CONFIEZ-VOUS à l’efficacité du sang de Fils de Dieu.
COMPTEZ sur Lui : Son amour peut vous atteindre, et Sa puissance vous sauver et vous racheter.
Faites-Lui CONFIANCE pour ce qu’Il a accompli sur la Croix. Rien de ce que vous pourriez penser, dire ou faire, maintenant ou plus tard, ne peut rien ajouter à ce qu’Il a déjà accompli !
Jésus a ASSEZ payé ! Il a ASSEZ souffert ! Ni vous, ni votre pénitence, ni vos offrandes ne peuvent compléter votre Salut. Il l’a fait POUR VOUS, afin que vous n’ayez rien d’autre à faire que de « CROIRE SEULEMENT ».
FAITES LUI CONFIANCE !
En quand vous arriverez à votre dernier jour et pousserez votre dernier soupir, à cet instant-là, CONTINUEZ DE LUI FAIRE CONFIANCE ! N’essayez pas, à cette heure, de penser, dire ou faire quoi que ce soit pour améliorer votre salut. En effet, ce que Jésus a accompli il y a près de 2 000 ans SUFFISAIT. AVEZ CONFIANCE en ce qu’Il a fait, et VOUS SEREZ SAUVE ! C’est ce que la Bible entend par le mot « FOI ».
Tant que nous cherchons à améliorer notre salut par de bonnes œuvres, des offrandes, des souffrances, une pénitence ou toute autre chose, nous ne croyons pas l’Evangile – nous ne faisons pas CONFIANCE au sacrifice de CHRIST.
Quand je pense qu’un jour je quitterai cette vie pour comparaître devant Dieu, je tremble en évaluant TOUT ce que j’ai pensé, dit ou fait dans la vie. Tout cela est si faible et insignifiant, si plein de fautes et d’erreurs. Je n’oserai même pas les faire valoir devant Dieu.
Dieu ne peut désavouer ni le sang ni la vie de Son propre Fils. Sa Parole affirme que le sang et la justice de Jésus m’ont été attribués, et que Dieu ne me regardera et ne me jugera qu’en Jésus-Christ. Autrement dit, toute la justice de Christ a été transférée à mon compte.
Une paraphrase de 2 Corinthiens, chapitre 5, verset 21, dit : « Car Dieu a pris le Christ sans péché, et versé nos péchés en Lui. Puis, en échange, Il a versé en nous la bonté de Dieu ! »
Donc, quand je comparaîtrai devant Dieu, Il ne verra en moi que la vie de Son propre Fils. A cette pensée, je suis rassuré. Je me sens en sûreté, je n’ai pas peur. Je suis en paix, parce que JE FAIS CONFIANCE A JESUS. Je crois qu’Il a fait le nécessaire pour moi. « LA FOI, C’EST CELA ».
Lui faites-vous confiance ?
« Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé ».
« A celui qui ne fait point d’œuvre mais qui CROIT en Celui qui justifie l’impie, sa FOI lui est imputée à justice ».
« Etant donc justifiés PAR LA FOI, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ ».
« Nous ne sommes pas de ceux qui retournent en arrière et se perdent. Nous avons la FOI et nous sommes sur la voie du salut ».
"C’est par la grâce que vous êtes sauvé, par le moyen de la FOI. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ».
Donc, maintenant, scellez pour toujours votre expérience avec Dieu par votre FOI en Lui et en Sa Parole.
FAITES DEVANT DIEU CETTE PRIERE-CONFESSION :
O Seigneur du ciel et de la terre, Je CROIS dorénavant en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Je crois que, dans Ton grand amour et Ta miséricorde, Tu es mort pour MOI, à Ma place.
Je CROIS QUE Tu as subi tout le châtiment de MES péchés ? QUE Tu en as payé tout le prix, pour qu’aucun ne me reste imputé.
Tu étais parfaitement innocent. Tu n’avais fait aucun mal. Le pécheur, c’était moi. J’ai enfreint la loi de Dieu. J’étais passible de mort. J’aurais dû être crucifié. Mais Tu m’as trop aimé pour me laisser mourir à couse de mes propres péchés.
Mes péchés et mes iniquités me séparaient de Toi. Malgré cela, Tu m’as vu dans ma déchéance et ma faiblesse, et Tu m’as aimé. Tu as donné Ton fils, afin qu’Il meure pour moi.
Seigneur Jésus, je Te remercie d’avoir pris Ma place et payé toute Ma dette. Ton précieux sang était sans péché et divin ; pourtant, Tu l’as répandu pour la rémission de MES PECHES.
Quand Tu as purgé Ma peine, j’ai été libéré. Nul péché ne reste pour me condamner, et je n’ai donc plus aucune raison de me sentir coupable devant Dieu. Je ne pourrai jamais être jugé ou condamné pour les péchés expiés par Ta mort. Ils ont été jugés en Toi, Seigneur.
MA vieille nature et tous MES péchés ont été mis à Ton compte, et TU AS TOUT ACQUITTE POUR MOI. Maintenant, Ta parfaite justice est mise sur MON compte, si bien que je suis maintenant racheté et SAUVE.
Seigneur, JE CROIS EN JESUS-CHRIST !
Je crois la Bonne Nouvelle de la Croix.
Merci d’être venu dans ma vie. Je T’ai accepté aujourd’hui. J’ai accepté Ta JUSTICE. J’ai reçu Ton don gratuit d’amour, de miséricorde et de grâce. Je T’ai accepté, comme une personne, en moi. Maintenant, je suis une Nouvelle Créature. JE SUIS NE DE NOUVEAU, D’EN HAUT AVEC LA VIE DIVINE DE JESUS.
Je fais CONFIANCE au sang de Jésus, qui efface de ma vie chaque péché et transgression.
J’ai CONFIANCE que Tu as fait tout le nécessaire pour moi ; payé le prix intégral, et je ne devrai plus jamais rien. Tu as tout payé.
Je ne ferai plus aucun effort pour être sauvé ; je ne ferai valoir aucun mérite, aucun sacrifice, aucune bonne œuvre ; aussi longtemps que je vivrai, je ne PENSERAI, DIRAI ou FERAI rien d’autre pour le pardon de mes anciens péchés, pour être sauvé.
Seigneur, tu en as ASSEZ fait, il y a près de 2 000 ans. TU AS PAYE LE PRIX INTEGRAL DE MES PECHES, ET TU M’AS OFFERT LE SALUT A JAMAIS.
A dater d’aujourd’hui, j’ai CONFIANCE ence que Tu as fait pour moi sur la Croix. CELA ME SUFFIT ! Je suis sauvé à cause de ce qu Tu as accompli pour moi. Rien ne pourra jamais améliorer mon salut.
Ton sang me lave de tout péché dès MAINTENANT.
J’ai Ta vie DESORMAIS.
A PRESENT, je suis sauvé.
Dès cet instant, je m’efforcerai de Te suivre et de partager la Bonne Nouvelle avec les autres, pour qu’ils puissent aussi recevoir Ta Vie.
MERCI, SEIGNEUR, DE CE PLEIN SALUT.
Gloire à Dieu ! JESUS ME SAUVE MAINTENANT !
Amen !
CHAPITRE QUINZE
UNE NOUVELLE CREATURE
MAINTENANT VOUS ETES une nouvelle créature. Jésus-Christ est venu dans votre cœur. Vous possédez Sa VIE NOUVELLE. Vous avez reçu le plus grand miracle qu’un homme ou une femme ne puisse jamais expérimenter.
Vos péchés ont été expiés sur la Croix. Jésus a souffert à VOTRE PLACE. Il a payé le prix intégral. Vos péchés ne peuvent plus vous condamner. Ils ont disparus – comme une dette ancienne qui n’a pas à être payée de nouveau. Dès ce moment, ne faites jamais plus rien d’autre pur essayer d’être sauvé. JESUS EN A FAIT ASSEZ quand Il est mort sur la Croix pour vos péchés.
Vous êtes sauvé, non à cause de ce que vous avez fait ou pouvez faire, mais « C’est par la grâce (faveur imméritée) que vous êtes sauvé, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. »
Si jamais vous mettiez en doute votre salut, relisez ce message. Apprenez par cœur chacun des versets bibliques de ce livre, et gardez-les précieusement dans votre cœur.
La Bible dit : « Ils l’ont vaincu (l’adversaire) par le sang de l’Agneau et par la Parole de leur témoignage ».
Autrement dit, quand vous êtes tenté par l’ennemi, rappelez-vous premièrement que vous êtes sauvé uniquement par le SANG versé de Jésus-Christ. Deuxièmement, n’oubliez pas les versets qui vont ont parlé de votre Salut. Apprenez-les par cœur et citer-les dans votre témoignage personnel de Jésus-Christ.
Maintenant que vous êtes recréé – NE DE NOUVEAU par la VIE DE JESUS-CHRIST, Il vit en vous.
Cette bénédiction est assurément pour vous : « Or, à Celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître devant Sa gloire irrépréhensible et dans l’allégresse, à Dieu seul, notre Sauveur, par Jésus-Christ, notre Seigneur, soient gloire, majesté, force et puissance, dès avant tous les temps, et maintenant, et dans tous les siècles ! Amen ! »
CHAPITRE SEIZE
ENREGISTREZ VOTRE DECISION
COMME ACTE DE FOI, enregistrez votre décision sur le coupon de la page suivante. N’hésitez pas. Avoir reçu Christ comme Sauveur est le plus grand miracle de votre vie.
Si vous croyez les promesses bibliques contenues dans ce livre, et si vous avez sincèrement prié et reçu Jésus dans votre vie par la foi, alors, à l’instant même, un ange enregistre votre nom « dans le Livre de Vie de l’Agneau ».
Votre décision enregistrée sur le coupon sera un témoignage permanant de votre expérience personnelle d’aujourd’hui. Si jamais votre ennemi, le diable, essaie de vous faire douter de ce qui s’est produit, vous pourrez vous reporter à la décision que vous avez enregistrée ce jour, et SAVOIR que vous avez reçu la VIE ABONDANTE de Jésus-Christ et que vous êtes NE DE NOUVEAU.
MA DECISION
Aujourd’hui, j’ai lu ce livre, Comment recevoir la guérison miracle. J’ai appris ce que veut dire être sauvé. Avec sincérité et recueillement, j’ai fait la prière des pages précédentes.
J’ai reçu Jésus-Christ dans ma vie, je le crois, et sui NE DE NOUVEAU par SA VIE. Je m’engage à faire de mon mieux pour Lui plaire en tout ce que je pense, dis et fais. Avec Sa grâce et SON aide, je ferai connaître Jésus-Christ aux autres.
Comptant sur Lui pour qu’Il me garde par Sa Grâce, j’ai pris cette décision aujourd’hui – au Nom de Jésus.
Signature :
Date : Le
MAINTENANT SCELLEZ VOTRE DECISION et confession de foi, ci-dessus, en m’écrivant personnellement pour me dire que vous avez accepté Jésus-Christ, et reçu le miracle du SALUT.
Ma femme et moi-même prions pour chaque lecteur de ce livre. Notre plus grande récompense est de recevoir les lettres de ceux qui, l’ayant lu, sont SAUVES.
Nous vous répondrons personnellement, et nous deviendrons ainsi partenaires dans la prière, pour servir et suivre Jésus-Christ.
Ecrivez-moi DES AUJOURD’HUI – de peur d’oublier. Dites-moi, avec vos propres mots, ce qui s’est passé aujourd’hui. Ne manquez pas de me dire la DATE où vous avez signé votre décision dans ce livre. Je prie pour vous.
CHAPITRE DIX-SEPT
VOTRE VIE NOUVELLE
DES AUJOURD’HUI, vous vivez une vie nouvelle avec Jésus. Chaque jour faites ces TROIS CHOSES :
1° Parlez à Dieu chaque jour.
C’est la prière.
Parlez-Lui comme vous parleriez à une autre personne. Il es votre Meilleur Ami.
2° Laissez Dieu vous parler.
C’est lire la Bible.
Habituez-vous à ouvrir chaque jour le Nouveau Testament et lisez quelques versets des Evangiles. Dieu vous parle par ce moyen – par Sa Parole.
3° Chaque jour, parler de Dieu à quelqu’un d’autre.
C’est le témoignage chrétien.
Jésus a dit : « Quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ; mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux ».
Ce que Jésus-Christ a fait pour vous n’est-il pas merveilleux ? … si merveilleux que vous ne pouvez-vous empêcher d’en parler ? si ! ses miracles de grâce valent la peine d’être rapportés aux autres. Ils ont besoin de le savoir, parce que, sans Christ, ils n’ont aucun espoir.
Ils ont des problèmes, mais pas de solutions, des maladies mais pas de remèdes, de la peur et ne trouvent aucune paix. Donc, dites-leur ce qui vous est arrivé. Commencez dès aujourd’hui, en toute occasion, de confesser Jésus devant les autres.
CHAPITRE DIX-HUIT
COMMUNION OU FREQUENTATION
UN ELEMENT MAJEUR de LA VIE CHRETIENNE en Christ, c’est l’église ou l’assemblée de Chrétiens que vous décidez de fréquenter. C’est avec eux que vous prierez, apprendrez à mieux connaître la Parole de Dieu et à servir votre prochain.
On peut, il est vrai, rester seul et être en communion avec notre Père Céleste ; prier seul ; étudier Sa Parole et servir Dieu dans la solitude – tout cela nous devrions le faire et nous le ferons, si nous avons vraiment reçu Christ dans nos vies.
Mais en fait, le meilleur moyen de prouver notre amour pour Dieu, c’est d’exprimer Son amour envers les autres. « Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu » et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur. En effet, il ne peut pas aimer Dieu qu’il n’a pas vu, s’il n’aime pas son frère qu’il a vu. Voici donc le commandement que le Christ nous a donné : « celui qui aime Dieu doit aussi aimer son frère ».
Le fait est que le meilleur moyen de servir Dieu, c’est de servir les autres. « Dieu est amour » et « l’amour est de Dieu ». « quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu ». « Si Dieu nous a ainsi aimés … nous devons donner notre vie pour les frères ».
« Je vous donne un commandement nouveau : aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres ».
Il est scripturaire d’adorer Dieu en compagnie d’autres croyants ; de prier dans Son sanctuaire ; d’être instruits dans les voies de Dieu et dans Sa Parole par un berger – un pasteur.
Paul dit : « Il y a un seul corps et un seul Esprit ; comme aussi vous avez été appelés à une seule espérance par votre vocation ; il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous.
« Mais à chacun de nous la grâce a été donnée selon la mesure du don de Christ ».
« Il a fait des dons aux hommes … Il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs, « pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ,
« Jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ ».
LE GRAND PROBLEME de ce siècle est que les nouveaux Chrétiens sont déconcertés par les nombreuses dénominations et églises qui parfois se condamnent les unes les autres, et qui cherchent à recruter des adeptes chez les autres.
La majeure partie du problème vient des théologiens qui semblent croire qu’on ne peut pas accepter littéralement la Bible, mais qu’il faut une interprétation technique et judicieuse – et naturellement, ils croient que leur système doctrinal est le seul à fournir une interprétation correcte ou pure. Souvent, comme l’a dit Jésus, ils « filtrent leur boisson pour en éliminer un moustique, et avalent un chameau ».
Je vous invite à ne pas être déconcerté par cette multiplicité de doctrines et d’interprétations. Ne critiquez pas ceux qui , en toute sincérité, condamnent les autres et louent leur propre connaissance de la doctrine. Paul offre de bons conseils à cet égard dans le douzième chapitre de Romains.
Souvenez-vous de ceci : si la vraie foi chrétienne était aussi complexe que certains théologiens voudraient nous le faire croire, les gens ordinaires ne pourraient jamais être sauvés – il serait impossible que les païens des terres lointaines se convertissent.
Gardez les yeux sur Jésus-Christ, sur ce qu’Il disait et enseignait. Suivez-LE. Sa vie est simple, pas compliquée. Ses mots seront compris par les gens les plus ordinaires. On ne peut pas s’égarer en Le suivant.
SUR TOUTE LA SURFACE DU GLOBE, depuis 30 ans, nous avons eu le privilège de mener des milliers de non-chrétiens à accepter Christ et à recevoir la Nouvelle Naissance. Puis nous les avons exhortés à trouver une bonne compagnie de croyants – une bonne église ou assemblée – et à y aller fidèlement pour adorer Dieu, prier, étudier et être en communion avec d’autres croyants. Mais je m’inquiète toujours parce que je sais qu’en recherchant cette communion avec d’autres croyants, ils vont découvrir des divisions qui pourraient engendrer la confusion dans leur foi nouvelle et délicate.
Je vous encouragerais énergiquement à suivre Jésus-Christ.
Soyez bienveillant et compréhensif envers les autres Chrétiens.
S’ils accusent et condamnent les Chrétiens d’autres églises, ne vous imprégnez pas de leur amertume. Gardez le cœur pur et ne jugez personne. Aimez tout le monde ; soyez une influence pour la compréhension et le bien.
Souvenez-vous toujours de cette règle : il n’y a qu’une église véritable – le Corps de Christ. Elle se compose de tous les Chrétiens authentiques – de tous les croyants en Christ en en Son Evangile.
Tout homme et toute femme qui :
Croit que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, conçu du Saint-Esprit, né d’une vierge, qui est venu comme Dieu en chair, qui s’est chargé de nos péchés par Sa mort sur al Croix, qui a versé son sang pour la rémission de nos péchés, qui est mort pour nous et est ressuscité d’entre les morts pour notre justification, qui est maintenant assis à la droite de Dieu, qui intercède à jamais pour nous,
Je l’affirme, chaque homme et chaque femme qui croient ces vérités essentielles de l’Evangile ; qui est venu à Dieu comme pécheur, en confessant son péché ; qui s’est repenti et a fait appel au Nom de Jésus, en L’acceptant par la foi ; qui a confessé Christ comme Sauveur devant les hommes, et qui croit en Lui comme son Sauveur personnel – cette personne est née dans l’authentique église de Jésus-Christ. Elle est un enfant de Dieu, peu importe la compagnie de Chrétiens qu’elle fréquente, avec lesquels elle adore Dieu, chante, prie et étudie.
Suivre Christ veut dire adorer Dieu, apprendre, aimer les autres, les aider et avoir une communion fraternelle avec nos semblables. Le meilleur moyen d’exprimer tout cela, se trouve dans le contexte social d’une communauté de Chrétiens de votre localité.
La Bible dit : « Ne cessons pas d’assister à nos assemblées ; ne soyons pas comme certains qui ont pris l’habitude de ne plus y venir ».
JE VOUS RECOMMANDE de faire de votre mieux pour trouver une compagnie de Chrétiens qui croient aux principes fondamentaux précités de l’Evangile. Soyez un membre fidèle. Coopérez avec le responsable de votre église ou de votre assemblée. Dieu l’a établi comme berger du troupeau.
La Parole de Dieu dicte en effet : « Veillez su vous-mêmes, et sur tout le troupeau que le Saint-Esprit a remis à votre garde. Prenez soin de l’Eglise de Dieu qu’Il S’est acquise par la mort de son propre Fils ».
Rendez au pasteur le respect qui lui est dû et cherchez à l’aider en tout ce qu’il fait pour l’avancement de la cause de Christ dans votre ville – et ailleurs.
Si vous ne trouvez pas une église (ou une assemblée de croyants) déjà établie dans votre localité, où vous pourriez aller pour être édifié dans votre foi, adorer Dieu et travailler pour Lui en compagnie d’autres croyants, alors faites ce que faisaient les Premiers Chrétiens : ils faisaient de leur propre maison un lieu de prière et d’étude biblique, et en encourageaient d’autres à venir y adorer Dieu, étudier et prier avec eux.
En effet, c’est comme cela que les églises du Nouveau Testament se sont établies ; donc ce serait certainement scripturaire dans votre ville, s’il le fallait.
JESUS A FAIT une déclaration profonde au sujet de l’établissement de Son Eglise. L’Eglise authentique est fondée sur la révélation de la foi que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Autrement dit, si vous croyez vraiment ce fait, si Dieu a révélé à votre cœur que Jésus a été véritablement conçu du Saint-Esprit et né d’une vierge ; qu’Il est ainsi de sang Divin et qu’Il est le Fils de Dieu – réellement Dieu en chair – si vous avez confessé ce fait, alors vous faites partie de Sa véritable Eglise, parce que cette révélation est le fondement même de l’Eglise.
Jésus a demandé à Ses disciples : « Qui dit-on que je suis ? »
Il y a eu plusieurs réponses, mais Pierre a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ».
Jésus a répondu : « Tu es heureux … car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux … et (je te dis que) sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et que les portes su séjour des morts ne prévaudront point contre elle ».
Si vous croyez ces faits fondamentaux, vous faites partie de l’Eglise de Christ – Son Corps, et alors l’enfer tout entier ne pourra ni détruire votre position ni vous arracher à Son Eglise.
Être membre d’une communauté chrétienne, ce n’est qu’un symbole. Des êtres humains tels que pasteurs, moniteurs et autres membres de l’Eglise peuvent soit vous aider et vous enseigner, soit vous juger ; soit vous recevoir dans leur association, soit vous exclure.
Mais voici l’essentiel : Êtes-vous né de nouveau ? êtes-vous croyant ? Jésus-Christ vous a-t-il accueilli dans SON UNIQUE EGLISE, par la nouvelle naissance ? Voyez-vous, vous pouvez « vous affilier » à n’importe quelle église, mais il faut que vous NAISSIEZ DE NOUVEAU, par un miracle spirituel pour devenir membre de la VERITABLE EGLISE DE JESUS-CHRIST.
VOICI TROIS FAITS su sujet de la SEULE EGLISE AUTHENTIQUE – le Corps de Christ – la communauté de tous les croyants de par le monde entier.
1. JESUS-CHRIST LUI-MËME L’A FONDEE.
« Sur cette pierre (de la révélation par la foi que je suis le Fils de Dieu) je bâtirai mon Eglise ».
2. JESUS EN EST LA PIERRE ANGULAIRE.
« Vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres de des prophètes, Jésus-Christ Lui-même étant la pierre angulaire ».
3. JESUS EN EST LE SEUL FONDEMENT.
« Car personne ne peut poser d’autre fondement que celui qui est posé, lequel est Jésus-Christ ».
Christ est le Fondateur, le Bâtisseur et c’est à Lui seul qu’appartient l’Eglise.
Il l’aime et Il s’est livré Lui-même pour elle.
« Christ a aimé l’Eglise et s’est livré Lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la Parole, après l’avoir purifiée par le baptême d’eau, afin de faire paraître devant Lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible ».
« Car nous sommes membres de Son corps – de Sa chair et de Ses os … Ce mystère est grand ; mais moi, je parle relativement à Christ et à l’Assemblée ».
L’Apôtre Paul dit que l’essence de la véritable Eglise, c’est « CHRIST EN VOUS, l’espérance de la gloire ».
« Car nous sommes te temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ».
IL N’Y A QU’UNE SEULE EGLISE. Vous pouvez vous « affilier » à une communauté de croyants dans votre localité, mais votre AFFILIATION VERITABLE, votre nouvelle NAISSANCE SPRITUELLE, votre DROIT D’AINESSE est enregistré au ciel dans le Livre de Vie de l’Agneau.
Comme dans les réseaux du téléphone, des chemins de fer ou des postes, il n’a a qu’une tête – un chef – d’où parviennent toutes les directives essentielles. Ces ordres sont exécutés et interprétés par beaucoup d’autorités subalternes, mais il n’y a qu’UN CHEF, et CE CHEF C’EST CHRIST !
C’est pourquoi je vous dis de suivre Christ. Etudiez Sa Vie ! Apprenez Ses Paroles ! Vivez comme Il a vécu ! Pensez comme Il pensait ! Parlez comme Lui ! Agissez comme Lui !
Exprimez Son amour, Sa miséricorde, Sa compassion, Sa compréhension et ainsi vous connaîtrez la joie, la paix et la satisfaction de la vie chrétienne véritable. C’est le seul moyen de vraiment mener LA VIE COMBLEE.
Les croyances et doctrines fondamentales qui sont à la base de toutes les églises et assemblées chrétiennes sont essentiellement identiques :
Jésus-Christ a été conçu du Saint-Esprit.
Il est né d’une vierge.
Il était Dieu en chair, « Emmanuel … Dieu avec nous ».
Son sang était Divin.
Sa vie nous a montré la Volonté de Dieu.
Il est mort pour payer notre dette, se chargeant de nos péchés.
Il est ressuscité pour notre justification.
Il vit aujourd’hui, assis à la droite de Dieu où Il intercède pour nous, comme seul médiateur entre nous et Dieu.
Il est le seul Sauveur de l’homme.
Toutes les églises chrétiennes s’accordent sur ces principes fondamentaux, mais malheureusement il y a toujours des litiges sur des points de détail au sujet de doctrines, de cérémonies, de rites et de méthodes d’expression et de propagation du Christianisme.
Au milieu de ces querelles, souvenez-vous que c’est Christ qui vous a appelé, et que votre responsabilité principale est de SUIVRE JESUS et SA PAROLE.
Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres ».
Quand Jésus a fondé Son Eglise, Il voulait que tous ceux qui croient en Lui s’unissent dans un amour et un engagement communs pour Le servir ensemble en servant les autres ; qu’ils aiment et œuvrent ensemble, comme Son Corps, pour exprimer au monde Son amour, Sa lumière et Sa vie, « jusqu’à ce que finalement nous croyions tous de même au sujet de notre Salut et de notre Sauveur, le Fils de Dieu, et que nous atteignions tous notre pleine maturité dans le Seigneur – au point d’être remplis de Christ. Alors nous ne serons plus comme des enfants, changeant toujours d’avis quant à notre croyance, parce qu’on nous a dit quelque chose d’autre … Au contraire, c’est avec amour que vous suivrons toujours la vérité – parlant, agissant et vivant la vérité – et nous deviendrons ainsi en toutes choses de plus en plus semblables à CHRIST qui est le Chef de Son Corps, l’Eglise ».
LA COMMUNAUTE LOCALE (les croyants avec qui vous choisissez de vous assembler, de prier, pour adorer Dieu et servir votre prochain) exercera sur vous et votre foyer une bénédiction et une influence inestimables.
Vos enfants apprendront à connaître Christ.
L’assemblée des croyants sera témoin des mariages chrétiens dans votre famille.
Ils s’uniront avec vous dans la prière et la foi quand vous serez malade ou que vous traverserez des épreuves.
Ils vous soutiendront dans le deuil.
Ce sont vos compagnons dans la foi.
Ils vous encouragent et vous fortifient.
Ils prient avec vous et pour vous.
Ils partagent la vérité avec vous.
Ils se joignent à vous pour adorer Dieu.
Ils vous aiment.
Ils vous offrent la meilleure occasion d’exprimer votre propre foi et votre amour en servant et en aidant les autres, avec eux, d’une façon organisée.
La communion dont vous bénéficiez est vraiment un avant-goût du ciel, parce que vous allez passer l’éternité avec ceux qui sont fidèles à leur foi. Si l’on n’aime pas les gens ; si l’on n’aime pas s’associer avec eux, servir avec eux et aller à l’église avec eux, on doit s’examiner pour décider si l’on veut vraiment aller au ciel.
En substance, l’Eglise de Jésus-Christ – Son Corps – constitue les seuls pieds, les seuls yeux, les seules oreilles et les seuls bras dont Jésus dispose ici-bas. Vous êtes Son Corps, alors permettez-Lui de VOIR les besoins humains par vos yeux.
Permettez-Lui de S’EN OCCUPER grâce à votre cœur plein de compassion. Permettez-Lui d’EXPRIMER cet amour à travers votre vie. Permettez-Lui de DEMONTRER cet amour par vos mains, vos pieds, vos bras et par tout ce que vous êtes, par tout ce que vous faites.
L’Eglise, c’est VOUS !
VOUS êtes le Corps de Christ. Il vit en vous ; par vous Il exprime Son Être et Son amour.
Voilà, en substance, LA VIE CHRETIENNE.
CHAPITRE DIX-NEUF
CELUI QUI GUERIT DEMEURE CHEZ VOUS
MAINTENANT QUE vous avez reçu Jésus-Christ dans votre vie, en une expérience personnelle et précise de SALUT, je peux vous affirmer, sur l’autorité de la Bible, que CELUI QUI GUERIT VIT MAINTENANT CHEZ VOUS.
Souvenez-vous toujours que Jésus est venu dans ce monde pour nous montrer Dieu, et pour nous démontrer la Volonté de Dieu. « Voici, je viens pour faire Ta Volonté ». « Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la Volonté de Celui qui m’a envoyé ».
Il nous a montré que Dieu n’est pas un meurtrier, mais Celui qui donne la vie. Il nous a démontré que notre Seigneur n’est pas un destructeur, mais un Sauveur. Il nous a révélé que la maladie émane de Satan ; que la guérison et la vie émanent de Dieu.
Ce Sauveur compatissant, aimant et qui guérit vit maintenant chez vous.
La Bible dit : « C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités ; qi guérit toutes tes maladies ».
Il existe quatre comptes rendus de Son ministère terrestre : Les Evangiles selon St. Matthieu, St. Marc, St. Luc et St. Jean. Dans ces comptes rendus, il n’y a pas un seul cas où quelqu’un soit venu demander à Jésus le pardon ou la guérison sans avoir été exaucé. Jésus n’a jamais dit ou insinué que c’était la Volonté de Son Père que le pécheur reste dans son péché, ou que le malade reste malade. Il n’a jamais suggéré que le péché ou la maladie était une croix qu’il fallait porter, que c’était une « bénédiction » (?) déguisée, qu’elle avait pour but de nous enseigner une leçon mystérieuse, que la Volonté du Père n’était pas de sauver ou de guérir. JAMAIS ! Et Il est venu NOUS MONTRER LA VOLONTE DE DIEU.
Ce qu’Il faisait alors, nous pouvons nous attendre à ce qu’
Continuellement, l’Evangile affirme que toujours, partout, Il était ému de compassion et guérissait tous les malades.
C’est Sa Volonté pour VOTRE VIE.
Il est votre Sauveur.
Il est aussi celui qui vous guérit – votre Médecin.
(Demandez mon livre, Comment avoir l’abondance, et apprenez comment Dieu a abondamment pourvu à toutes vos sept nécessités de base.) La guérison du corps est seulement une de ces nécessités.)
Au début de cette QUATRIEME PARTIE, j’ai dit : « Le quatrième pas pour recevoir la guérison par Christ est de comprendre que la guérison physique fait partie de votre salut ».
Quand vous avez fait la confession-prière suggéré et avez reçu Jésus-Christ dans votre vie par la foi, IL EST VENU FAIRE SA DEMEURE CHEZ VOUS, et Il veut maintenant vous communiquer SA VIE ABONDANTE POUR CHAQUE aspect de votre vie – ce qui inclut votre corps, « afin que la Vie de Jésus soit aussi manifestée DANS VOTRE CHAIR MORTELLE ».
Ce serait égoïste, et mal, de n’accepter Jésus dans votre vie SUE DANS LE SEUL BUT D’ÊTRE GUERI. Bien que la guérison fasse partie des bénédiction qu’Il vous communique, vous auriez tort de ne L’accepter que pour bénéficier de la guérison du corps.
Quand j’ai épousé ma femme, j’aurais été très déçu si, ayant accepté l’anneau de mariage, elle m’avait dit : « Eh bien, je ne veux plus de toi ; merci pour la bague. C’est seulement pour ça que je t’ai épousé ». Christ aussi serait déçu si vous ne Le receviez que pour la guérison qu’Il peut vous donner.
Le Christianisme, après tout, est un roman d’amour entre Christ et Son Eglise, qui est Son Corps.
PARTIE V
LA PRIERE
LE CINQUIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI DEMANDER DE VOUS GUERIR CONFORMEMENT A SES PROMESSES ET DE CROIRE QU’IL ENTEND VOTRE PRIERE.
CHAPITRE VINGT
IL ENTEND VOTRE PRIERE
LE CINQUIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI DEMANDER DE VOUS GUERIR CONFORMEMENT A SES PROMESSES ET DE CROIRE QU’IL ENTEND VOTRE PRIERE.
PRIER AVEC FOI ne veut pas dire mendier ou implorer la guérison. Rappelez-vous, si vous avez accepté Christ comme Sauveur personnel, que vous êtes enfant de Dieu et Il est votre Père. Vous n’êtes pas un mendiant. Le Père veut que vous veniez à Lui comme un enfant s’apporche de ses parents. Venez à Lui en toute confiance.
Ne l’oubliez pas : puisqu’Il a promis de vous guérir, Il veut le faire. Il se réjouit de vous voir bien portant, heureux et robuste, tout comme n’importe que père qui veut le meilleur pour son enfant.
David a dit : « Comme un père a compassion de ses enfants, l’Eternel a compassion de tous ceux qui le craignent ». Aimez-vous voir vos enfants souffrir ? Votre Père, pas davantage !
Il vous invite à « vous approcher avec assurance du trône de la grâce ».
Jésus a dit : « Si vous demeurez en moi, et que mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé ».
Jésus vous invite à prier : « Demandez et l’on vous donnera … car quiconque demande reçoit ». Il vous promet aussi : « Si vous demandez quelque chose en mon Nom, je le ferai ».
Le Père vous invite à prier : « Invoque-moi, et je te répondrai ».
Souvenez-vous : « Les yeux de Seigneur sont sur les justes, et Ses oreilles sont attentives à leur prière ». Ainsi, quand vous priez, et Lui demandez de faire ce que vous savez qu’Il a promis, Il vous écoute. Croyez-le ! Dieu entend chaque prière qu’un de Ses enfants Lui présente avec foi. Il s’intéresse à vous, et Il se réjouit d’entendre votre requête et de l’exaucer.
Jean a dit : « Nous avons auprès de Lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon Sa Volonté (selon Ses promesses). IL NOUS ECOUTE ».
Donc, maintenant que vous connaissez Ses promesses, et savez qu’Il s’adresse à vous personnellement ; maintenant que vous avez reçu Jésus dans votre vie, demandez-Lui de guérir votre corps, comme Il l’a promis. Demandez-Lui, en ayant l’assurance qu’IL VOUS ECOUTE. Jean a dit : « Si nous savons qu’Il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous SAVONS QUE NOUS POSSEDONS LA CHOSE QUE NOUS LUI AVONS DEMANDEE ».
Si vous ne connaissiez pas Ses promesses, si vous ne saviez pas qu’elles s’adressent à VOUS personnellement, vous hésiteriez en priant ; mais, puisque vous savez qu’elles sont pour VOUS, soyez parfaitement assuré, quand vous Lui demandez de faire ce qu’Il a promis, qu’Il entend votre prière et qu’Il l’honore.
CHAPITRE VINGT ET UN
DEMANDEZ ET RECEVEZ
POUR SUIVRE JESUS-CHRIST, la bénédiction suprême c’est d’APPRENDRE A PRIER ET A ÊTRE EXAUCE. Dieu veut que vous, Son enfant, veniez à Lui en toute confiance, sachant que vous pouvez Lui demander par une simple prière tout ce dont vous avez besoin, tout ce que vous désirez, et qu’Il le fera pour vous.
IL A FAIT NOMBRE DE PROMESSES MERVEILLEUSES – qui s’adressent à VOUS, personnellement :
« Invoque-MOI, ET je te répondrai ; je t’annoncerai de grande choses, des choses cachées, que tu ne connais pas ».
C’est l’invitation de Dieu à prier, et Sa promesse de répondre.
« Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira ».
Ainsi, Christ vous encourage à prier, et vous assure de l’exaucement.
« QUICONQUE demande reçoit. »
C’est Sa promesse : si un million de gens demandent, CHACUN RECEVRA. Dans sa pensée, il n’y a pas de prière sans exaucement.
« Qui cherche trouve ».
« L’on ouvre à celui qui frappe ».
Il veut toujours répondre à la prière. C’est Sa joie.
Dieu vous invite à prier – à demander. Il est TOUJOURS prêt à répondre.
Quand les gens ne prient pas, c’est qu’ils n’espèrent pas de réponse.
Les prières sans exaucement sont un obstacle entre les gens et leur foi.
Certains disent : « J’aurais la foi, si je n’avais pas tant prié sans être exaucé ». Ou encore, ils disent : « J’avais la foi, mais j’ai prié sans relâche pour un tel, et l’exaucement n’est pas venu ».
Beaucoup blâment Dieu, le jugeant déloyal, alors que c’est eux qui n’ont pas prié selon Sa Parole.
En général, les gens n’accusent pas Dieu de manquer à Son devoir, mais ils entretiennent une confusion intérieure – une attitude mitigée envers la prière, qui résulte d’un continuel manque d’exaucement. En eux-mêmes, ils ont abandonné l’espoir de recevoir ce qu’ils demandent, alors ils cessent complètement de prier.
Ceci équivaut à une reddition de la foi.
Ceux qui ne prient pas sont frustrés dans la foi. Leurs espoirs d’une réponse ont trop souvent été déçus ; ils ont capitulé. Maintenant, ils ne persistent que dans les formalités de leur religion. Toute réalité a disparu.
Quand la lumière de la foi s’éteint, la vie devient un chemin pénible.
Abandonnez la foi et vous devrez cheminer seul, car Dieu ne peut tenir compagnie à l’incrédulité.
Si quelqu’un renonce à la foi, sa vie est dominée par la peur et l’insécurité.
VOUS n’avez pas à désespérer d’obtenir une réponse.
VOUS pouvez prier et recevoir l’exaucement.
Demander et recevoir est un merveilleux moyen d’être en communion avec le Seigneur.
C’est si merveilleux qu’une seule fois dans leur vie, n’oublient jamais cette expérience.
Un vieux monsieur doit essuyer ses larmes quand il évoque la seile fois (il y a peut-être bien longtemps) où, à une heure désespérée, il a invoqué Dieu qui l’a entendu et l’a exaucé.
Et pourtant, notre Père céleste nous invite à jouir de cette bénédiction chaque jour de notre vie.
Ce privilège béni est à VOUS.
AUJOURD’HUI, et chaque jour, tout au long de VOTRE vie.
Mais vous devez oublier ces prières sans réponses, qui sont rangées dans les casiers de votre mémoire.
Oubliez le passé. Vous avez peut-être échoué. Tant pis. Beaucoup l’ont fait et beaucoup ont renoncé à tout avenir, à cause des échecs du passé.
Mais il y en a bien d’autres qui ont volontairement relégué ces mauvais souvenirs aux profits et pertes, pour repartir à zéro. Ils ont réussi. Ils ont trouvé, et le bonheur, et l’abondance de Dieu.
LA BASE DE LA PRIERE EXAUCEE EST DE SE RENDRE COMPTE QUE VOTRE SEULLE RAISON D’ATTENDRE DE DIEU UNE BENEDICTION, C’EST QUE JESUS Y A POURVU PAR SA MORT.
Vous voyez, des milliers de gens prient, mais ils ne se demandent jamais si, par Sa mort, Christ a pourvu à leur requête.
Ils veulent la guérison « parce qu’ils ont tant souffert, » ou « parce qu’ils sont fidèles au culte, » etc.
Ces raisons ne peuvent servir de base pour recevoir de Christ la guérison.
La seule base valable pour avoir foi en votre guérison, la voici : « Il a pris NOS infirmités, et Il s’est chargé de NOS maladies ». « Ce sont NOS souffrances qu’IL a portées, c’est de NOS douleurs qu’IL s’est chargé … et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris ».
Pour obtenir l’exaucement, vous devez compter uniquement sur les mérites et la méditation de Jésus-Christ ; c’est la seule raison pour revendiquer une bénédiction.
Ce que vous demandez en priant, comprenez que CHRIST EST MORT SUR LA CROIX POUR Y POURVOIR.
En mourant pour nous, Christ a pourvu à tous les bienfaits désirables ou nécessaires à l’homme.
Quand vous priez, tournez-vous d’abord vers la Croix où il a payé le prix du bienfait que vous recherchez.
Comprenez ceci : puisque Christ est mort pour assurer cette bénédiction, elle vous appartient et Il veut que vous l’ayez. Revendiquez-la donc hardiment !
Vous avez besoin de sept nécessités. (Sept es le nombre parfait et complet dans l’Ecriture Sainte). Dieu se révèle par sept noms Rédempteurs, montrant ainsi Sa septuple nature qui, lorsque nous Le recevons, comble nos vies de Ses septuples bénédictions. Par Sa mort, Christ a payé le prix intégral de cette septuple rédemption. La Croix pourvoit à tout ce dont nous pouvons avoir besoin, à tout ce que nous pouvons désirer.
D’APRES LE COMMENTAIRE qui figure dans la Bible de langue anglaise C. L. Scofield, Genèse 2 :4, voici SEPT NOMS REDEMPEURS DE L’ETERNEL :
Dieu est notre JUSTICE (Jéhovah-tsidkenu).
Dieu est notre PAIX (Jéhovah-Shalom).
Dieu est notre GUIDE ou notre BERGER (Jéhovah-raah).
Dieu est CELUI QUI NOUS GUERIT (Jéhovah-rapha).
Dieu est notre SOURCE, Celui qui pourvoit (Jéhovah-jireh).
Dieu est TOUJOURS PRESENT (Jéhovah-shammah).
Dieu est notre VICTOIRE (Jéhovah-nissi).
Ces sept noms révèlent aux hommes la nature de Dieu. Puisque ce sont des noms « REDEMPTEURS », ils révèlent les bienfaits rédempteurs qui sont Sa volonté pour TOUS. L’œuvre rédemptrice de Christ ne fait AUCUNE EXCEPTION. La Volonté Rédemptrice de Dieu est prouvée par la mort de Christ sur la Croix. Tout ceci veut dire que chacune des bénédictions auxquelles Christ a pourvu par Sa mort sur la Croix est comprise dans notre REDEMPTION, et qu’il ne peut y avoir d’exception. Elles sont TOUTES pour « celui qui veut ».
Pour obtenir l’exaucement de vos prières, vous devez fonder votre foi sur le fait que Christ est mort pour pourvoir à ce que vous demandez.
Vous ne pouvez revendiquer la guérison simplement parce que vous faites le bien et allez à l’église, ni parce que vous avez beaucoup souffert, que votre famille a besoin de vous, ou que vous voulez œuvrer pour Dieu.
Le seul motif qui permet de revendiquer la guérison auprès de Dieu, le voici : Christ s’est chargé de vos maladies, Il a porté vos douleurs, cette guérison vous est librement acquise par Ses meurtrissures.
Voilà une raison légale pour votre revendication. Vous êtes enfant de Dieu. Il vous a acquis la santé, en ôtant vos maladies. Il vous veut bien portant. Donc, la santé vous appartient. Il en a payé le prix, et Il vous l’offre gratuitement. Vous avez légalement droit à cette bénédiction. Vous n’avez qu’à la revendiquer ; c’est comme une somme déposée à votre compte en banque.
Du fait que Christ est mort pour vous donnez la santé, vous n’avez pas à tolérer la maladie. De ce fait, c’est injuste et illégal que Satan inflige la maladie à notre corps. Il n’a aucun droit de vous infliger ce que Dieu a fait retomber sur Jésus. Dans la foi résistez fermement à l’oppresseur. Revendiquez votre guérison, parce que Christ s’est chargé de vos maladies pour les enlever loin de vous. Refusez de rester sous la malédiction de la maladie, puisque Christ est devenu malédiction pour vous et s’est chargé de vos maladies.
Voyez-le, votre guérison fait partie de votre rédemption. Comprenez qu’elle est déposée à votre compte. Et surtout, réalisez que Christ A SOUFFERT pur vous en faire don.
La maladie vient du diable. C’est une malédiction. Ce n’est pas une chose naturelle. Elle tue. Elle est venue à la suite de la chute de l’homme, dans le Jardin d’Eden. Elle n’est jamais venue de Dieu, mais de Satan.
Quand Dieu a racheté l’homme de sa déchéance, le salut que Christ nous a acquis comprenait la délivrance du péché et de ses conséquences. La maladie est une conséquence du péché dans la race humaine.
Christ a porté nos péchés pour les enlever loin de nous, et c’est pour la même raison qu’Il s’est également chargé de nos maladies, car Il voulait que nous en soyons débarrassés. Il nous a délivrés en portant le châtiment que nous méritions.
Nous méritions de mourir dans nos péchés. Christ est mort à notre place, car Dieu L’a fait devenir péché pour nous.
Nous méritions de souffrir de maladies. Mais a enlevé nos maladies et souffert de nos douleurs, et pas Ses meurtrissures nous avons été guéris.
FAITES DE LA MORT DE CHRSIT VOTRE SEUL ARGUMENT – VOTRE SEULE RAISON DE REVENDIQUER UNE BENEDICTION.
PUISQU’IL A PAYE UN TEL PRIX POUR VOUS DONNER LES BIENFAITS ET LES DONS QU’IL VOUS FAUT, NUL AUTRE ARGUMENT NE SAURAIT COMPTER.
Vous avez besoin de sept choses essentielles. La nature de Dieu est septuple. Christ a pourvu à vos sept nécessités, en une septuple rédemption.
Examinons la SEPTUPLE POLICE D’ASSURANCE-VIE ENTIERE, que Dieu offre, et voyons à quoi vous avez droit. Ces sept stipulations sont développées en détail dans notre nouveau livre, Comment Avoir l’Abondance. Ici, nous ne les mentionnons que brièvement.
-I-
VOUS AVE-Z BESOIN DE PARDON et de JUSTICE, car vous vous sentez condamné. Vos péché vous harcèlent. Ils vous hantent chaque fois que vous avez besoin de l’aide de Dieu, et vous accusent d’en être indigne. Vous hésitez et trébuchez chaque fois que le diable vous les rappelle. Ils vous retiennent chaque fois que vous pensez prier. Vous êtes en plein désarroi. Vous voulez en être débarrassé à jamais. Vous voulez Sa justice, Son pardon ; vous voulez que vos péchés soient réglés une fois pour toutes.
STIPULATION : Christ « a porté Lui-même nos péchés en Son Corps sur le bois, afin que morts aux péchés, nous vivions pour la justice ». « Celui (Christ) qui n’a pas connu le péché, Dieu L’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu ». « L’Eternel (est) notre justice ». Jésus est devenu votre justice en portant vos péchés sur la Croix : donc « le don de la justice » est à vous désormais ; Jésus en a payé le prix. Vos péchés ne peuvent plus vous condamner, en effet, Christ les a enlevés à jamais. Satan n’a pas le droit de vous accuser en vous les rappelant à vos moments difficiles, car ils sont aussi loin de nous que « l’orient est éloigné de l’occident ». ils sont partis. Christ a payé le châtiment de tous vos péchés. Il a subi votre peine. Vous êtes quitte.
BASE POUR LA FOI :
Chargé de vos péchés, Christ est devenu péché pour vous ; Il a subi le châtiment que vous méritiez. C’est votre SEULE raison de revendiquer l’exonération ou le pardon de vos péchés, et de vivre libre de toute condamnation.
PRIERE – Quand vous cherchez le pardon ou la justice :
Seigneur, je comprends que Jésus a porté mes péchés sur la Croix ; Son sang a été versé pour leur rémission ; je les confesse et j’y renonce. Je suis pardonné. Christ a subi ma peine. Je suis sauvé. Il me donne sa justice. Par la foi, j’accepte ce don gratuit . je suis libéré de mes péchés. Ils sont payés. Christ les a portés sur la Croix.
-II-
VOUS AVEZ BESOIN DE PAIX, car vous êtes troublé. Votre âme est dans le désarroi. Vous vous sentez mal à l’aise, tendu, accusé et condamné. Votre âme a besoin de faire le point. Vous êtes inquiet et tourmenté. Il vous FAUT trouver la paix.
STIPULATION : L’Eternel est notre paix. Jésus a dit : « Je vous donne ma paix ». Elle est à vous. Jésus est mort pour vous la donner, puisque « le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui » quand Jésus a fait « la paix par Lui, par le sang de Sa Croix ». Satan n’a pas le droit de vous dérober cet héritage. Christ est mort sous l’affliction de vos péchés afin que vous ayez Sa paix.
BASE POUR LA FOI :
Christ a subi la Croix et porté votre châtiment pour vous donner Sa paix. C’est votre SEULE raison de la revendiquer et de rejeter tout conflit intérieur.
PRIERE – Quand vous cherchez Sa paix :
Seigneur, Tu as porté mon châtiment et fait la paix, par le sang de Ta Croix ; je revendique Ta paix dans mon âme. Rien ne peut m’inquiéter, me condamner ou m’accuser ; en effet, quand Tu as versé Ton sang, mes péchés sont été ôtés à jamais, et il ne peut plus exister d’inimitié entre nous. Je revendique MAINTENANT cette paix ! Elle m’appartient ! Le conflit s’est terminé à la Croix. Ma dette est acquittée. Maintenant j’ai Ta paix pour toujours.
-III-
IL VOUS FAUT UNE DIRECTION, car vous avez peur d’être induit en erreur. On pourrait vous duper, et vous êtes donc troublé et méfiant, craintif et hésitant. Vous demandez à Dieu de vous guider ; mais sans assurance. Vous hésitez. IL FAUT qu’Il vous guide.
STIPULATION : « L’Eternel affermit les pas de l’homme ». « Ta Parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier ». « L’ETERNEL est mon BERGER ». Jésus a dit : « Mes brebis entendent ma voix … et elles me suivent. Elles ne suivront pas un étranger ». Il est devenu votre Guide. Soyez-en sûr. Il a payé cher le privilège de vous conduire, en donnant « Sa vie pour Ses brebis ». C’est Sa mort qui vous permet de Lui appartenir et de Le suivre.
BASE POUR LA FOI :
Christ a donné Sa vie pour devenir votre Berger. C’est votre SEULE raison de revendiquer Sa direction, dans l’assurance que vous ne serez jamais errant, ni induit en erreur.
PRIERE – Quand vous cherchez à ce qu’Il vous guide :
Seigneur, Tu es mon Berger. Je Te suis. Je connais Ta voix. Tu as donné Ta vie pour moi. Je ne peux pas être induit en erreur, car Tu es mon Berger qui me guide.
-IV-
IL VOUS FAUT LA GUERISON, car vous souffrez de douleur ou de maladie, de faiblesse ou d’infirmité. Vous avez terriblement besoin de la puissance guérissante de Dieu. Vous priez pour la délivrance.
STIPULATION : Quand IL EST MORT SUR LA CROIX, Christ a payé pour votre parfaite et totale guérison. Il est « l’Eternel qui te guérit ». C’est Lui « qui guérit toutes les maladies ». il a payé le prix de votre guérison quand il a porté vos souffrances et s’est chargé de vos douleurs, et subi les meurtrissures par lesquelles vous avez été guéri. Maintenant, tout est accompli. Votre santé est acquise. Vos maladies sont tombées sur Lui ; Il les a ôtées à jamais. La guérison est à vous désormais. C’est un cadeau. C’est à vous. Satan n’a pas le droit de vous infliger ce que Dieu a fait retomber sur Jésus à la Croix.
BASE POUR LA FOI :
Christ a subi vos maladies et les a portées pour vous dans Sa mort. Pour cette SEULE raison, une guérison parfaite vous appartient et vous avez le droit de la revendiquer en Son Nom.
PRIERE – Quand vous cherchez la guérison :
Seigneur, Tu as fait retomber sur Jésus mes maladies et mes douleurs, et Il les a ôtées par Sa mort. Puisqu’Il en a souffert pour moi, je n’ai plus a en souffrir. Je suis libre ; je suis guéri. Je considère comme vraies les Ecritures qui disent qu’Il s’est chargé de ces choses pour moi. Je revendique maintenant ma santé.
-V-
VOUS ETES DAN LE BESOIN. Vous faites face à des situations impossibles. Vous êtes dans le désespoir. Le diable vous tourmente. Vous pleurez et implorez. Vous avez peur. Vous demandez à Dieu de pourvoir, car Lui seul est votre SOURCE.
STIPULATION : « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon Sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ ». Dieu se révèle comme Celui qui pourvoit et, préfigurant le Calvaire, Il a promis à Abraham : « Dieu pourvoira ». Il a pourvu à tout ce dont vous pourriez avoir besoin ou que vous pourriez désirer quand, sur la Croix, Il a pourvu à une rédemption totale. Puisque Christ est mort pour vous, « comment ne nous donnera-t-Il pas aussi toutes chose avec Lui ? » « Tout est à vous ; et vous êtes à Christ, et Christ est à Dieu ».
BASE POUR LA FOI :
Sur l’autel de la Croix, Christ s’est dépouillé pour vous donner tout ce que Dieu possède. Il pourvoit à tous vos besoins et vous n’avez jamais à craindre de manquer de quoi que ce soit.
PRIERE – Quand vous êtes dans le besoin :
Seigneur, Ta as donné Jésus qui est mort à ma place. Sa mort a fait de moi Ton enfant. Quand Tu as donné Jésus pour moi, Tu m’as aussi donné toutes choses. Donc, tout ce que Tu as m’appartiens. Je revendique ce dont j’ai actuellement besoin, parce que Jésus est mort pour que je puisse avoir l’abondance.
-VI-
IL VOUS FAUT LA PRESENCE de Dieu, car vous vous sentez seul. Vous vous sentez loin de Dieu. Vous avez besoin de Lui. Vous êtes désemparé et inquiet. Il vous faut un Ami plus attaché qu’un frère.
STIPULATION : « l’Eternel est ici (Il est présent) ». Il dit : « Je ne te délaisserai pas, et je ne t’abandonnerai pas ». C’est la mort de Christ qui a pourvu à cette bénédiction, car « nous avons été rapprochés par le sang de Christ ». C’est Lui qui nous à laissé cette promesse : « Voici, je suis avec vous tous les jours ».
BASE POUR LA FOI :
Christ a versé Son sang pour vous ramener à Dieu. C’est votre SEULE raison de revendiquer la présence de Dieu auprès de vous, dans l’assurance que vous ne serez plus seul et désemparé. IL est votre Ami. Christ vous a rapproché de Lui. IL EST ICI !
PRIERE – Quand vous demandez Sa présence :
Seigneur, je sais que Christ m’a rapproché de Toi par Son sang. Il a ôté tous mes péchés. J’ai donc l’assurance que Ta présence est avec moi. Son sang prouve que je suis rapproché de Toi. Je compte sur Ta présence car Tu es avec moi toujours. Je ne suis pas seul. Tu es avec moi.
-VII-
VOUS AVEZ BESOIN DE VICTOIRE, car vous êtes engagé dans un combat. Vous combattez l’ennemi. Vous chancelez sous ses coups et vous craignez la défaite. Vos priez désespérément que Dieu vous aide. Vous avez besoin de remporter la victoire.
STIPULATION : « L’Eternel est notre bannière, » notre « victoire », notre « Capitaine. » quand, par la Croix, Christ a triomphé des dominations et des autorités, Il nous a octroyé le privilège de nous écrier : « Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! » Sa mort a triomphé de tout ennemi. Il vous a délivré de la puissance des ténèbres, et vous a transporté dans le Royaume de Son Fils bien-aimé. Sa mort est le signal de votre victoire éternelle. Satan ne s’attaquera jamais à la Croix. Il a été vaincu.
BASE POUR LA FOI :
Christ est mort pour vaincre Satan et triompher de son royaume de démons. Pour cette SEULE raison, vous n’avez jamais à les craindre, et vous pouvez revendiquer la victoire dans chaque combat.
PRIERE – Quand vous cherchez la victoire :
Seigneur, je sais que Jésus a triomphé de Satan et de toutes dominations. Il est ressuscité Vainqueur. Sa victoire est la mienne. Je revendique mes droits. Je marche par la foi. Je lève mes mains en signe de triomphe. Ma victoire a été acquise sur la Croix. Je n’ai plus peur. Je m’en remets à Son triomphe. Ma bataille y a été gagnée ! Satan a été battu. Christ est vainqueur. Mon combat est terminé ! Amen !
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CE QUI EST LE PLUS TRAGIQUE dans la chrétienté d’aujourd’hui, c’est que les gens ne comprennent pas le fait que, dans Sa mort, Christ s’est substitué à nous.
Ce n’est pas pour Lui-même qu’Il est mort, mais vous VOUS.
Il n’a pas ôté Son propre péché, mais LE VOTRE.
Ce n’est pas pour Son propre compte qu’Il a vaincu Satan et triomphé de lui. Il l’a fait pour VOUS.
Ce n’était pas pour être près de Dieu qu’Il a versé Son sang ; c’est vous qui avez été rapproché par le sang de Sa Croix.
Ce n’est pas pour subvenir à Ses propres besoins qu’Il s’est dépouillé sur l’autel de la Croix ; Il l’a fait vous VOUS, que vous puissiez avoir tout ce que Dieu possède, sans jamais manquer de rien.
Il ne souffrait d’aucune maladie. Il a pris LES VOTRES et VOUS a guéri.
La Croix n’est pas le triomphe des Cieux sur Satan. C’est VOTRE triomphe sur Satan.
Dieu n’avait pas besoin de triompher de Satan. Vous aviez péché, il fallait VOUS racheter. Pour agir équitablement envers Satan et pourvoir à VOTRE JUSTE REDEMPTION, Dieu a donné Son Fils, Lui demandant de subir tout le châtiment que VOUS méritiez ; toutes les conséquences que Satan voulait infliger à son nouvel esclave – l’humanité. Jésus s’est chargé de tout cela, POUR VOUS. Puis triomphant vous êtes ressuscité AVEC LUI. Pour VOUS, Il a vaincu. Maintenant êtes racheté. VOUS êtes libre de tout péché. VOUS êtes vainqueur. VOUS avez désormais la paix. VOUS ne manquez de rien. VOUS êtes guéri, maintenant.
En vous rapprochant de Dieu en prière, ne venez pas en mendiant. Vous êtes Son enfant.
Vous ne recevrez jamais les bénédictions pourvues par la mort de Christ, si vous ne tenez pas compte de la Croix et des souffrances par lesquelles Il vous les a acquises.
C’est pourquoi j’insiste sur ce fait : LA BASE DE LA PRIERE EXANCEE EST DE SE RENDRE COMPTE QUE VOTRE SEULE RAISON D’ATTENDRE DE DIEU UNE BENEDICTION, C’EST QUE JESUSY A POURVU PAR SA MORT.
C’est parce qu’elle a été acquise par Sa mort, qu’une telle bénédiction est VOTRE.
CHAPITRE VINGT-DEUX
PRIERE POUR GUERISON
MAINTENANT que vous avez pris conscience de l’origine de la maladie et du fait que votre Père céleste aime Ses enfants et ne veut pas qu’ils souffrent, il est temps de vous approcher de Lui avec humilité et avec foi.
N’oubliez pas qu’Il vous y invite :
« Invoque-moi, et je te répondrai ».
« Demandez et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite ».
« Car quiconque demande reçoit ».
La raison pour laquelle vous pouvez maintenant faire appel à Dieu et être guéri de vos infirmités et de vos maladies, c’est que Jésus-Christ Lui-même Les a toutes subies à votre place. Il s’est volontairement substitué à vous, afin que vous puissiez en être guéri.
Il s’est chargé, Lui-même, de toutes les conséquences physiques de votre nature pécheresse afin d’entrer dans votre vie, pour vous GUERIR PHYSIQUEMENT et vous sauver spirituellement.
Alors, faites à l’instant cette prière :
CHER SEIGNEUR :
Je Te remercie de m’avoir annoncé que Tu es le Seigneur, qui me GUERIT. Quel honneur de savoir que Ton plan pour ma rédemption comprend LA GUERISON PHYSIQUE.
Avant de comprendre que la maladie, l’infirmité, la souffrance et la douleur provenaient du péché originel et de la rébellion d’Adam et Eve, je supposais que dans ma vie il n’y avait aucune délivrance possible de la menace continuelle de la maladie.
Je savais que, malgré les merveilles de la médecine moderne, notre monde regorge de maladies, de souffrances et d’infirmités.
Je sais maintenant que tout cela est le produit du péché et du mal dans le cœur de l’homme. Je comprends maintenant que la nature déchue de l’homme est tellement pleine de tromperie, de rébellion, de violence et de haine que tout son être en est affecté. L’humanité n’a jamais connu que la destruction et la détérioration de l’esprit, de l’âme et du corps.
Mais, Seigneur, comme Ton amour m’émerveille ! Tu n’as pas laissé l’humanité esclave de Satan. Après m’être rebellé contre Toi et avoir violé Tes lois de Vie, je méritais de mourir. Oh, l’amour que Tu as manifesté envers moi en envoyant Ton Fils innocent pour être la propitiation de mes péchés.
POURQUOI UN TEL AMOUR SEIGNEUR ?
Il n’y avait rien dans ma nature pour mériter Ta faveur. Merci pour Ton amour infini à mon égard, quand je n’en étais pas digne.
Le péché avait tant affligé ma vie que mon corps était totalement vulnérable à toutes sortes de maladies et d’infirmités conçues par le diable pour me torturer et pour détruire mon efficacité.
Maintenant, je comprends, cher Seigneur, que Tu as non seulement subi le châtiment entier de tous mes péchés, mais que Tu T’es également chargé de toutes les conséquences de ma nature pécheresse.
Maintenant, je sais assurément que Tu T’es chargé de toutes mes maladies. Tu as souffert toutes mes douleurs pour que je puisse guérir.
Ton corps a été torturé. Tu as été battu sans merci. « Ton visage était défiguré ». Ton dos a été fouetté. Quand on T’a battu, « (ils) ont labouré Ton dos, ils y ont tracé de longs sillons ». Tu as été meurtri et déchiré. Maintenant, je sais que toutes mes maladies sont retombées sur Toi. Tu les as portées pour que puisse être libre.
MAINTENANT, JE COMPRENDS ce que Tu as fait pour moi dans Ton grand amour. Je Te remercie, Seigneur, de m’avoir envoyé ce message de Bonne Nouvelle. Je le crois et je l’accepte.
Cher Seigneur Jésus, je réponds à Ton amour. Ici et maintenant, je T’accepte et je reçois en moi Ta vie-miracle.
Je comprends que toute maladie et tout péché proviennent de la même source de mal – de Satan, le chef des tueurs>. Je me détourne de lui, fermement résolu et j’accueille dans ma vie Ta présence, Ta paix, Ta vie et Ta santé, ô cher Seigneur.
Tu T’es chargé de mes péchés et de mes maladies. Maintenant, j’en suis libéré. Quand Tu as souffert mes maladies, « par Tes meurtrissures j’ai été guéri ».
La grâce et la vie de Jésus-Christ qui demeurent maintenant en moi, me guérissant de tout péché et de toute maladie. Je suis sauvé ! Je suis guéri ! Je suis libre !
Je comprends maintenant que Satan a perdu toute domination sur moi. Donc, aucun péché ne peut me dominer ou me condamner, et aucune maladie n’a le droit d’habiter dans mon corps qui est maintenant devenu le Temple du Saint-Esprit.
OH, JESUS, TU ES SEIGNEUR. Ta vie m’appartient, ta santé aussi. Je suis sauvé et guéri. Mon ancienne vie et tous ses symptômes – mes péchés, mes erreurs, mes douleurs et mes maladies doivent maintenant disparaître, parce que la vie et la puissance de Christ me guérissent et me rénovent MAINTENANT.
Merci, Seigneur. Amen !
PARTIE VI
LA FOI
LE SIXIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE CROIRE, LORSQUE VOUS PRIEZ, QUE VOUS AVEZ DEJA RECU CE QUE VOUS AVEZ DEMANDE, CE PAS, NOUS L’APPELONS LA FOI.
CHAPITRE VINGT-TROIS
ATTENDEZ-VOUS A RECEVOIR
LE SIXIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE CROIRE, LORSQUE VOUS PRIEZ, QUE VOUS AVEZ DEJA RECU CE QUE VOUS AVEZ DEMANDE, CE PAS, NOUS L’APPELONS LA FOI.
BEAUCOUP PRIENT pendant des années pour recevoir des bénédictions que Dieu a promises, mais ils refusent de croire que Dieu a répondu, avant de le sentir ou de le voir. Cela n’est pas la foi.
La foi, c’est savoir que l’on possède ce que Dieu a promis et être convaincu de l’avoir reçu (avant même de le voir ou de le sentir). Cette foi est uniquement fondée sur la promesse de Dieu.
C’est là que votre pensée naturelle et votre foi se livrent leurs plus grandes batailles.
C’est le champ de bataille où s’affrontent votre raisonnement et la Parole de Dieu.
Vous demandez la guérison, mais l’exaucement ne se manifeste pas toujours instantanément. Vous ressentez encore votre douleur ou votre fièvre. La Parole de Dieu déclare que « par Ses meurtrissures, vous êtes guéri ». Votre raison vous dit que la maladie persiste. C’est alors qu’il faut passer outre à votre raison et croire la Parole de Dieu ; ne prêtez pas attention à ce que vous voyez et ressentez, mais seulement à ce que Dieu déclare dans Sa Parole.
La Bible dit : « Sois attentif à mes Paroles, prête l’oreille à mes discours. Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux ; garde-les dans le fond de ton cœur ; car c’est la vie pour tous ceux qui les trouvent, c’est la santé pour tout leur corps ».
Ceci vous enseigne à n’attacher votre pensée, vos oreilles, vos yeux et votre cœur qu’à la promesse de Dieu, exclusivement. Il ne reste alors aucune place pour la crainte, l’incrédulité et le découragement. Faites-les, et Sa Parole produira la santé de tout votre corps. Dieu envoie Sa Parole et vous guérit.
Dieu a donné à chacun cinq sens naturels : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher. Ce sont des sens NATURELS, qui ont pour but de nous guider dans le monde naturel.
Mais Dieu a également mis dans le cœur de chaque homme une mesure de FOI.
Nos cinq sens sont naturels, mais notre foi est spirituelle, c’est-à-dire surnaturelle.
Au moyen de nos cinq sens, nous apprenons ; mais ils ne nous aident pas à connaître Dieu. Nous connaissons Dieu par le moyen de notre FOI. « Nous marchons par la FOI et non par la vue ».
Nos sens ne sont pas les facultés destinées à nous faire connaître Dieu et recevoir Ses bénédictions. Beaucoup prient, mais ne croient pas qu’ils ont reçu l’exaucement, à moins de le ressentir ou de le voir. Ils n’ont pas appris ce qu’est la foi.
Il existe trois attitudes différentes à l’égard de la Parole écrite de Dieu :
1. Certains « ADMETTENT » qu’elle est vraie. Ils regardent la Parole. Ils l’admirent et la lisent, apprennent des chapitres par cœur, et citent des versets. Ils aiment et respectent la Parole de Dieu.
Ils disent : « c’est vrai, mais pas dans mon cas. Je ne comprends pas pourquoi je n’arrive pas à recevoir les bénédictions promises ; mais je sais que la Parole est vraie. La Bible est un Livre merveilleux, et je l’aime ! » Mais ils ne vont jamais plus loin ; ils s’abstiennent d’AGIR SELON LA PAROLE.
2. D’autres « CROIENT » quand ils « RESSENTENT » quelque chose. On les entend dire : « Je n’ai jamais été guéri quand on a prié pour moi, mais j’ai reçu une grande bénédiction ». « Oh ! je suis sûr d’être en voie de guérison : je me SENS tellement mieux ». D’autres disent : « En priant, j’ai RESSENTI quelque chose, alors je crois que Dieu m’a entendu ». Ou encore : « Oh, j’ai prié si souvent, mais je n’ai jamais rien RESSENTI ». Ils ne croiront que s’ils voient ou ressentent quelque chose. Ceci n’est jamais la foi.
3. D’autres enfin CROIENT LA PAROLE DE DIEU ! ILS AGISSENT EN CONSEQUENCE. Ceux-là ont une foi réelle. Vous les entendrez affirmer :
« Si Dieu le dit, alors c’est VRAI ».
« Puisque la Parole de Dieu dit que ‘par Ses meurtrissures je suis guéri’, alors JE SUIS GUERI ».
« Puisque Dieu a promis de pourvoir à tous mes besoins, IL LE FERA ! »
« Puisque Dieu dit qu’il est le soutien de ma vie, IL L’EST ! »
ILS AGISSENT TOUJOURS EN CONSEQUENCE. On les entend dire :
« Dieu est ce qu’Il dit qu’Il est ! »
« Je suis ce que la Parole de Dieu dit que je suis ! »
« J’ai ce que Dieu déclare que je possède ! »
« Je peux faire ce que Dieu dit que je peux faire ! »
« Dieu fera ce que Sa Parole promet qu’Il fera ! »
ET ILS AGISSENT EN CONSEQUENCE, se confiant entièrement à l’intégrité de la Parole. Pour eux, Dieu « veille sur Sa Parole, pour l’exécuter », afin qu’aucune Parole ne reste sans effet.
L’ESPERANCE dit : « Un jour, je recevrai cette bénédiction ! »
L’APPROBATION dit : « C’est merveilleux. Je devrais l’avoir, mais je n’y arrive pas. Je ne comprends pas ! »
LES SENS disent : « Quand je le sentirai, quand je le verrai, alors je saurai que je l’ai reçu ! »
LA FOI dit : « Je l’ai maintenant ! c’est écrit ! c’est à moi ! Merci Seigneur ! »
La foi véritable s’appuie entièrement sur ce que dit la Parole.
La foi ne dépend pas de nos sens naturels. La foi est la rélité de ce que nos sens tiennent pour inexistant.
Nos sens sont continuellement en conflit avec notre foi.
Nos sens se révoltent contre la Parole de Dieu et lui font la guerre. Ils discutent et combattent, en déclarant : cela n’est pas, puisqu’on ne peut le sentir ni le voir.
Mais la foi affirme calmement : « C’est écrit ! La Parole de Dieu le déclare, donc c’est vrai ! »
Marcher par la foi, c’est donner à la Parole de Dieu la priorité sur nos sens.
Marcher par la vue, c’est donner à nos sens la priorité sur la Parole de Dieu.
La foi, c’est la voie de Dieu ; et elle est contraire à la voie de l’homme. Dieu dit : « Mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies ».
La voie de Dieu consiste à maintenir votre pensée vos oreilles, vos yeux et votre cœur attentifs aux déclarations de Sa Parole, pendant que Dieu en réalise l’accomplissement.
La voie de l’homme, au contraire, est de prêter attention à la maladie, d’écouter ceux qui recommandent la prudence, d’être attentif aux symptômes et d’avoir le cœur rempli de crainte et de découragement.
Cependant, afin que Sa Patole soit « la santé pour tout notre corps », Dieu nous ordonne d’accorder TOUTE notre attention à Sa Parole de la croire et d’en témoigner, même si les symptômes la contredisent.
La toute première demande de Dieu à l’homme naturel qui vient à Lui, c’est d’abandonner « ses pensées et ses voies ».
Dieu « appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient ». il déclare l’aveugle guéri, alors qu’il est toujours aveugle, et celui-ci recouvre la vue. Il déclare purs les lépreux, alors que la maladie est toujours apparente et, en s’en allant, ils sont guéris. Devant la tombe de Lazare, Jésus a prié : « Père, je Te rends grâces de ce que Tu m’as exaucé ». Il savait que Dieu avait entendu Sa prière pour la résurrection de Lazare, alors même que Lazare était toujours mort. La foi, c’est cela !
La foi, c’est croire que Dieu a déjà fait ce que nous Lui avons demandé, avant même d’en voir l’accomplissement. Nous croyons que c’est chose faite, non parce que nous le croyons, mais parce que la Parole de Dieu déclare que c’est fait. Ainsi, « nous appelons les choses qui ne sont pas comme si elles étaient ».
Jésus nous dit exactement comment prier et être exaucé. Ayant promis tout ce qu’il nous faut, Il ajoute : « Tout ce que vous demanderez en priant (pas après avoir prié vingt ans ; pas après la guérison, mais au cours de la maladie, en priant), croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir ». A mon avis, c’est un des passages les plus importants de la Bible concernant la prière et la foi. Notez bien : « EN PRIANT, CROYEZ QUE VOUS L’AVEZ RECU ».
J’ai appelé votre attention sur l’ordre à suivre dans la prière et la foi, parce que beaucoup de gens l’ont inversé. Ils prient : « Tout ce que vous demanderez en priant , quand vous le verrez et le sentirez, croyez que vous l’avez reçu ».
Ainsi raisonne l’homme naturel : « Voir, c’est croire ».
Mais Dieu renverse l’ordre naturel et déclare : « Croire, c’est voir ».
David a dit : « Je le crois, je verrai », il n’a pas dit : « J’ai dû voir, pour croire ». Et Dieu a dit à son sujet : « J’ai trouvé David, homme selon mon cœur, qui accomplira toutes mes volontés », prouvant ainsi que « sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu » ; mais, par la foi, nous pouvons obtenir de Dieu un témoignage favorable.
L’homme naturel s’insurge et proteste : « A moins de le ressentir, je n’y croira pas ». ce n’est pas la voie de Dieu, et cette attitude ne peut en aucun cas s’appuyer sur l’Ecriture Sainte. Thomas a dit : « Si je ne vois … je ne croirai pas », et son attitude n’a pas plu à Jésus.
Voici la voie de Dieu : « En priant, croyez que vous l’avez reçu, et VOUS LE VERREZ S’ACCOMPLIR ! » A une condition : de croire, en priant, qu’Il exauce votre prière.
Quand vous priez pour la guérison, Dieu vous autorise à considérer votre prière comme exaucée. Et c’est tout aussi vrai quand vous priez pour toute autre bénédiction promise par Dieu et acquise par Christ au Calvaire. (Lisez mon livre Comment avoir l’abondance et découvrez l’abondance des sept bénédictions rédemptrices de Dieu).
Apprenez à bien situer votre confiance (votre foi). L’homme la met après avoir vu ou ressenti l’exaucement ; Christ la pace avant.
Si la Parole de Dieu est votre SEULE raison de croire que votre prière est exaucée, vous avez vraiment la foi.
Dieu n’a promis de commencer à vous guérir qu’APRES que vous aurez cru qu’Il a entendu votre prière. Puisqu’il en est ainsi, croyez qu’Il entend votre prière au moment même où vous priez. « Nous savons que nous possédons ce que nous Lui avons demandé », non pas parce que nous voyons la réponse, mais parce que Dieu « est fidèle, et c’est Lui qui le fera ».
Dans tout cas de guérison, il existe trois témoins :
1. LA PAROLE, qui déclare : « Par Ses meurtrissures, vous êtes guéri ».
2. LA DOULEUR, qui maintient que la maladie n’est pas guérie.
3. LE MALADE, qui affirme : « Par Ses meurtrissures je suis guéri », alignant ainsi son témoignage sur la Parole de Dieu. Il refuse de renier son témoignage. Face à la douleur et aux symptômes, il affirme : « Je suis guéri, car Dieu le dit ! » Puis il se souvient du verset : « Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle ». il maintient qu’il est guéri, selon la Parole de Dieu, et cela s’accomplit par Lui. Dieu a dit : « Je ne violerai pas mon alliance, et je ne changerai pas ce qui est sorti de mes lèvres ». Il dit : « Ma Parole … ne retourne pas à moi sans effet ».
Quand vous avez prié pour la guérison, et que Satan vient vous dire que vous ne guérirez pas, répondez-lui : « C’est écrit. Je guérirai. Le Seigneur me relèvera ! » C’est votre confession de la Parole de Dieu qui vous assure la victoire sur l’ennemi.
Lorsqu’il a tenté Christ dans le désert, Satan n’a entendu que ces mots :’Il est écrit ; il est écrit ! » Résultat : « Alors le diable Le laissa ».
Pour résister au diable, pour le vaincre, Jésus-Christ a confessé la Parole écrite. Puisque Sa voie est la meilleure, suivons aussi Son exemple, sans essayer d’autre moyen. « Ne donnez pas accès au diable ». « Résistez au diable, et il fuira loin de vous ». « Ils l’ont vaincu (Satan) à cause du sang de l’Agneau et à cause de la Parole de leur témoignage ». Autrement dit, ils ont d’abord vaincu l’ennemi sur le terrain du Salut – parce que chacun était un enfant de Dieu, racheté par le sang de Christ – et ensuite, en confessant la PAROLE DE DIEU dans leur témoignage.
Une fois authentique en la Parole de Dieu, ne se borne pas à croire ce qu’elle voit ou ressent. La foi authentique est tellement convaincue des promesses de Dieu qu’elle les croit, malgré toutes preuves contraires.
Trop de gens se méprennent sur la nature de la foi, et pensent qu’il s’agit d’une vigoureuse gymnastique mentale ; qu’il faut des efforts frénétiques et un haut degré de concentration pour saisir les bénédictions de Dieu. Ils disent : « J’ai toute la foi du monde, mais, tant que je ne vois aucun changement, je ne crois pas que je suis guéri. A mon avis, si quelqu’un est guérit, il le sait ». Cette personne se méprend sur la nature de la foi.
La foi qui procure la guérison est identique à la foi qui procure le Salut. La Bible enseigne que le pécheur doit croire qu’il est sauvé ; il doit confesser hardiment son salut, sur la seule base des promesses de Dieu, avant même de ressentir la joie intérieure du pardon. La joie viendra, s’il croit et revendique par la foi le don du salut. Sur la seule autorité de la Parole de Dieu, il doit se croire sauvé. C’EST CELA LA FOI ! C’EST LE MOYEN QUE DIEU UTILISE POUR SAUVER LES ÂMES PERDUES ET C’EST AUSSI LE MOYEN QU’IL UTILISE POUR GUERIR LES CORPS MALADES ET ACCOMPLIR N’IMPORTE LAQUELLE DE SES PROMESSES REDEMPTRICES.
La Bible enseigne que les malades doivent se croire guéris, indépendamment de ce qu’ils ressentent ; ils doivent se croire guéris, sur la seule base de la promesse de Dieu. Ils doivent revendiquer la guérison par la foi, en témoigner hardiment, et la joie de la guérison viendra. Ils ne doivent pas douter, si les symptômes ne disparaissent pas sur le champ. Ils doivent s’en tenir fermement à la Parole de Dieu. Elle s’accomplira.
Cela est tout aussi vrai pour la guérison du corps que pour celle de l’âme. En fait, c’est le moyen que Dieu utilise pour réaliser l’accomplissement de toutes Ses promesses.
Apprendre à croire que Dieu entend vos prières et y répond, est une bénédiction bien supérieure à la guérison elle-même que pour d’autres. Ainsi, toute votre vie, vous connaîtrez la joie inexprimable de voir Dieu exaucer vos prières et accomplir Ses promesses en votre faveur.
CHAPITRE VINGT-QUATRE
TELLES PAROLES-TELLE FOI
SOUVENEZ-VOUS QUE VOTRE foi ne pourra jamais surpasser votre confession. C’est, quand nous les confessons que les promesses de dieu deviennent réelles et vivantes. Pour jouir de LA VIE CHRETIENNE, vous devez apprendre la valeur de la Parole de Dieu sur vos lèvres.
Vous ne pouvez gagner les bénédictions de Dieu si vos propres mots sont contraires à Sa Parole.
Vos paroles sont la mesure de votre foi. Elles expriment ce que vous croyez réellement.
Vous rendez-vous compte que des multitudes de gens échouent dans la vie parce qu’ils parlent défaite ? Ils ont peur de l’échec. Ils CROIENT VRAIMENT à l’insuccès.
Votre vie se nivellera toujours sur vos paroles.
C’est un des faits les plus simples de l’existence, mais bien peule mettent en pratique. C’est pourquoi peu de gens réussissent vraiment.
On s’habitue à parler échec, à penser échec – alors ON ECHOUE.
La Bible a BEAUCOUP à dire sur les mots que vous utilisez. Elle vous met en garde contre le négativisme et l’incroyance. Elle abonde en exemples percutants ce ceux qui parlent leur foi.
En parlant comme il faut, vous vous habituez à penser et agir comme il faut.
Ne vous y trompez pas : vous avez beau faire, vous ne pouvez jamais vous élever au-dessus de vos propres mots. En vous enlisant dans des paroles de défaite, crainte, échec, anxiété, maladie et incroyance, vous vivrez à leur niveau. Ni vous, ni un autre, si intelligent qu’il soit, ne vivra au-dessus des normes de votre conversation. C’est un principe inaltérable.
Si votre conversation est mal fondée, frivole, illogique et confuse, votre vie l’est invariablement aussi.
En public, par vos paroles, vous brossez le tableau de ce qui existe au plus profond de vous-même.
Jésus a dit : « C’est de l’abondance du cœur que la bouche parle ».
négatifs ou embrouillés, c’est que votre cœur l’est aussi.
Si vous parlez maladie, peur, anxiété et frustration, vous reflétez ainsi ce que vous croyez vraiment.
Si votre cœur et votre esprit sont emplis de la Parole de Dieu, cette Parole sortira de vos lèvres.
Votre confession, c’est votre foi réelle qui parle.
Il n’a a pas de croyance qui ne s’exprime par une confession.
Jésus vous a commandé non seulement de croire en Lui, mais aussi de LE CONFESSER DEVANT LES HOMMES.
VOUS AVEZ LE DROIT de dire ce que Dieu dit.
Si Dieu l’a dit dans Sa Parole, nous pouvez le confesser avec l’assurance que Dieu l’accomplira.
C’est ce que veut dire ce verset : « Car Dieu Lui-même a dit : Je ne te délaisserai pas, et je ne t’abandonnerai pas. » C’est donc avec assurance que nous pouvons dire : « Le Seigneur est mon aide … »
Notez bien : « *DIEU LUI-MÊME a dit … c’est donc avec assurance que NOUS pouvons dire ».
Parce qu’Il a dit : « Le Seigneur prend plaisir à la PROSPERITE de Ses serviteurs » et « L’homme qui craint l’Eternel a dans sa maison bien-être et richesse », nous pouvons dire avec assurance : « Oui, Seigneur, Tu prends plaisir à me bénir d’ABONDANCE. Tu es la Source de toute richesse et Tu la destines à mon foyer ».
Parce qu’Il a dit : « Je suis l’Eternel, qui te guérit », nous pouvons dire avec assurance : « Oui, Seigneur, c’est Toi qui me guéris ».
N’entretenez dans votre esprit aucune idée qui contredise ce que « Dieu a dit ». « Dites hardiment » et pensez les mêmes choses que Lui.
Au lieu de craindre la maladie ou la menace d’une infirmité, dites hardiment, « Le Seigneur me guérit ». Croyez-le. Lisez-le. Réfléchissez-y jusqu’à ce que votre cœur en déborde. Votre foi le confessera « hardiment ». Vous en êtes sûr. Dieu le confirme.
Parce qu’Il a dit : « C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris », nous pouvons hardiment dire : « Oui, Seigneur, par Tes meurtrissures je suis maintenant guéri ».
Méditez cela. Que votre cœur en déborde. Confessez-le hardiment. Agissez en conséquence. Puisque Dieu l’a dit, vous pouvez le dire avec assurance et Dieu l’accomplira.
Au sujet de Sa Parole, Dieu dit : « Moi, l’Eternel, je parlerai ; ce que je dirai s’accomplira … je prononcerai une Parole et je l’accomplirai ».
Comptez sur la validité de la Parole de Dieu. Si elle échouait, Dieu aurait échoué.
LA PAROLE, C’EST DIEU QUI PARLE. Elle révèle la pensée et la Volonté de Dieu. Elle vit. Elle reste à jamais. Elle ne passera pas. Elle fait partie de Dieu, Lui-même. Puisque Dieu ne peut échouer, Sa Parole ne le peut pas non plus.
Jésus a dit : « L’Ecriture ne peut être anéantie ».
Dieu a déclaré : « Ainsi en est-il de ma Parole, qui sort de ma bouche : Elle ne retourne pas à moi sans effet, sans avoir exécuté ma Volonté et accompli mes desseins ».
PUISQUE DIEU L’A DIT, nous pouvons le dire aussi avec la certitude de recevoir.
Parce qu’Il a dit : « Moi, je suis venu afin que (vous ayez) la vie, et que (vous l’ayez) en abondance », nous pouvons dire fermement : « Cette vie abondante demeure maintenant en moi, parce que j’ai reçu Jésus-Christ ».
Parce qu’il a dit : « Cherchez premièrement le royaume de Dieu et Sa justice, et toutes choses vous seront données par-dessus », nous pouvons dire positivement : « Christ me donne tout ce dont j’ai besoin dans cette vie, parce que je m’engage dans le TRAVAIL N°1 de Dieu – Gagner les âmes ».
Parce qu’Il a dit : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » nous pouvons dire avec confiance : « Dieu est pour moi et personne ne réussira contre moi ».
Parce qu’Il a dit : « Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme », nous pouvons dire résolument : « J’ai droit à la prospérité et à la santé, puisque mon âme prospère ».
Parce qu’Il a dit : « Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis on Dieu », nous pouvons dire sûrement : « Je n’ai plus peur maintenant que Dieu est toujours avec moi ».
Parce qu’Il a dit : « L’Eternel ordonnera à la bénédiction … dans toutes les entreprises … » et « (Il) te comblera de biens », nous pouvons dire fortement : « Dieu bénit ce que je fais et je réussirai et prospèrerai dans toutes mes entreprises, car Dieu ne peut pas manquer à Sa Parole ».
Parce qu’Il a dit : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira », nous pouvons dire catégoriquement : « Je suis libéré car je connais Sa vérité bénie ».
Parce qu’Il a dit : « Que le faible dise : Je suis fort ! », nous pouvons dire sans crainte : « Je puis tout par Celui qui me fortifie ».
Parce qu’Il a dit : « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon Sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ », nous pouvons dire en toute sûreté : « Dieu donnait tous mes besoins et maintenant il y pourvoit jusqu’à concurrence de Sa richesse en Jésus-Christ ».
Parce qu’Il a dit : « Résistez au diable, et il fuira loin de vous », nous pouvons dire solidement : « Le diable fuit loin de moi, car je lui résiste fermement au Nom de Jésus ».
Parce qu’Il a dit : « Il a pris nos infirmités, et Il s’est chargé de nos maladies », nous pouvons dire sans peur : « Je suis exempt de faiblesse et de maladie parce que Jésus s’en est chargé pour moi ».
Parce qu’Il a dit : « Quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant Mon Père », nous pouvons dire hardiment : « Jésus me confesse en cet instant devant le Père, parce que je Le confesse devant les hommes ».
Parce qu’il a dit : « Celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par Son Esprit qui habite en vous », nous pouvons dire en toute confiance : « Dieu rend maintenant de la vie à mon corps mortel par le même Esprit qui a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, parce que Son Esprit habite en moi ; ainsi, je suis exempt de faiblesse et de maladie ».
Parce qu’Il a dit : « Ceux qui cherchent l’Eternel ne sont privés d’aucun bien », nous pouvons dire en toute assurance : « Dieu ne me permettra pas de manquer de quoi que ce soit. Il pourvoira à tous mes besoins, car je Le cherche de tout mon cœur ».
Parce qu’Il a dit : « Ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse », nous pouvons dire sans réserve : « Je suis libre de toute peur, car mon Dieu m’a donné force, amour et sagesse ».
Parce qu’Il a dit : « Donnez, et il vous sera donné … une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde », nous pouvons dire franchement : « Dieu me comble de bénédictions, car je donne à Lui et à Son œuvre ».
Parce qu’Il a dit : « Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris », nous pouvons dire sans condition, quand nous imposons les mains aux malades : « Ils guérissent puisque j’agis selon Sa Parole ».
Parce qu’il a dit : « En mon Nom, ils chasseront les démons », nous pouvons dire ouvertement : « Les démons s’en vont parce que je les ai chassés au Nom de Jésus ».
Parce qu’Il a dit : « Quand l’ennemi viendra comme un fléau, l’esprit de l’Eternel lèvera un étendard contre lui », nous pouvons dire intrépidement : « L’Esprit de Dieu lève un étendard pour me défendre à l’instant même où l’ennemi cherche à m’accabler. Gloire à Dieu, mon cas est entre Ses mains ».
Parce qu’Il a dit : « Ton Dieu que tu sers continuellement, Lui, te sauvera », nous pouvons dire sincèrement : » Dieu est mon Libérateur, en toutes choses, puisque je le sers constamment ».
Parce qu’Il a dit : « Béni soit le Seigneur, qui, de jour en jour, nous comble de Ses dons », nous pouvons dire en toute franchise : « Je Te loue, Seigneur, parce que Tu remplis ma vie de Ton abondance de bénédictions et de bonnes choses ».
Parce qu’Il a dit : « L’Eternel est près de tous ceux qui l’invoquent … en vérité », nous pouvons dire assurément : « Le Seigneur est près de moi maintenant, parce que je L’invoque ».
Parce qu’Il a dit : « L’Eternel combattra pour vous, et vous, vous demeurerez tranquilles », nous pouvons dire calmement : « Je sais que Dieu combat pour moi parce que je ne m’inquiète pas … ma bataille est entre Ses mains ».
Parce qu’Il a dit : « Je puis tout par Celui qui me fortifie », nous pouvons dire incontestablement : « Rien n’est impossible pour le Seigneur et moi, parce qu’Il vit en moi et c’est Lui qui fait le travail – maintenant même ».
Parce qu’Il a dit : « Vous servirez l’Eternel, votre Dieu, et Il bénira votre pain et vos eaux, et j’éloignerai la maladie du milieu de toi », nous pouvons dire infailliblement : « La maladie est éloignée de moi ; mon pain et mon eau sont bénis, car je sers le Seigneur, mon Dieu ».
Parce qu’Il a dit : « Avant qu’ils m’invoquent, je répondrai ; avant qu’ils aient cessé de parler, j’exaucerai », nous pouvons dire avec foi : « Le Seigneur exauce ma prière à l’instant même ; en effet, Il préparait déjà l’exaucement avant ma prière ».
Parce qu’Il a dit : « Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés », nous pouvons dire sans équivoque : « Je suis vainqueur, je suis gagnant, parce que Christ qui m’a aimé est maintenant en moi et aucun mal ne peut vaincre Celui qui vit en moi ».
Parce qu’Il a dit : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement », nous pouvons dire sans aucun doute : « Le Seigneur fera autant pour moi aujourd’hui que pour n’importe qui, car Il n’a jamais changé ».
Parce qu’Il a dit : « Va, qu’il te soit fait selon ta foi », nous pouvons dire sans hésiter : « Je peux aller de l’avant ; j’ai prié, j’ai cru ; l’exaucement viendra comme je m’y attends ».
Parce qu’Il a dit : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ », nous pouvons dire, triomphants : « Je suis à jamais libéré de toute culpabilité et toute condamnation devant Dieu, parce que je vie maintenant en Christ Jésus ».
FAITES de la Parole de Dieu la mesure de votre vie. Entrainez-vous à dire ce qu’Il dit. Plus tôt que vous ne l’imaginez, votre vie se mettra au diapason de Sa Parole qui est dans votre cœur et sur vos lèvres.
Dieu est dans Sa Parole. Quand vous la confessez, Il l’accomplit. Vous devenez maître de toute circonstance, parce que Dieu est dans votre camp. Vous vous alignez sur Sa Parole. Dieu prend votre parti, pour confirmer Sa Parole, et votre ennemi est vaincu.
Parce qu’Il a dit : « Je ne te délaisserai pas, et je ne t’abandonnerai pas » … c’est donc avec assurance que nous pouvons dire : « Le Seigneur est mon aide ». Car « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? »
Parce qu’Il a dit, nous savons pouvoir l’affirmer avec assurance. Toutes Ses promesses s’accompliront car « De toutes Ses Bonnes Paroles … aucune n’est restée sans effet ».
PARTIE VII
L’ACTION
LE SEPTIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI RENDRE GLOIRE POUR L’EXAUCEMENT DE VOTRE PRIERE ET D’AGIR SELON SA PROMESSE
CHAPITRE VINGT-CINQ
LA PREUVE D’UNE FOI VICTORIEUSE
LE SEPTIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI RENDRE GLOIRE POUR L’EXAUCEMENT DE VOTRE PRIERE ET D’AGIR SELON SA PROMESSE
SI VOUS CROYEZ que Dieu a exaucé votre prière et que vous « AVEZ RECU » la guérison demandée, vous voudrez automatiquement : 1) L’en remercier, et 2) utiliser votre santé en la mettant en ACTION.
Abraham « donna gloire à Dieu » pour l’accomplissement de la promesse divine, bien avant que la réponse se manifeste. Il donna gloire à Dieu parce qu’il était « fortifié par la foi » et « croyait » qu’il en serait « selon ce qui lui avait été dit » ; car « ce que Dieu promet, Il peut aussi l’accomplir ». donc, il pouvait LOUER DIEU pour l’exaucement, avant même de voir et de ressentir les effets. Il croyait la Parole de Dieu.
Dans le ventre d’un grand poisson, Jonas s’engagea à offrir des sacrifices « avec un cri d’actions de grâces », avant même que le poisson ne l’ait rejeté sur le rivage.
Josué et son peuple crièrent leurs louanges au Seigneur qui leur avait livré la ville de Jéricho, alors que les murs se dressaient toujours devant eux. Ils croyaient la promesse de Dieu et ils Le bénissaient ; mettant leur foi en action, ils ont défilé autour de la ville. Ils ont loué Dieu et fait le tour de la ville, et finalement les murailles s’écroulèrent et ils remportèrent la victoire.
Dieu vous promet la guérison, et vous avez prié pour l’obtenir. Si vous ne bénissiez pas Dieu pour cette guérison, cela prouverait de deux choses l’une : soit vous ne croyez pas « avoir reçu », soit vous n’êtes pas reconnaissant envers Dieu.
David s’écrie : « Que tout ce qui respire loue l’Eternel ! »
« Par Lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire, le fruit de lèvres qui confessent Son Nom ».
La foi authentique ne se contente pas de louer Dieu pour l’exaucement, mais elle s’accompagne toujours d’actions correspondantes. Jacques nous dit : « Par mes actes, je te montrerai ma foi ». La foi véritable, c’est être convaincu de la validité des promesses de Dieu, à tel point qu’on Le loue pour l’exaucement et qu’on agit en conséquence, AVANT même de les voir s’accomplir. C’est alors que Dieu agit pour les réaliser.
Après avoir accompli les six premiers pas de la foi pour recevoir du Christ la guérison, il faut aller plus loin. Quand vous priez pour la guérison, vous devez croire qu’Il vous entend et que vous avez reçu l’exaucement … au point de glorifier le Seigneur pour la réponse et d’agir sur la Parole de Sa promesse. Sans cela, votre foi ne vous servira à rien.
Le second chapitre de l’Epître de Jacques se rapporte presque exclusivement à ce secret essentiel de la foi : AGIR SUR LA PAROLE DE DIEU.
« Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres (les actions correspondantes) ? La foi peut-elle le sauver ? »
« Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l’un d’entre vous leur dise : allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il ? IL EN EST AINSI DE LA FOI : si elle n’a pas les œuvres, elle est morte, en elle-même ». Jacques compare ici la foi à l’amour. Il dit qu’aimer en paroles n’a aucune valeur, si des actes d’amour n’accompagnent pas nos paroles. « AINSI … LA FOI » en paroles est sans valeur si des actes de foi n’accompagnent pas nos paroles.
A New York, une femme, condamnée par les médecins du sanatorium, était rentrée chez elle pour y mourir de tuberculose. Un après-midi, elle lisait la Bible. C’était une excellente chrétienne, mais on ne lui avait pas enseigné la vérité de la guérison divine.
Soudain, elle lit : « Lui, qui a porté Lui-même nos péchés en Son corps sur le bois ».
Elle se mit à pleurer de reconnaissance, parce que Christ s’était déjà chargé de ses péchés. Elle savait qu’elle était prête à mourir. Elle n’avait pas peur, car la Bible disait que Christ s’était déjà chargé de ses péchés.
Tout en se réjouissant de ces Paroles, elle continua sa lecture « … Lui par les meurtrissures duquel vous AVEZ ETE guéris ».
Elle relut la première partie du verset : « C’était au passé : Christ avait déjà porté ses péchés, donc elle était sauvée. Elle le savait. Personne ne pourrait l’en faire douter. Mais, alors, la deuxième partie du même verset : Par les meurtrissures duquel VOUS AVEZ ETE guéri » … ? Se pourrait-il que ce soit aussi littéralement vrai que la phrase qui parlait de ses péchés ? « Oui », pensa-t-elle, « cela DOIT être vrai. C’est la Parole de Dieu ! »
« Maman », s’écria-t-elle, « savais-tu que la Parole de Dieu déclare que je suis guérie ? »
« Mais, ma chérie, que veux-tu dire ? » demanda la mère.
« Regarde donc « , répondit sa fille, le visage ruisselant de larmes. « Ecoute. La Bible dit : « Par les meurtrissures duquel VOUS AVEZ ETE guéris. Maman, c’est chose faite. Je suis guérie. Donne-moi mes vêtements. Je dois me lever ».
La mère essaya en vain de clamer sa fille. Mais celle-ci insistait : « Tu nous as toujours appris à croire toute la Parole de Dieu ? Puisque cette Bible est la Parole de Dieu, c’est la vérité. Donc, je suis guérie, parce que Dieu ne ment pas ! »
Elle se leva, s’habilla et commença à louer le Seigneur, tout en allant et venant à travers la maison ; elle fut complétement guérie. En moins de trois semaines, elle avait retrouvé son poids normal et la radiographie montrait des poumons parfaitement sains.
Que s’était-il passé ? Elle avait cru suffisamment à la Parole de Dieu pour agir en conséquence. Ses actions avaient prouvé sa foi. Elle aurait pu rester au lit et mourir de tuberculose, faute de se lever par la foi en agissant selon la Parole pour revendiquer ce que Dieu avait déclaré lui appartenir.
Des milliers de braves gens meurent prématurément, proclamant sans cesse leur foi en la Parole de Dieu. Mais leur foi ne s’accompagne jamais d’actions correspondantes. Jacques dit : « La foi … à elle seule, si elle ne se manifeste pas par des actes, elle est morte ».
Ils disent croire à la véracité de la Parole de Dieu, mais leurs actions démentent leurs paroles. Ils restent alités et parlent de leur foi, mais craignent cependant de se lever par la foi, d’agir sur la Parole de Dieu, et de revendiquer leur guérison. Leur foi peut être grande, mais elle est morte et ne leur sert donc à rien. Ils n’AGISSENT pas.
Jacques dit, en substance : « Essayez de me convaincre de votre foi, alors que vous n’agissez jamais en conséquence ; moi je vous demanderai d’observer mes ACTES pour voir ma foi ».
Le Révérend Byrum, célèbre professeur d’études bibliques de la fin du XIXe siècle, nous relate un incident de sa vie :
« Peu après que le Seigneur m’eut appelé à travailler pour Lui, j’ai appris une leçon très précieuse sur la foi. Beaucoup de gens étaient tombés malades dans notre ville, et trois membres de notre famille avaient été frappés par la fièvre. J’ai senti la maladie s’emparer de moi et me terrasser. Dans mon lit, avec une forte fièvre et de terribles douleurs, je me suis approché du Seigneur dans une étroite communion, et Lui ai rappelé qu’Il m’avait appelé à un ministère dont j’étais incapable, en vue de ma condition actuelle.
« Ne pouvant appeler aucun ancien qui crût à la guérison divine, je me mis à faire appel au Seigneur, en citant Ses merveilleuses promesses, au nombre desquelles : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé ».
« J’examinai ma consécration et demandai à Dieu de me sonder Lui-même. J’étais prêt à tout faire pour Lui, et je m’écriai : « Seigneur, je demeure en Toi, et Tes paroles demeurent en moi, donc cette promesse est pour moi. Je remets mon cas entre Tes mains et je T’en prie de tout cœur, GUERIS-MOI ! »
« Puis j’attendis que l’œuvre se fit, mais nul changement ne se produisit. Finalement, je dis : « Seigneur, pourquoi ne suis-je pas guérit ? »
« La réponse fut immédiate : « PRENDS-MOI AU MOT ET LEVE-TOI ».
« Je criai : « Amen, Seigneur, je le fais ». Et sans une seconde d’hésitation, je me levai. Il me semblait que ma tête allait éclater de douleur ; mais, malgré ma faiblesse, j’ai commencé à m’habiller.
« J’étais à moitié vêtu quand j’ai ressenti une légère amélioration. Je suis tombé à genoux et j’ai remercié le Seigneur. Une fois habillé, j’ai continué de rendre grâces à Dieu. Me sentant beaucoup mieux, je suis allé dans la pièce voisine déclarer que le Seigneur m’avait guéri. En vingt minutes, toute fièvre avait quitté mon corps. Immédiatement, je me suis au travail, et dès cet instant je me suis bien porté.
« J’en suis persuadé : si j’étais resté couché, refusant d’agir hardiment sur la Parole de Dieu par la foi, j’aurais dû subir le long siège de cette maladie. A Dieu soit toute la gloire. Cela m’a appris une leçon très utile : faire confiance à Dieu et à Sa Parole. J’ai découvert une chose : quand on AGIT selon sa foi, malgré tous les symptômes contraires, Dieu accomplira toujours Sa Parole ».
Jacques dit : « Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les œuvres est morte ».
Tout au long de la Bible, les hommes de foi ont aussi été des hommes d’action. Ceux qui ont cru la Parole de Dieu sont ceux qui ont agi sur cette Parole.
Jésus a dit au paralytique : « Lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison ». L’homme n’a pas raisonné : « Mais, Seigneur, je suis paralysé ». Il a cru la Parole de Jésus et a mis sa foi en action. SON ACTION A PROUVE SA FOI.
« A l’instant, il se leva, prit son lit, et sortit en présence de tout le monde ».
Jésus a ordonné à l’homme à la main sèche : « Etends ta main ». Ce dernier n’a pas expliqué que, sa main étant paralysée, ce geste lui était impossible. Il avait assez de foi en la Parole de Jésus pour agir en conséquence. « Il l’étendit, et sa main fut guérie ».
Jésus a rencontré un infirme. Il lui a dit : « Lève-toi, prends ton lit et marche ». L’homme a cru Sa Parole. Il a aussitôt mis sa foi en action, et il a été guéri.
A la maison de Pierre, sa belle-mère était couchée, ayant la fièvre. Luc nous dit que Jésus a chassé la fièvre. Marc nous dit : « Il la fit lever en la prenant par la main, et à l’instant la fièvre la quitta ». Voilà un parfait exemple de FOI EN ACTION : 1) Il chassa la fièvre ; 2) il la fit lever et agir selon sa foi ; 3) la fièvre la quitta.
Dans le livre des Actes des Apôtres, Pierre commande à un infirme : « Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche ». L’infirme agit selon la parole de Pierre, prononcée au Nom de Jésus, et il est instantanément guéri.
Pierre a également dit à un homme paralysé depuis huit ans : « Enée, Jésus-Christ te guérit : lève-toi, et arrange ton lit … Et aussitôt il se leva ».
Nous agissons sur la parole de notre facteur. Il nous dit qu’un paquet recommandé nous attend au bureau de poste. Nous le croyons et nous allons réclamer ce paquet, avant même de l’avoir vu.
Nous agissons sur la parole du médecin. Il dit de prendre trois comprimés par jour. Nous le croyons et nous prenons les comprimés, avant de ressentir une amélioration quelconque.
Nous agissons sur la parole de notre banquier. Il nous avise qu’une somme d’argent a été versée par un ami à notre compte. Nous le croyons et nous tirons des chèques sur cet argent, bien que nous ne l’ayons encore jamais vu.
Nous agissons sur la Parole de notre Père céleste. Il nous dit : « Je suis l’Eternel qui te guérit », « par Ses meurtrissures vous êtes guéris », etc. Nous Le croyons. Nous nous approchons de Lui en prière pour revendiquer la guérison. Nous croyons qu’Il entend notre prière. Nous sortons de notre lit de maladie, et nous rendons gloire à Dieu pour la réponse, avant même d’en ressentir les résultats. NOUS AGISSONS SUR SA PAROLE, ET DIEU LA CONFIRME.
« Je veille sur ma Parole pour l’exécuter ».
« De toutes les bonnes paroles qu’Il avait prononcées … aucune n’est restée sans effet ».
« Tout ce que Dieu avait promis est devenu réalité en Lui ».
« Le ciel et la terre passeront, mais mes Paroles ne passeront pas ».
Aux jours de la Bible, les hommes de foi agissaient selon la Parole « orale » de Dieu ; aujourd’hui, nous agissons selon la Parole « écrite » de Dieu.
Dieu dit : « Moi, l’Eternel, je parlerai ; ce que je dirai s’accomplira … je prononcerai une parole et je l’accomplirai, dit le Seigneur, l’Eternel ».
Daniel a dit : « (Dieu) a accompli les paroles qu’Il avait prononcées ».
Pierre a dit : « La promesse est ASSUREE à toute la postérité », et « ce que Dieu promet, Il peut aussi l’accomplir ».
L’ange a dit : « Aucune Parole de Dieu n’est dénuée de puissance ».
Croyez la Parole de Dieu aujourd’hui même. Agissez sur Sa Parole à cette heure même.
Ce livre vous a apporté une lumière nouvelle. Marchez désormais dans cette lumière.
Votre foi a été édifiée. Ajoutez maintenant l’ACTION à la foi.
Vous êtes au courant des promesses de Dieu ; alors AGISSEZ sur ces promesses.
Imaginez un homme, pieds et poings liés, au fond d’un cachot. Il a demandé un recours en grâce. Le directeur de la prison lui apporte la preuve écrite que sa grâce lui est pleinement accordée. La réaction normale de cet homme n’est-elle pas 1) d’être reconnaissant, et 2) de quitter la prison le plus vite possible, maintenant qu’il est légalement libre ?
Or, supposons que le directeur lui lise le document, fasse enlever ses liens, ouvre tout grand la porte de la prison, et dise : « Vous êtes libre, aller en paix ».
Mais l’homme répond : « Je sais que le document dit que je suis grâcié, et j’en crois chaque parole, mais je suis toujours en prison ».
« Les portes sont ouvertes, sortez ! » insiste le geôlier.
« Je sais que les portes sont ouvertes et que, si j’étais dehors, je serais libre ; mais je ne suis pas dehors ».
« Eh bien, sortez ! » crie le geôlier, « ne croyez-vous pas que la grâce soit réelle ? »
« Oh, si, j’en crois chaque parole, mais il me semble que je n’en sortirai jamais ».
La grâce n’aurait aucune valeur pour un tel homme, parce qu’IL NE VEUT PAS AGIR EN CONSEQUENCE.
De la même manière, les promesses de guérison ne profiteront pas à ceux qui refusent d’agir selon ces promesses.
Peu importe combien vous priez, mendiez, pleurez, et même jeûnez ; si vous n’AGISSEZ PAS SUR LA PAROLE DE DIEU, votre foi est morte et ne vous sert à rien.
Peu importe combien de personnes prient avec foi pour vous, votre propre incrédulité rend leurs prières inefficaces si vous n’AGISSEZ PAS SUR LA PAROLE DE DIEU.
Votre refus d’agir sur Sa Parole n’est en réalité que votre refus d’accepter l’exaucement. Quand vous n’agissez pas selon Ses promesses, cela indique que vous ne croyez pas « AVOIR RECU ». Et Dieu promet qu’Il commencera à vous guérir après que vous aurez cru « avoir reçu » l’exaucement.
Même si vous guérissiez, la maladie reviendrait probablement, si vous n’appreniez pas le secret d’agir sur la Parole de Dieu.
C’est en agissant sur la promesse de DIEU que VOUS PROUVEZ VOTRE FOI.
Beaucoup de ceux qui prétendent avoir toute la foi du monde prouvent exactement le contraire par leurs ACTIONS. Ils diront, par exemple : « Oh, oui, j’ai toute la foi du monde ! J’ai toujours cru la Bible ! Mais, c’est curieux, je n’arrive pas à être guéri. J’essaie sans cesse de croire, mais je n’aboutis à rien ». Ils demeurent au lit, ou continuent de se servir d’appareils orthopédiques.
Ce genre d’homme ne tient pas compte des paroles de Dieu : « Par Ses meurtrissures, NOUS SOMMES GUERIS ». Il refus e de croire qu’Il a été guéri lorsque Christ a subi les meurtrissures par lesquelles nous avons été guéris. Il admet, dans sa tête, que la Parole de Dieu est vraie, mais il n’y a jamais cru dans son cœur, et il n’a jamais AGISUR LA PAROLE DE DIEU. La foi s’exprime toujours mieux en ACTIONS qu’en PAROLES. Dans l’Evangile selon Saint Marc, quatre hommes sont venus portant leur ami paralysé, et l’ont fait descendre à travers une ouverture pratiquée dans le toit. Jésus, « VOYANT LEUR FOI » - non pas les entendant se vanter de la grande foi qu’ils possédaient, mais VOYANT leurs ACTIONS.
Ne parlez pas de votre foi, ne vous en vantez pas. Si vous avez la foi, parfait ! « Sans la foi il est impossible de Lui être agréable » ; mais n’en parlez pas à tout bout de champ. FAITES AGIR VOTRE FOI. CROIRE, c’est cela !
Puisque Dieu dit : « Je suis l’Eternel qui TE guérit » et « … qui guérit toutes TES maladies », AGISSEZ EN CONSEQUENCE, et permettez à Dieu d’en faire une réalité. Ne restez pas au lit, à vous vanter de votre foi tout en vous plaignant de votre douleur. Levez-vous et prenez Dieu au mot ! AGISSEZ SELON VOTRE FOI, et Dieu réalisera Sa Parole en votre faveur.
A mesure que vous AGISSEZ SUR LA PAROLE, votre foi se fortifie, lorsque vous permettez à la Parole de vivre en vous, comme elle vivait en Jésus. Vous devenez ainsi un de ceux qui METTENT LA PAROLE EN PRATIQUE – au lieu de se borner à en parler. Dieu est aussi proche de vous que de tout autre être humain, et Il vous exauce tout aussi rapidement. Dieu est VOTRE Dieu. La PAROLE est à VOUS. Christ, le Divin Médecin est à vous !
Puisque Dieu dit : « Je suis l’Eternel qui TE GUERIT », et que vous le croyez, vous AGIREZ EN CONSEQUENCE. Alors, celui qui est alité se lèvera par la foi et sera guéri. Le boiteux sautera comme un cerf. Le muet se mettra à chanter. Les oreilles sourdes s’ouvriront. Les douleurs s’envoleront. L’obscurité sera bannie, et vous commencerez à FAIRE les choses mêmes que vous ne pouviez PAS FAIRE avant de prendre Dieu AU MOT, D’AGIR SELON SA PAROLE, et d’être guéri.
Dieu créera en votre corps ce dont vous avez besoin pour être sain et fort. La faiblesse se transformera en force, la mort en vie, la maladie en santé, et l’impossible deviendra possible.
Pendant une de nos campagnes, la foule se massait autour des murs de la salle dès trois heures de l’après-midi, attendant l’ouverture des portes à 18 h 30. Une pauvre femme était venue de très loin, portant sur son dos son mari qui était paralysé des suites d’une congestion cérébrale. A son arrivée, le portail extérieur était fermé. Voyant des centaines de gens escalader le mur pour pénétrer dans la cour, elle a hissé son mari par-dessus le mur avec elle ; puis elle l’a relevé et est venue le déposer devant moi afin que je prie pour lui. C’était la foi en action. Bien entendu, cet homme a quitté la salle en marchant, guéri par la puissance de Dieu ! LA FOI EN ACTION TRIOMPHE TOUJOURS.
Ne craignez jamais de CROIRE DIEU et D’AGIR SUR SA PAROLE. Rappelez-vous ce que Jésus a dit au père de la jeune fille, quand des sceptiques lui disaient qu’elle était morte : « Ne crains pas, CROIS seulement ». Il a dit : « ce qui est IMPOSSIBLE aux hommes est POSSIBLE à Dieu ».
CHAPITRE VINGT-SIX
PROCLAMEZ VOTRE LIBERTE
NOUS VOUS AVONS INDIQUE SEPT PAS A SUIVRE POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE.
1. Sachez que l’ère des miracles n’est pas terminée et que la guérison physique fait partie du ministère de Christ aujourd’hui.
2. Connaissez les promesses de guérison faites par Dieu dans l’Ecriture Sainte, et soyez fermement convaincu qu’elles s’adressent à VOUS personnellement.
3. Comprenez que Dieu vous ceut en bonne santé, que seul Satan veut vous voir souffrir.
4. Comprenez que la guérison divine fait partie du salut.
5. Demandez à Dieu de vous guérir conformément à Ses promesses, et croyez qu’Il entend votre prière.
6. Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé.
7. Louez Dieu pour l’exaucement de votre prière et agissez selon Sa promesse.
Ces mêmes pas de la foi entraîneront la réalisation de toutes les promesses que Dieu a faites à Ses enfants. Suivez consciencieusement ces sept pas de la foi, et Dieu manifestera dans votre vie chacune des bénédictions acquises par la Croix de Christ. (Demandez mon livre « Comment avoir l’abondance » et découvrez la septuple Alliance de bénédictions de Dieu, pour les sept nécessités de base de l’humanité).
Nous pourrions, en fait, résumer le chemin de la foi à trois pas essentiels :
1. SAVOIR ce que Dieu a promis.
2. Lui DEMANDER de faire ce qu’Il a promis.
3. AGIR comme si c’était chose faite.
Voilà les trois pas nécessaires pour recevoir tout ce que Dieu a promis, ou toute bénédiction acquise par Christ.
La CONNAISSANCE de la promesse d’abord ; la PRIERE ensuite ; finalement, l’ACTION, accompagnée de louanges.
Quand vous savez clairement ce que Dieu vous a promis, et que vous Lui avez demandé de l’accomplir, Dieu s’attend alors à ce que vous commenciez à faire, par la foi, les choses que vous ne pouviez pas faire sans Son aide. Vos actions et vos louanges prouvent la réalité de votre foi, et Dieu confirme Sa Parole et accomplit Sa promesse.
Faites agir votre foi. Agissez sur Sa Parole. Commencez à faire ce que vous ne pouviez pas faire avant de Lui demander la guérison. Il confirmera Sa promesse.
Dominez vos doutes et vos craintes. Par vos actes, prouvez votre foi. Revendiquez votre liberté de cette prison de Satan qu’est la maladie. La Bible, et les promesses qu’elle contient, sont la garantie de Dieu pour vous libérer du péché et de la maladie. Sortez de cet esclavage en proclamant les promesses de Dieu comme fondement de votre liberté.
Il y a longtemps que vous reconnaissez la vérité de la Parole de Dieu, mais vous n’avez jamais agi en conséquence. Vous aviez la foi, mais ne l’avez jamais mise en action. Vous avez emprisonné votre foi. Elle sommeille depuis longtemps, parce que vous avez refusé d’AGIR sur la Parole de Dieu.
Eh bien, maintenant, vous pouvez être libre. Faites appel au Seigneur. Confessez Sa promesse. Demandez-Lui de l’accomplir. Croyez qu’Il vous écoute. Par la foi, revendiquez votre guérison, et commencez à FAIRE les choses que vous ne pouviez faire sans Son aide. Vos douleurs disparaîtront, et votre faiblesse deviendra votre force. La lumière viendra dans vos yeux aveugles. Les sons pénètreront dans vos oreilles sourdes. La vie coulera à flots dans vos membres paralysés. Dieu accomplira Sa Parole pour vous.
Une nuit, les disciples de Christ ont travaillé avec leurs filets pour attraper quelques poissons. C’était leur métier, mais ils n’avaient RIEN pris. Jésus est venu et leur a dit : « Avancez en pleine eau, et JETEZ VOS FILETS POUR PECHER. » Simon répondit : « Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans RIEN prendre ; mais, SUR TA PAROLE, je jetterai le filet ». Réfléchissez-y : « SUR TA PAROLE, JE JETTERAI le filet ».
Pierre n’a pas essayé de démontrer que les paroles du Maître étaient déraisonnables. Il n’a pas tenté de lui expliquer que le cas était sans espoir, qu’il connaissait suffisamment ce lac pour savoir que les poissons ne venaient jamais à cet endroit et que, s’il y en avait eu, il était assez habile pour les attraper.
Voici peut-être des années que vous êtes malade. Beaucoup ont prié pour votre guérison. Les médecins ont hoché la tête en désespoir de cause. Ils vous ont peut-être avoué que seule une puissance suprême pouvait vous aider. Vous avez cherché la guérison maintes et maintes fois, mais en vain semble-t-il. Cependant, mon ami, la Parole continue à déclarer : « Par meurtrissures nous sommes guéris ».
Reprenez courage. Cette fois-ci affirmez : « SUR TA PAROLE, JE VAIS ESSYER DE NOUVEAU » ; « SUR TA PAROLE, JE SERAI complètement guéri ». La PAROLE de Dieu doit s’accomplir pour vous. Croyez ceci de tout cœur et, SUR SA PAROLE, faites agir votre foi.
Au père de l’enfant démoniaque, Jésus a dit : « CROIS SEULEMENT », car « tout est possible à celui qui croit ». Si SEULEMENT vous croyez, VOUS serez délivré et guéri maintenant même, là où vous êtes.
Repoussez l’ennemi qui trouble votre santé. Revendiquez votre guérison.
Priez ainsi :
Père céleste, merci de m’avoir fait connaître ces vérités. Je Te remercie, parce que Christ a porté mes maladies et mes faiblesses à ma place. Puisque Jésus s’en est chargé pour moi, je n’ai plus à les porter et je T’en remercie. Je suis heureux de connaître la vérité, à savoir que Satan est responsable de ma maladie et que ce n’est pas Toi qui m’en infliges. Toi, Tu veux que je sois fort et en bonne santé, afin de pouvoir Te glorifier et Te servir. Merci de m’avoir enseigné que j’ai légalement droit et autorité sur les démons.
Maintenant, Père, je viens à Toi conformément à Ta Parole. Je m’attends à ce que Tu accomplisses la promesse que Tu m’as faite : « Je suis l’Eternel qui te guérit ». Je Te demande de le faire maintenant même, au Nom de Jésus, et selon Ta Parole.
Je repousse l’ennemi qui cause ma souffrance. Au Nom de Jésus-Christ, j’ordonne à la vie de cette maladie de partir, et que tous les symptômes soient détruits par la puissance de mon Seigneur.
Père, je Te remercie d’avoir entendu ma prière et de m’avoir exaucé MAINTENANT. Je proclame MAINTENANT ma guérison, conformément à Ta promesse. Je Te remercie d’avoir détruit la racine de cette maladie ; comme Jésus l’a promis. JE GUERIRAI. Au Nom de Jésus, j’ai prié, et je sais que Tu as entendu et exaucé ma requête. Amen !
Maintenant que vous avez prié et condamné votre maladie, au Nom de Jésus, soyez assuré que Dieu a entendu et exaucé votre requête. « Retenons fermement la profession de notre espérance, car Celui qui a fait la promesse est fidèle ».
Que le diable n’entende de vos lèvres rien d’autre que la confession de la Parole de Dieu. Si Satan vous murmure que Dieu n’a pas entendu votre prière, ou qu’Il ne l’a pas exaucée, « résistez-lui avec une foi ferme, et il fuira loin de vous », Satan est un menteur. La Parole de Dieu est vraie. Dieu veille sur Sa Parole pour l’exécuter en votre faveur. Commencez à faire les choses que vous ne pouviez pas faire auparavant. Faites-les au Nom de Jésus, en revendiquant la guérison qu’Il vous a acquise, et que vous Lui avez demandée.
Chaque semaine, nous recevons des témoignages de ceux qui ont été miraculeusement guéris par notre Seigneur lorsqu’ils sont parvenus à la lumière de ces vérités, et qu’ils ont agi en conséquence. J’aimerais vous lire personnellement, me disant ce que Dieu a fiat dans votre vie à la suite de ce livre.
Ce que Dieu fait pour d’autres, Il est prêt à le faire pour vous, maintenant même.
CHAPITRE VINGT-SEPT
VOUS ÊTES TRANSFORME
QUAND VOUS PRENEZ CONSCIENCE de vos racines en Dieu, et vous identifiez à Son dessein pour vous dans ce monde, vous avez vraiment commencé à vivre LA VIE QUE DIEU VOUS A DESTINEE.
C’est un style-de-vie fondé sur une foi positive, une façon positive de penser, parler et agir.
Et d’où vient cette foi positive ?
« Ainsi la foi vient de ce qu’on entend … la Parole de Dieu ».
Voici cinquante-deux faits qui vous sortiront d’une médiocrité ennuyeuse pour faire de vous un fructueux partenaire de Dieu. Ces 52 « pas de géants » vous conduiront loin des complexes de culpabilité d’une vie qui n’est pas en harmonie avec Dieu ou en contact avec Lui ; vous parviendrez au succès et à l’estime de vous-même en découvrant qui vous êtes, et comment venir à Dieu pour partager Son style-de-vie.
Vous découvrez une nouvelle puissance, un nouveau but, une nouvelle motivation. Vous êtes transformé : de la défaite au succès, de la maladie à la santé, de l’ennui à l’enthousiasme, des problèmes aux solutions, de la tension à la joie, de la pauvreté à la prospérité, du désespoir au bonheur.
Vous êtes béni, et vos êtres chers en bénéficient également.
La Bible déclare : « Les choses anciennes sont passées ; voici, TOUTES CHOSES sont devenues NOUVELLES ».
Ces cinquante-deux faits vous guideront jusqu’à une vie chrétienne pleine de bonheur et succès. Puis ils deviendront les premières pierres du PACTE D’ABONDANCE DE DIEU – Sa POLICE D’ASSURANCE SUR LA VIE ENTIERE qui VOUS protège, VOUS ET LES VOTRES.
Consultez-les souvent. Répétez-les en priant. Faites-en mention dans vos prières familiales. Parlez-en à vos êtres chers et à des amis. Enumérez-les. Apprenez-les par cœur. Ils vous encourageront sans cesse à VIVRE LA VIE COMBLEE, si vous les gardez dans votre cœur et sur vos lèvres.
Quiconque s’engage dans cette nouvelle vie avec Christ découvrira, tôt ou tard, un ennemi très réel. La Bible l’appelle Satan et le mentionne au moins 175 fois par des noms tels que Lucifer, le diable, Satan, l’adversaire, le dieu de ce siècle, l’ennemi, le tentateur, le malin, le prince de ce monde de ténèbres, le meurtrier, et par d’autres noms encore.
Vous le rencontrerez sous sa forme la plus subtile, où il est « l’accusateur ».
Alors, quand vous êtes découragé, ou tenté à douter de vos expériences avec Dieu, remémorez-vous ces cinquante-deux FAITS de la vie chrétienne.
C’est la façon efficace de « résister au diable », et Jacques nous a dit : « Il fuira loin de vous ».
L’Apôtre Jean a dit : « Ils l’ont vaincu (Satan) à cause de … la Parole de leur témoignage, » et Jésus a vaincu chaque tentation de Satan en disant « IL EST ECRIT », puis en citant un verset de la Bible.
Voilà pourquoi je vous dis : quand l’accusateur vous tente, répétez ces faits, confessez ces versets, et il vous arrivera la même chose qu’à Jésus : « Alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et se mirent à Le servir ».
Voici 52 faits très importants, appuyés sur des versets bibliques : apprenez à les connaître et faites-en votre confession :
1. AVANT DE RECEVOIR CHRIST VOUS ETIEZ UN PECHEUR.
« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ».
2. VOUS ETIEZ COUPABLE DEVANT DIEU, PASSIBLE DE LA PEINE DE MORT.
« Car le salaire du péché, c’est la mort ».
3. MAIS DIEU VOUS A TROP AIME POUR VOUS LAISSER PERIR.
« Mais Il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance ».
4. DIEU A OFFERT CE QU’IL A DE MEILLEUR POUR VOUS PROUVER SON AMOUR.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle ».
5. LE DON DE DIEU, C’ETAIT CHRIST, ET IL EST MORT POUR VOUS.
« Mais Dieu prouve Son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous ».
6. VOUS VOUS RENDEZ COMPTE QUE VOS PECHES VOUS ONT SEPARE DE DIEU.
« Mais vos iniquités ont fait séparation entre vous et votre Dieu, et vos péchés ont fait qu’Il a caché de vous Sa face ».
7. SACHANT QUE CE SONT VOS PECHES QUI ONT CONTE A DIEU SON FILS, ET A JESUS SA VIE ET SON SANG, VOUS VOUS EN REPENTEZ.
« Vous avez été attristés selon Dieu … la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut » et vous avez su que « si vous ne vous repentez, vous périrez tous également ».
8. VOUS LUI CONFESSEZ VOS PECHES ET IL VOUS PURIFIE.
« Si vous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité ».
9. VOUS RECONNAISSEZ JESUS A LA PORTE DE VOTRE CŒUR, VOUS LUI OUVREZ ET IL ENTRE.
« Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi (ceci veut dire dîner et être en communion ensemble).
10. VOUS RECEVEZ JESUS ET DEVENEZ ENFANT DE DIEU.
« Mais à tous ceux qui L’ont reçu, à ceux qui croient en Son Nom, elle (La Parole de Dieu) a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu) a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu ».
11. VOUS DEVENEZ UNE NOUVELLE CREATURE.
« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses sont devenues nouvelles ».
12. AYANT RECU CHRIST, VOUS SAVEZ QUE VOUS ÊTES NE DE NOUVEAU.
Jésus a dit : « Il faut que vous naissiez de nouveau », quand vous avez reçu Jésus et le pouvoir de devenir enfant de Dieu, vous êtes né « non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu », « par la Parole vivante et permanente de Dieu ».
13. VOUS CROYEZ LE PUISSANT MESSAGE DE L’EVANGILE QUI VOUS SAUVE.
« (L’Evangile) est la puissance de Dieu pour sauver tous ceux qui croient ».
14. VOUS CROYEZ AU NOM DE JESUS-CHRIST A CAUSE DU TEMOIGNAGE DES EVANGILES.
« Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en Son Nom ».
15. VOUS INVOQUEZ SON NOM ET VOUS ÊTES SAUVE.
« Car quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé ».
16. VOUS RECONNAISSEZ QUE JESUS EST LE SEUL CHEMIN POUR PARVENIR A DIEU.
« Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie. Nul ne vient au père que par moi », « car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme ».
17. VOUS SAVEZ QU’IL N’Y A DE SALUT EN AUCUN AUTRE.
« Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés ».
18. VOUS METTEZ VOTRE FOI EN JESUS COMME VOTRE SAUVEUR.
« Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie ».
19. VOUS AVEZ FOI QUE LE SEIGNEUR ENTRE DANS VOTR VIE.
« J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple … Je serai pour vous un Père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout puissant ».
20. POUR ËTRE SAUVE VOUS NE FAITES CONFIANCE NI A VOS BONNES ŒUVRES NI A VOTRE PROPRE VERTU.
« Et toute notre justice est comme un vêtement souillé ». Votre salut « n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie ».
21. VOUS N’ÊTES SAUVE QUE PAR LA MISERICORDE DE DIEU.
« Il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon Sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit, qu’Il a répandu sur nous avec abondance par Jésus-Christ notre Sauveur, afin que, justifiés par Sa grâce, nous devenions, en espérance, héritiers de la vie éternelle ».
22. VOUS SAVEZ QUE C’EST LA MORT DE JESUS QUI VOUS JUSTIFIE DEVANT DIEU.
« Etant donc justifié par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ ».
23. VOUS SAVEZ QUE C’EST SON SANG QUI EFFACE VOS PECHES.
« Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés ». « A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par Son sang, serons-vous sauvé par Lui de la colère ».
24. VOUS SAVEZ QUE VOUS ËTES DELIVRE DE VOS PECHES.
« A Celui qui nous aimes, et qui nous a lavés de nos péchés », « en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés ».
25. VOUS SAVEZ QUE VOS PECHES SONT ÔTES ET OUBLIES.
« Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde ». « Autant l’orient est éloigné de l’occident, autant Il éloigne de nous nos transgressions ». C’est pourquoi Dieu vous dit : « Je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités ».
26. VOUS SAVEZ QUE LA MORT DE JESUS A PAYE LE PRIX DE VOS PECHES.
« Lui qui a porté Lui-même nos péchés en Son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ». « Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nos donne la paix est tombé sur Lui ».
27. VOS PECHES ETANT PUNIS ET LAVES, VOUS SAVEZ QU’ILS NE POURRONT PLUS JAMAIS VOUS CONDAMNER.
« Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ », parce que « Celui (Jésus) qui n’a pas connu le péché, Il (Dieu) L’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu », et « là où il y a pardon des péchés, il n’y a plus d’offrande pour le péché » de sorte que maintenant RIEN ne « nous sérarera de l’amour de Christ ».
28. VOUS SAVEZ QU’EN ACCEPTANT CHRIST VOUS AVEZ RECU SA VIE ;
« Celui qui a le Fils a la vie », car « celui qui écoute ma parole, et qui croit Celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie ». « Or le seul vrai Dieu, et celui que Ta as envoyé, Jésus-Christ ».
29. VOUS SAVEZ QUE SATAN VOUS ACCUSERA.
C’est lui « l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit » tout comme il a accusé Job.
30. VOUS N’IGNOREZ PAS LES ŒUVRES DE SATAN.
« Afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins », car nous savons bien qu’il « ne vient que pour dérober, égorger et détruire ».
31. VOUS SAVEZ COMMENT JESUS L’A VAINCU.
« Jésus répondit : IL EST ECRIT », « alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et se mirent à Le servir ».
32. VOUS SAVEZ QUE JESUS A DEMONTRE QUE SATAN NE POUVAIT PAS GAGNER.
« Il (Christ) a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. Approchons-nous donc avec assurance du trône de al grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins ».
33. VOUS SAVEZ QUE DIEU VOUS AIDE FIDELEMENT PACE A LA TENTATION.
« Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation Il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous pussiez la supporter ».
34. VOUS SAVEZ QU’IL EXISTE DEUX ARMES AUXQUELLES SATAN NE POURRA JAMAIS RESISTER.
« Ils l’ont vaincu (le diable qui les a accusés) à cause du sang de l’Agneau et à cause de leur témoignage ».
35. VOUS SAVEZ QUE SATAN NE PEUT PAS TRIOMPHER DE VOTRE FOI.
« Soyez sobre, veillez. Votre adversaire le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme ». « Résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et Il s’approchera de vous » ; « mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas ».
36. VOUS SAVEZ QUE LA VICTOIRE, C’EST VOTRE FOI.
« Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi ».
37. VOUS SAVEZ QU’IL NE FAUT PAS AIMER LE MONDE, MAIS FAIRE LA OLONTE DE DIEU.
« N’aimez pas le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour de Père n’est pas en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient pas du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement ».
38. VOUS SAVEZ QUE CHRIST EST VENU POUR VAINCRE VOTRE ENNEMI.
« Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable ».
39. VOUS SAVEZ QUE SATAN N’EST PAS DE TAILLE A LUTTER CONTRE CHRIST EN VOUS.
« Christ en vous, l’espérance de la gloire » ; « comme Dieu l’a dit : J’habiterai et marcherai parmi vous » ; « vous, petits-enfants, vous êtes de Dieu, et vous avez vaincu, parce que Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde ».
40. VOUS SAVEZ QUE LE SEIGNEUR EST LA SOURCE DE VOTRE VIE NOUVELLE.
« J’ai été crucifié avec christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi : si je vis maintenant dans la chair, je vs dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré Lui-même pour moi ».
41. VOUS SAVEZ QUE VOTRE VIE NOUVELLE A UNE MOTIVATION DIVINE.
« L’Eternel affermit les pas de l’homme, et Il prend plaisir à sa voie ; s’il tombe, il n’est pas terrassé, car l’Eternel lui prend la main ».
42. VOUS SAVEZ QUE DIEU VOUS VOIT ET VOUS ENTEND.
« Car les yeux du Seigneur sont sur les justes et Ses oreilles sont attentives à leur prière ».
43. VOUS SAVEZ QU’IL VOUS INVITE A FAIRE APPEL A LUI.
« Invoque-moi, et je te répondrai ». « Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit ».
44. VOUS SAVEZ QU’IL REPOND A VOS PRIERES.
« Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir ». « Et tout ce que vous demandez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils ».
45. VOUS SAVEZ QUE VOUS APPARTENEZ A LA FAMILLE ROYALE DE DIEU.
« Vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de Celui qui vous a appelés des ténèbres à Son admirable lumière ».
46. VOUS SAVEZ QUE TOUT CE QUE CHRIST POSSEDE VOUS APPARTIENT MAINTENANT.
« Car ceux qui se laissent diriger par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. En effet, vous n’avez pas reçu un esprit servile, l’Esprit qui vous a été donné ne vous transforme pas en esclaves, il ne vous ramène pas sous la férule de la crainte, il vous a introduits de plein droit dans la famille de Dieu, ce qui nous permet de L’appeler Père … C’est encore l’Esprit-Saint qui atteste à notre esprit : « Oui, tu es un enfant de Dieu ». Enfants de Dieu ? Mais alors nous sommes aussi Ses héritiers. Nous avons donc part à tous les trésors de Dieu. Exactement comme Christ, et tout ce que Dieu donne à Son Fils sera aussi nôtre ».
47. VOUS SAVEZ DESORMAIS QUE VOUS AVEZ SA VIE DANS VOTRE CHAIR.
« Afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle », car « votre corps est le temple du Saint-Esprit ».
48. VOUS SAVEZ QUE VOUS N’AUREZ JAMAIS PLU A VIVRE DANS LE BESOIN.
« Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon Sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ », car « Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité ».
49. VOUS NE CRAIGNEZ PLUS NI MALADIES NI FLEAUX.
« Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente », parce que « Je suis l’Eternel, qui te guérit » ; Jésus lui-même, « a pris nos infirmités … s’est chargé de nos maladies » et « c’est par Ses meurtrissures que vous sommes guéris ».
50. VOUS N’ÊTES PLUS ACCABLE PAR DES PROBLEMES.
« Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis, car Lui-même prend soin de vous ».
51. VOUS SAVEZ QUE VOUS ÊTES GAGNANT.
« Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » « Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés ». « Celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ » ; « Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est Lui qui le fera ».
52. VOUS SAVEZ QUE CHRIST EST AVEC VOUS JUSQU’A LA FIN.
« Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point. C’est donc avec assurance que nous pouvons dire : Le Seigneur est mon aide, je ne craindrai rien ; que peut me faire un homme ? » « Et voici, je sis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ».
COMMENT RECEVOIR LA GUéRISON MIRACLE